Dans la chambre de Dawson, un film passe à la Tv.
Dawson et Joey sont sur le toit de la chambre à Dawson
Dawson : Est ce qu’il existe quelque chose de plus beau qu’une pleine lune ? On dirait qu’elle est à portée de mains mais en réalité elle est à plus d’un million de Km
Joey : Elle n’est qu’à 384 000 Km, Dawson. Elle ne sera totalement pleine que demain.
Dawson : N’empêche que, c’est quand même romantique
Joey : Mais enfin qui a bien pu décréter que la pleine lune était romantique ? Ce n’est qu’un satellite naturel qui réfléchit la lumière du soleil.
Dawson : Oui mais, elle projette une lueur discrète et paisible sur un monde chaotique, moi j’adore la pleine lune.
Joey : Elle n’est pas paisible Dawson. C’est bien connu, la pleine lune détracte tout, c’est un élément perturbateur, il se produit toujours d’étranges évènements à la pleine lune !
Dawson : Est-ce que tu ne serais pas un peu superstitieuse ?
Joey : Non, scientifique
Dawson : Ah, peux-tu m’expliquer ça ?
Joey : L’être humain est composé à 70% d’eau
Dawson (en l’embrassant) : oui
Joey : Et la pleine lune influe sur les marées, elle fait aller et venir des masses d’eau. Pour nous, c’est un phénomène identique. Elle nous pousse dans notre direction en interrompant le cours normal des choses, et, Dawson, je confirme : il se produit toujours, des choses bizarres à la pleine lune.
Dawson (ironique): Oh, tu me fais peur. (Il dérape)
Joey : Très drôle !
Dawson : Oui
GENERIQUE
Mitch et Tamara marchent dans Capeside.
Mitch : Je peux revoir les plans une nouvelle fois ?
Tamara : Oui bien sur. Je ne veux pas vous sembler désespérée mais sincèrement je suis pressée de vendre l’entrepôt, alors si vous êtes intéressé, je suis disposée à vous faire une offre des plus exceptionnelles !
Mitch : C’est donc si pénible d’être ici ?
Tamara : Disons que, que Capeside est un de ces endroits que j’aimerais oublier
Mitch : Je vais me repencher sur ces plans et je vous promet de me décider très vite !
Tamara : Merci
Jen marche dans la ville et Vincent la rejoint
Vincent : Salut Jen !
Jen : Salut !
Vincent : Comment tu vas ? Où est passé ton double infernal ?
Jen : Oh, Abby, euh en ce moment nous sommes dans une période de séparation à l’essai.
Vincent : Bonne décision, Jennifer, aide moi je t’en pris, je suis démoralisé, pourrais-tu me dire ce qu’il se passe dans cette ville ?
Jen : Très peu de chose
Vincent : Il y a une semaine que je suis arrivé, tu es la première bouffée d’air frais que je respire dans ce trou. Tu crois sans doute, que je cherche à te séduire
Jen : Alors que c’est le contraire
Vincent : Non, j’avoue, parfois en étant honnête, on réussi à débloquer une situation
Jen : Elle s’est débloquée, un peu
Vincent : Pas si vite, écoute, je ne suis pas doué pour ce genre d’exercice, alors, s’il te plaît, montre toi indulgente. Je viens de passer 18 jours en mer avec une bande de gros bœufs alcooliques et aujourd’hui j’aimerais vraiment réhabituer mon cerveau, aux joies simples bien faisantes de la vie
Jen : Tu peux préciser ?
Vincent : Avoir des conversations saines ne risquant pas d’offenser les oreilles chastes de ma belle-mère ou boire tranquillement une tasse de bon café. Alors …. Je t’en pris si tu n’as ne serait ce qu’un peu de compassion pour un pauvre marin, dis lui que tu vas lui montrer les bons côtés de Capeside.
Jen : Comme ça, je pourrais faire ma BA en quelque sorte
Vincent : Ce soir ?
Jen : Oh, 7h30. 22 Seafare Drive
Vincent : Je serais pile à l’heure
Jen : Ouais
Andie va au vidéoclub où Pacey regarde un film porno
Pacey : Tiens, tiens, mais c’est la petite Mac phee !
Andie : Je viens juste louer une vidéo Pacey.
Pacey : Vas-y demande ?
Andie : Non laisse, je vais la trouver toute seule. Pourquoi tu ne continus pas à regarder « Debbie s’envoie tout Dallas »
Pacey : C’est les vicieuses du Jacuzzi. Andie, est ce que tu as remarqué combien le titre est souvent plus intéressant que le reste dans le porno ? Ben c’est vraie réfléchie « Sperminator, les croqueuses infernales »
Andie : Je vois pas pourquoi les boîtes de prod se creusent tant les méninges, si j’étais eux, je mettrais un seul et même titre : « les femmes que Pacey ne se fera jamais » !
