Chambre de Dawson, il regarde Félicity à la télévision avec Eve:
Dawson: cette soirée n’a rien à voir avec ce que j’avais prévu, tu es venu ici pour qu’on parle, pour qu’on apprennent à mieux se connaître tout les deux.
Eve : après on peut le faire.
Dawson : ma foi peut être, je ne sais pas, enfin chaque chose en son temps, souviens toi quand même qu’on devait regarder une vidéo.
Eve : je préfère la télé.
Dawson : non attend tu plaisante?
Eve : non Dawson pas du tout.
Dawson : mais le cinéma c’est de l’art, ce ne sont pas que des inépesis entre deux pages de pubs.
Eve : ah ne sois pas aussi snob Dawson, réfléchit une série c’est comme un film au fond, en plus court, avec pleins de coupures pour aller au toilettes, et tu as une suite toutes les semaines.
Dawson : ah, les suites je déteste ça.
Eve : tu déteste ce que tu veux, moi j’adore.
Dawson : tu sais quoi, prend Félicity par exemple, tu passes une heure a l’écouter gémir, a analyser le monde, et tu sais ce qu’il y’aura dans les prochains épisodes, qu’il n’y ai pas de malentendus, elle est jolie, mais tu parle d’une héroïne, elle est indécise, et foncièrement paralysée par sa conception ultra romantique de ce que la vie devrait être, et dans le genre bavard c’est quelque chose.
Eve : tu lui ressemble.
Dawson : excuse moi.
Eve : Félicity, (elle se lève, et s’approche de Dawson) c’est toi Dawson enfin à part qu’elle est à la fac, que c’est une fille et que c’est…
Dawson : un personnage fictif de série télé.
Eve : exact, cela dit tu pourrai en être un, tu as toutes les chances pour le casting, (elle touche le visage de Dawson avec ses mains) chevelure parfaite, teint parfait, tu es un héros.
Dawson : tu