Pacey : Oh, oh touché. Tu sais Mac phee, on devrait essayer de passer l’éponge.
Andie : Pardon ?
Pacey : Bah oui, toutes ces joutes verbales, à la longue ça devient dangereux. On devrait se faire une sortie ensemble avant qu’il arrive un blessé.
Andie : Oublis
Pacey : Oh, je t’en pris, t’en meurs d’envie !
Andie : Si c’était demandé poliment, peut-être bien que je ne dirais pas non !
Pacey : euh, d’accord, Andie voudrais tu sortir avec moi ce soir ?
Andie (en haussant les épaules) : Si tu y tiens
Pacey : Tout ça n’est pas très enthousiaste !
Andie : J’essaie de cacher ma joie. Où est-ce qu’on va ?
Pacey : Euh, tu veux pas te faire un ciné. Ah oui, moins on a se parler tous les deux, moins on risque de se prendre un mauvais coût !
Andie : Bonne idée.
Pacey : Affaire conclue, je passe te prendre à 7h30. Vous habitez sur Windsor, c’est ça ?
Andie : Euh, je viendrais te chercher
Pacey : Non, j’irais chez toi, c’est notre premier rendez-vous.
Andie : Chez moi, ah bon. Euh, pourquoi pas se trouver au resto. Bah oui, terrain neutre.
Pacey : Andie, ça va ta maison est sur mon chemin
Andie : Euh, enfin de compte, peut-être qu’on devrait annulé
Pacey : Je t’en supplie, arrête de jouer avec mes nerfs.
Andie : Bon, euh entendu, 7h30 soit pas en retard !
Pacey : Ca roule !
Au magasin de bijoux, Jen essaye du rouge à lèvre.
Abby : Salut ! Jen rassures moi tu n’est plus fâchée ?
Jen : Pourquoi par ce que tu m’as traitée de pauvre raté ? Pourquoi en aurais-je après toi ?
Abby : Oh ça m’a échappé excuse moi. Je sui toujours à cran à cette période du mois. Jen, on ne laissera jamais les garçons nous séparer, ils passeront dans nos pieds mais toi et moi on est des âmes sœurs, on est 2 super rebelles soudées par l’énorme désir de fuir ce trou horrible où rien ne se passe !
Jen : J’ai une question : tu es sure d’être clair par rapport à toute cette histoire ?
Abby : A 100 % Jen !
Jen : Je suis très contente, d’autant que je mourrais d’envie d’annoncer partout que je voie Vincent ce soir.
Abby : Sale petite garce !
Jen : Quoi ?
Abby : Après tout ce que j’ai fais pour toi, tu sors avec lui ? Tu oses me le piquer ?
Jen : Mais qu’est ce que t’as ? Ca va pas la tête ? Il ne sait même pas que tu existes Abby !
Elles partent du magasin
Abby : Tu devrais t’acheter une boite de préservatifs, maintenant que tu joues dans la cour des grands. C’est plus pareil, il a certainement une dizaine d’enfants naturels tous éparpillés sur la côte Est du territoire
Jen : Tais toi Abby !
Abby : Je me sens portée sur la chose ! Ah et j’oubliais, tu es originaire de NY, pas vrai ?
Jen : Je te préviens, je vais m’énerver Abby !
Abby : Il doit reconnaître sans problèmes une marie couche toi là quand il en voit une !
Jen gifle Abby
Jen : Je t’interdis de m’adresser la parole à compter d’aujourd’hui !
Dans la cuisine des Leery : Joey et Dawson révisent. Gail cuisine et Mitch arrive
Mitch : Salut les enfants !
Dawson : Bonjour papa
Joey : Bonjour monsieur Leery
Mitch (à Gail) : Ah on a sorti sa panoplie de cordon bleu ?
Gail : Non la panoplie d’ambassadrice, ils m’on encore envoyé quelqu’un de NY. Ca arrive régulièrement mais cette fois, plutôt que d’aller au restaurant je dînerais avec lui ici
Mitch : Lui ?
Gail : Oui, Gary Surmer. Ils vont le prendre comme associé
Mitch : On est samedi aujourd’hui. Ce programme ressemble plus à une expédition nocturne du jeudi
Dawson : Je peux savoir ce qu’il y a le jeudi ?
Gail : C’est professionnel Mitch, c’est pour le travail.
Mitch : C’est drôle par ce que le fait que ça soit un collègue, ça ne me soulage même pas. Va t’on savoir pourquoi ?
Gail : J’ai au moins des collègues
Mitch : Expliques toi !
Gail : Je m’explique, je travaille et par conséquent j’ai des collègues.
Mitch : Oh Gail, je t’ai connu plus convaincante !
Joey (à Dawson): Il faut que j’aille travailler
Dawson : Je te raccompagne
Joey : Ouais
Joey et Dawson quittent la cuisine, et se retrouvent à l’entrée de la maison.
Dawson : C’est encore leur histoire du jeudi soir. Joey mes parents m’inquiètent sérieusement
Joey : Mais non t’en fais pas Dawson, les gens sont énervés à cause de la pleine lune. J’y vais. A plus tard.
Mitch arrive
Dawson : Papa c’est quoi le problème ?
Mitch (en montant les escaliers): Non Dawson, pas maintenant
Dans la chambre de Jen, Jen se maquille.
Grams : Tu ne veux vraiment pas venir étudier la bible avec nous chérie ? C’est le livre de Saint Jean, ce soir, il baptise les prêcheurs.
Jen : Il les baptisera sans moi
Grams : Si on laisse de côté la religion et ses ramifications, on peut trouver un certain plaisir dans l’exorcisme.
Jen : Tu auras essayé grand-mère !
Grams : Bon bah je te laisse, je ne veux pas être en retard
On sonne, Jen ouvre la porte
Abby : Jen j’en reviens pas que tu m’es frappée. Moi, ta meilleure amie.
Jen : Abby, dois-je te rappeler quand l’espace de 2 jour, tu m’a traitée de tous les noms « allumeuse, Marie couche toi là, garce et pauvre raté » ?
Abby : Oui je sais, mais moi je ne t’est pas giflée je te signale !
Jen : Tu es trop malsaine. Avant que ça dégénère rentre chez toi Abby !
Abby : Oh, pourquoi, le marin doit te rendre visite ce soir ?
Jen : Parfaitement, allé du vent.
Chez les Leery, dans le salon Gail et Garry sont assis sur le canapé.
Gary : La convention d’Atlanta a été un désastre intégral : 600 reporters sans réservations, imaginer le chaos !
On sonne à la porte
Gail : Oh excusez moi Gary, je reviens.
Tamara : Bonsoir, je viens voir Mitch.
Gail : Oh, Mitch
Tamara : Oui, je suis …
Mitch : Tamara, entrez
Tamara : Bonsoir Mitch, comme je pars demain et que vous voulez voir les plans une dernière fois pour pouvoir prendre votre décision je me suis permise de passer. Navrez d’insister autant
Mitch : Non, Gail tu connais Tamara
Gail : Bien sur, le professeur.
Au Ice house, un seul client, Joey dessine et Jack fait des cocottes en papier. Joey arrête de dessiner et compte les pourboires
Joey : 2 dollars et 8 cents. Où sont les clients, un samedi soir ?
Jack : Apprécie cette tranquillité.
Joey : Le café à volonté leur manquera quand on aura mis la clef sous la porte.
Jack : Il te sort vraiment par les yeux ce travail de serveuse
Joey : Qu’est ce qui t’amène a cette conclusion ?
Jack : Ton mépris absolu pour la clientèle.
Joey : Parce que tu trouves ta nouvelle vocation stimulante ?
Jack : Bien sur, combien de fois dans ta vie pourras-tu être quotidiennement exposée à pleins de situations diverses ? Tous ces gens qui tous les jours croisent par hasard ton chemin, chaque fois c’est une histoire différente, un espoir ou des rêves différents
Joey : Des reproches différents, la soupe n’est pas chaude, il n’y a pas assez de palourdes dans la sauce !
Jack : Pourquoi t’es en colère ?
Joey : Ah c’est rien c’est à cause de la pleine lune.
Jack : Tu n’es pas en colère que ce soir. Tu l’es constamment.
Chez Jen, Jen apporte une tasse de café à Vincent.
Jen : Tiens je te l’ai servi avec un peu de lait.
Vincent : Merci. Ca fait du bien de quitter le bateau en soirée.
Jen : Ca te plaît ? Enfin, de….de rester en mer pendant une période aussi longue ?
Vincent : Non, je travaille pour payer mes études : fac de droit. Mon oncle possède la marina de Bayboro, c’est lui qui m’a trouvé ce job.
Jen : Tu veux devenir avocat ?
Vincent : Tu étais loin de t’en douter comme tant d’autres.
Jen : Oui. Non, oh excuse moi, je ne voulais pas, je ne voulais pas te vexer.
Vincent : Je sais, l’aspect extérieur ça compte.
Jen : C’est dommage hein ?
Vincent : Vu ce que je vois, je ne suis pas d’accord.
Jen : Serais-tu encore entrain de me draguer ?
Vincent : Si tu veux, j’arrête, je peux.
Jen : Est-ce que ça serait drôle si tu arrêtais ?
Vincent : Ca je me le demande
Chez les Leery. Mitch et Tamara sont dans la salle de séjour à regarder les plans du local tandis que Gail et Gary sont dans le salon.
Tamara : Oui et l’entrée est ici. Cette partie est très bien aérée, c’est l’endroit idéal pour la cuisine.
Mitch : Bien. Quelle est la hauteur du plafond ici ?
Tamara : Voyons, ce que j’ai marqué : 2m80.
Gary : On voulait qu’il nous fasse un sujet.
Gail : Un sujet au beau milieu de la plus grande tempête de neige que la Nouvelle Angleterre est subie depuis 40 ans.
Gary : Et en plus, il était sur le vol suivant.
Gail : Là haut, dans le ciel !
Mitch (rejoint Dawson dans la cuisine): Qu’est ce que tu regardes ?
Dawson : Rien, rien.
Gail : Vous voulez un autre verre de vin ?
Gary : Avec plaisir.
Mitch : Et ta mère qu’est ce qu’elle fait ?
Dawson : La même chose que toi
Gail (entre dans la cuisine): De qui parlez vous ?
Mitch : De personne, de personne.
Gail : A propos, Mitch, tu comptes réellement te porter acquéreur de ce bâtiment désaffecté pour monter un restaurant ?
Mitch : Oui, sans aucun doute.
Gail : Qui crois tu tromper ? Je vois très clair dans ton jeu : tu me fais tout un plat parce que je reçois un invité à la maison alors qu’il est évident que tes escapades du jeudi soir débordent sur le week-end !
Dawson : Est ce que je pourrais savoir ce qu’il y a le jeudi soir ?
Mitch : Vas dans ta chambre Dawson !
Dawson : Non, je voudrais bien …
Gail : Chérie laisse nous !
Mitch : Je projette d’ouvrir un restaurant, tu es déjà au courant !
Gail : Et où trouveras-tu les fonds pour payer les murs et les travaux ?
Mitch : J’ai un prêt Gail !
Gail : Excellente nouvelle, parce que j’en ai plus qu’assez d’encourager et de financer les rêves d’un homme qui a tant de difficultés à me regarder !
Mitch : Excuse moi, d’avoir été une charge pour toi ! Pendant, que tu échangeais tes idées avec Garry, Bobbie où je ne sais qui, j’ai financé moi-même certains de mes rêves !
Gail : Des rêves dans lesquels apparaissait la prof de littérature de Dawson !
Mitch : Des rêves dans lesquels apparaissait un restaurant ! Tout ne tourne pas autour du sexe, en tout cas pas chez moi
Gail : Super !
Dans la chambre de Dawson. Dawson s’apprête à se coucher quand il voit Abby, avec une paire de jumelles entrain d’espionner Jen.
Abby : J’hallucine !
Dawson : Qu’est ce que tu fais dans ma chambre ?
Chez Andie. Pacey sonne à la porte
La mère d’Andie : Oui ?
Pacey : Bonsoir, je viens chercher Andie, on doit sortir ce soir.
La mère d’Andie : Vous êtes sûrement Pacey ?
Pacey : Euh, oui c’est moi
La mère d’Andie : Oh mais entrez, je vous en prie
Pacey : Merci. J’espère qu’elle n’est pas trop fâchée contre moi, parce que je savais plus très bien entre le restaurant, la maison, la salle de ciné, difficile de s’y retrouver.
La mère d’Andie : A mon avis, elle ne devrait pas tarder.
Pacey : On va manquer le film, c’est sur. Elle va me réduire en bouillie !
La mère d’Andie : Oh non, vous réussissez à l’amadouer, vous lui plaisez beaucoup.
Pacey : Non, c’est vrai ?
La mère d’Andie : Oui, elle me parle sans arrêt de vous, jeune homme. Et Will, le papa de Andie, devrai arriver d’une minute à l’autre. Je suis sur que vous aurez droit à un interrogatoire en règle. Il y a Tim aussi, il faut que je vous le présente !
Tim, Tim ? Ah, il doit avoir son casque sur les oreilles !
Pacey : Qui est Tim ?
La mère d’Andie : Et bien, Andie et Jack ont un frêre aîné qui étudie à Columbia. Il vient à la maison le week-end. Mais puisque vous êtes là, vous n’avez qu’à rester dîner. J’ai déjà dressé la table, là c’est la place de Andie, et là ça sera la votre.
Pacey : Volontiers
La mère d’Andie : Tim, Tim ?
Pacey : Dans le genre cocasse, c’est pas mal comme premier RDV.
Au Ice house. Il y a toujours un seul client. Jack tape sur la vitre des homards.
Joey : Hey, notre seul et unique client va bien ?
Elle regarde l’aquarium
Oh non, la pompe est arrêtée ! Jack si les homards meurent on va perdrent une fortune !
Jack : Attends j’ai touché à rien !
Joey : Bon, il faut les sortir de l’aquarium et vite les mettre sur de la glace ! Tu me passes le bac là ?
Jack : Oui ! Et pourquoi est ce qu’on ne les rendrait pas à la mer, donnons leur une autre chance de vivre libre !
Joey : Et puis quoi encore ! Si tu fais ça je te balance avec !
Ils sortent les homards de l’aquarium pour les mettre dans le bac
Jack : C’est ça !
Joey : Accélère !
Andie arrive au Ice house
Andie : Il est avec vous ?
Joey : Qui ça ?
Andie : Pacey !
Jack : Non je ne l’ai pas vu.
Andie : Ce soir normalement on devait se voir, je l’ai attendu au cinéma jusqu’au début de la séance ! Aucune traces de lui, j’ai cru qu’il m’avait posé un lapin ! Mais qu’est ce que vous faites tous les deux ? Enfin bref ! Tout d’un coup, je mes suis souvenu qu’on avait parlé d’ici mais là je vois que vous deux ! Ce qui signifie que … il se fiche complètement de moi … ou bien, oh mon dieu !
Jack : Quoi ? Qu’est ce qui se passe ?
Andie : Jack si il est allé chez nous, c’est ce qu’il avait proposé, imagine qu’il est allé chez nous !
Joey : Il était temps que Pacey se conduise en garçon bien élevé !
Jack : Rassure toi Andie, tout ira bien, c’est rien !
Andie : Qu’est ce que tu racontes, il va arriver à la maison, et elle …. Oh mon dieu !
Andie repart en courant
Jack : Andie, Andie !
Chez Jen
Jen : Voila tu sais tout. A moi maintenant ! Euh, j’y vais, la plus gênante de tes aventures sexuelles ?
Vincent : D’accord, je te la racontes parce que je suis sur de toute façon ! Un soir, à la Nouvelle Orléans, j’étais tellement ivre que je voyais trouble et j’ai fais la connaissance d’une fille, une fille magnifique. On a finis dans son appartement, on a commencé, enfin tu vois, on est arrivé ….
Jen : Au moment crucial
Vincent : Au moment crucial, et tout à coup elle m’annonce qu’elle est un garçon ! Je te jure, le choc ! Une créature magnifique, très belle, très classe, un peu dans le style Travesti black.
Jen : Continus, qu’est ce que tu as fait ?
Vincent : J’ai rien fait, et le plus surprenant c’est qu’il ou elle, peu importe, vivait sa trans-sexualité très bien ! On est resté debout toute la nuit, à discuter, à rigoler, cette fille était un type vraiment sympa. J’ai écouté son histoire : un père violent, incestueux. Et maintenant quand je passe à la Nouvelle Orléans, je suis hébergé gratuitement.
Jen (elle enlève le sucre sur les lèvres de Vincent) : Tu as du sucre.
Vincent : A toi maintenant ! Vas y, raconte moi la plus géante de tes aventures sexuelles.
Jen : Et bien, j’étais entrain de le faire sur le lit de mes parents et ils m’on surpris avec un de mes ex. Oui et en pleine action sur le beau dessus de lit en satin rose, la catastrophe dans la famille. Le pire c’est qu’ils m’ont gâché ce beau moment !
Vincent : C’est pas de bol !
Jen : Non, mon père peut être aussi très dur parfois. Ton ami travesti de la Nouvelle Orléans et moi avons ça en commun.
Vincent : J’espère que c’est la seule chose que vous ayez en commun.
Dans la chambre de Dawson
Abby : Oh c’est pas vrai !
Dawson : Abby, pour la dernière fois, Abby tu es montée dans ma chambre pour quelle raison ?
Abby : Je la trouve cool ta chambre !
Dawson : Réponds Abby ! Qu’est ce que tu attends ?
Abby : Je vais te le dire mais il faudra le garder pour toi. Jen est avec un garçon ce soir, un garçon plus vieux qu’elle, et franchement Dawson je me fais du souci !
Dawson : Tu es venue l’espionner ?
Abby : Oui bien sûr.
Dawson : Oh, va t’en.
Abby : Tu t’inquiètes pour tes parents. Je les ai entendu se disputer.
Dawson : Un sourd les aurait entendu
Abby : Oh, ça sert à rien de t’angoisser, laisse les se faire des scènes, et quand ils seront devenus raisonnables, ils divorceront et tout ira mieux.
Dawson : Parce que divorcer c’est mieux ?
Abby : Oui, Dawson, on se sent super bien après : mon père est heureux, il ne bougonne plus, ma mère vit enfin sa vie, elle sort souvent et mon argent de poche a quadruplé !
(Elle fait un massage à Dawson)Tu as l’air tendu ! Tu sens bon Dawson…
Dawson : Abby, je ne veux pas être vexant, mais laisse tomber !
Abby : Allé, rien ne t’oblige à le dire à Joey !
Dawson : Quoi ?
Abby : Très bien, dans ce cas pourrais-tu m’embrasser à la fenêtre pour que Jen nous voie ?
Dawson : Ca suffit !
Abby : Ca va, ça va !
Dawson : Dehors !
Abby : Pourrais tu au moins dire à Jen qu’on s’est fait un gros câlin ?
Dawson : Elle ne te croirait pas une seconde !
Abby : Oh, fais jouer ton imagination et ton intelligence pour qu’elle le croie ! Tu n’as qu’à lui dire que Joey et toi aviez décidé de vous ouvrir sur les autres. Ca expliquerait que l’on se soit embrassé ! Ca tien la route !
(Elle sort par la fenêtre).
Dans la cuisine des Leery.
Mitch (à Tamara): Parfait, il faut que j’en parle à mes bailleurs de fons mais…
Dawson (Il entre dans la salle de séjour où Mitch et Tamara regardent les plans): Désolé, je peux te voir un instant.
Mitch : Oui bien sur, excusez moi.
Gail (dans le salon, à Gary) : Exact, en général les reporters peuvent faire ça …
Dawson (il entre dans le salon): Maman, est ce que je peux te voir un instant, c’est important ?
Gail (à Gary) : Excusez moi.
Mitch : Qu’est ce qu’il te prend Dawson ?
Gail : Nous avons des invités et ce n’est pas poli de les abandonner !
Dawson : Vous essayez le mariage libre !
Chez Jen. Jen et Vincent s’embrassent sur la table de la cuisine.
Jen : Vincent, arrête on est allé suffisamment loin !
Vincent : Comment ça ?
Jen : Je veux dire, tu trouves pas toi ? Vincent, il commence à se faire tard !
Vincent : Qu’est ce qui se passe mon ange, ça devient intéressant ! T’es pas sérieuse ?
Jen : Lâche moi, je n’ai que 16 ans ! Ca ferait désordre dans ton dossier de la fac de droit.
Vincent : Quoi ? Tu n’as que ….
Grams entre dans la cuisine
Grams : 16 ans ! Le seigneur ne pourra rien pour vous si vous n’enlevez pas vos mains de ma petite fille !
Vincent : Ca va, ça va
Chez Andie. Pacey attend Andie qui arrive enfin !
Pacey : Ah te voila !
Andie : Salut ! Qu’est-ce que tu fais ici ?
Pacey : Oh, excuse moi Andie, mais je me suis un peu en mêler les crayons mais ta mère m’a très bien accueilli, je te rassure !
Andie : Tant mieux, tu viens, on y va ?
Pacey : Non, pas si vite, j’ai dit à ta maman qu’on restait dîner !
Andie : Euh, très bien, dans ce cas on va s’en aller discrètement !
Pacey : Andie, tu devrais peut –être l’avertir, elle ne va pas tarder à descendre !
Andie : Ecoute, tu n’as pas la doit d’être là Pacey ! Tu comprends, tu n’as pas été invité ! Ma famille, tu la laisses tranquille, c’est pas tes affaires ! Qu’est ce que maman a fait ? Qu’est ce que tu lui as dit ?
Pacey : Détends toi, je vois pas où est le problème là !
Andie : Je repose ma question : je veux savoir ce qu’elle t’a dit c’est tout !
Pacey : Rien, rien du tout, elle m’a gentiment ouvert la porte de votre charmante demeure et ensuite elle m’a poliment invité à dîner à sa table ! J’ai l’impression que contrairement à sa fille, caractérielle et trop gâtée, elle me juge tout à fait digne d’être présenté à ton golfeur de père et à ton frêre de Columbia !
Andie : Je vois, allons nous en !
Pacey : Non, il est pas question qu’on s’en aille, c’est pas correct !
Andie : Pacey, tu viens je t’en prie !
Pacey : Qu’est ce qu’il y a ? Tu as honte de moi peut-être, tu ne veux pas me présenter à ton frêre aîné ?
Andie : Non, une autre fois, ce soir on sort ! Allé on y va !!
Pacey : Andie, Andie pourquoi ? C’est quoi le problème ?
Andie : Il est mort ! Tim est mort !
Au Ice house, Joey et Jack essayent de réparer la pompe de l’aquarium.
Jack : Calme toi Joey !
Joey : Il nous reste à peine 10 minutes avant que ces homards soient asphyxiés ! Si ces bestioles y passent c’est clair moi je suis morte !
Jack : Détends toi, euh, bon, je crois que j’ai compris !
(Il touche aux branchements mais l’aquarium)
Joey : Félicitation Einstein !
Le client : Débranchez la prise, et rebranchez la pour voir.
(La pompe de l’aquarium se remet à marcher).
Joey : Oh, merci monsieur !
Jack : Alors ça, ça c’est bizarre !
Joey : C’est la pleine lune, ne l’oublis pas !
Jack : Ouais, bien sur !
Joey (elle parle du client) : Je voudrais bien qu’il parte, combien de cafés va t-il encore consommer ?
Jack : Ca m’étonnerait qu’il soit là que pour le café !
Joey : Pourtant il a rien commandé à manger !
Jack : Ca se trouve, il ne sait pas où aller ! Ou peut-être même qu’il a pas de famille. Qu’il a eu une famille, mais que maintenant il est seul. On sait rien sur ce vieil homme,
Joey : Il a peut-être perdu sa femme,
Jack : Ou un enfant.
Joey (elle regarde le client mais il a disparu)): C’est bizarre ça aussi ! On dirait que …
Jack : Qu’il s’est volatilisé !
Joey : Ouais, 0 pourboire !
Jack (il trouve un billet sous la serviette du client): Joey ?
Joey (elle prend le billet) : Oh, fait voir ? Oh 100 dollars, on est riche ! On a décroché le gros lot !
Jack (il trouve un poème)): Regarde, t’as vu ce qu’il a laissé ?
Joey (elle lit le poème) : « Par une longue nuit de pleine lune, mon bel amour je connus, sous la lune, je l’ai supplié, sous cette lune, elle m’a quittée. Jeunes amants, un bon conseil : choyez l’amour, cette merveille, et la pleine lune ronde et fugace, un jour bientôt cédera sa place ».
Jack embrasse Joey.
Chez Dawson. Dans la cuisine, Mitch, Gail et Dawson discutent.
Dawson : Ce que je pense c’est que vous déraillez complètement, maman et toi ! Et quand est ce que vous aviez l’attention de me le dire ? Vous attendiez sans doute que la nouvelle circule en ville ? Qu’est ce qui vous a prit ?
Gail : Tu entends Mitch ? Notre fils voudrait savoir pourquoi nous avons opté pour cette solution ? Moi aussi j’aimerais le savoir, interroge ton père ! Il te donnera une explication !
Mitch : Dawson, c’est compliqué cette histoire. Ta mère et moi avons essayé de comatter certaines brèves sur notre couple et nous nous sommes…
Dawson : Vous vous êtes dit que le mariage libre arrangerait tout !
Mitch : C’est une erreur, je l’admets, c’est même maladroit !
Dawson : Ce n’est pas la peine, pour savoir que c’était une vaste idiotie !
Gail : Je partage tout à fait cet avis !
Mitch : Ca suffit Gail, quand vas-tu cesser de jouer les femmes en colère ? C’est toi qui l’as fait, pas moi ! Qui nous a précipité dans cette galère, on en serait pas là sans toi !
Gail : J’abandonne Mitch ! Je refuse de passer mon temps à m’excuser ! J’ai un collègue dans le salon et j’y retourne !
Dawson : Maman, STP reste là ! Tu restes et tu répares ce qui est cassé !
Gail : Non, je regrette, il faut que je retourne travailler si je dois continuer à financer le château en Espagne de ton cher père !
Mitch : Tu ne m’as jamais soutenu ! Jamais !
Gail : Tu sais pertinemment que ça fait des années que je te soutiens !
Mitch : Il existe plusieurs façon de soutenir quelqu’un : en lui tendant la main dans l’épreuve, en l’encourageant, en lui faisant voir qu’on a confiance en lui et ce n’est surtout pas en lui tournant le dos et en sautant dans le lit d’un autre !
Dawson (à Mitch) : Arrête !
Gail : Je suis désolée, Dawson !
Dawson : Maman, je t’en prie ! (Gail quitte la pièce)
( à Mitch) Et toi fais quelque chose ! Tu ne vas pas attendre que tout s’écroule ! D’accord, maman a fait une erreur, tu la sais, je le sais, elle le sait, elle a tout fait pour que tu lui pardonne et toi tu continus à la harceler ! Papa, tu devrais arrêter, mets ton égaux de côté, vas y, fait un effort, pardonne lui ! Prends la décision, allé papa, pardonne lui, va la chercher et … ressoude cette famille ! Papa, c’est à toi de réparer ça,
Mitch : Je ne sais pas comment, je ne sais pas quoi faire, je n’ai pas les réponses, je croyais les avoir mais je ne l’ai est plus. Mon père… ton grand-père avait toujours les réponses à toutes les questions et il m’a beaucoup appris. Il m’a appris à me raser, ensuite, il m’a appris à conduire une voiture, à faire des économies, à bâtir une maison. Mais dans son éducation, il a oublié de me dire quoi faire si ma femme s’avisait de me tromper. Je ne lui aie pas posé la question, je ne savais pas.
Chez Jen. Jen est assise dehors et Grams la rejoint.
Grams : Je ne sais plus quoi faire de toi, ce n’est plus possible Jennifer !
Jen : Je t’en pris, pas de sermon ce soir !
Grams : Oh, je ne te parlerais pas de Dieu, je ne tiens pas à le mêler à ça, cette fois si ma fille c’est entre toi et moi ! Que ce soit bien clair, je ne veux plus revoir la scène à laquelle j’ai assisté en rentrant !
Jen : Je contrôlais la situation, je ne risquais rien, je ne vois pas ce qui te trouble à ce point !
Grams : Oh mais je ne suis pas troublée Jennifer, non, je suis fatiguée ! Jamais, tu entends, Jamais, je ne te laisserais renouer avec la conduite répréhensible que tu avis à NY ! En tout cas, pas tant que tu seras sous ma garde ! Je ne supporterais pas un tel manque de respect !
Jen : Il ne s’agit pas de ça …
Grams : Mais si, ce n’est pas une attitude tolérable et j’attends de toi qu’enfin tu me traites avec respect, que tu te conduises en tant que jeune fille digne ! Je ne veux plus te voir t’avenir tant que tu seras sous mon toit et tant que le seigneur me prêtera vie ! N’as-tu donc aucun respect envers toi même Jennifer !
Au Ice house. Dawson rejoint Joey et Jack
Joey : Dawson, qu’est ce que tu fais là ?
Dawson : Fallait que je fuie cette maison. (Il embrasse Joey). Salut Jack !
Jack : Salut ! Joey, si tu veux, tu peux y aller, je finirais seul.
Joey : C’est gentil !
Chez Andie.
Andie (en pleurant) : Columbia venait de battre Cornell. On rentrait à la maison, il y a presque un an de ça. Notre père avait un peu trop abusé de son cocktail préféré alors c’est maman qui était au volant. Jack et moi, on se chamaillaient pour capter l’attention de Tim : on voulait toujours qu’il s’intéresse à nous. Et elle a pas vu ce gros camion… STP gardes ce que je viens te dire pour toi parce que j’ai pas envie que ma mère fasse l’objet de commérages
Pacey : Je n’en parlerais pas. Est-ce que ta mère s’est fait aider après ?
Andie : On essayé de l’aider, elle est allée à l’hôpital pendant un bout de temps. Notre père s’en sort mieux lui, il vient une fois par semaine. Il vit à Providence, ses affaires vont mal alors il va de soit qu’il souffre lui aussi. Tout repose sur mes épaules en gros. Jack m’aide, il fait ce qu’il peut mais il rêve, il vit dans un univers imaginaire, il arrive à faire comme si ce soir là, il ne s’était rien passé. Mais, elle est pas toujours dans cet état, parfois elle va même bien, mais on est jamais sur de rien, il n’y a que moi qui sache m’y prendre avec elle et c’est pénible, je te jure c’est très dur.
Pacey (en prenant Andie dans ses bras) : Viens, viens
Andie : Non, non, laisse moi, je ne veux pas de ta pitié.
Pacey : Mais si viens, c’est pas de la pitié, viens là !
Andie : Non.
Pacey : Viens, viens là. Ca va aller, ça va aller.
Dawson et Joey montent à l’échelle pour aller dans la chambre de Dawson.
Dawson : Tu avais raison pour la pleine lune.
Joey : Ah bon ?
Dawson : Joey, est ce qu’on peut rester assis dehors, quelques minutes ?
(ils restent assis sur le toit).
Joey : Ca va Dawson ?
Dawson : Oh, je ne suis pas très pressé de me retrouver dans la maison du désespoir !
Joey : Dawson, j’ai passé une soirée bizarre moi aussi et …
Dawson : Tu veux pas attendre, j’essaye d’oublier ce qui est arrivé. Tout ce que j’aimerais faire jusqu’à la fin de cette étrange soirée, c’est regarder ton visage à la lueur de la lune parce que pour moi, c’est ce qu’il y a de plus important.
Dawson : Regarde bien le ciel, qu’est ce que tu y vois ?
Joey : Je vois la lune !
Dawson : D’accord, regarde bien la lune, tu vas fermer les yeux.
(Joey ferme les yeux) Qu’est ce que tu vois ? Un visage.
Joey (toujours les yeux fermés) : Un visage ?
Dawson : Oui, tu sais bien « l’homme de la lune » ?
Joey : Ah oui, oui, j’y suis ! L’homme de la lune mais oui. Oh mais dit moi ?
Dawson : Quoi ?
Joey : Tu te trompes Dawson ! C’est la femme de la lune !
Ils s’embrassent. Dawson ?
Dawson : Oui ?
Joey : Ce soir, j’ai… je suis d’accord avec toi, c’est…la lune est vraiment très belle !
Chez les Leery, Gail est assise dans la véranda. Mitch la rejoint.
Mitch : Nos invités ont quitté le navire pendant le naufrage.
Gail : Il est temps Mitch !
Mitch : Oui, je sais.
Gail : Alors, tu veux peut-être que je…
Mitch : Tu restes ! C’est moi qui part !
Scènes finales
Plan de Dawson et Joey sur le toit, Dawson pleure dans les bras de Joey.
Jack au Ice house, assis entrain de lire le poème du client.
Pacey réconforte Andie dans ses bras.
Mitch allongé sur son lit, regarde en l’air.
Gail dans la véranda pleure.
Jen pleure, assise.
Dernier plan, Joey regarde la pleine lune.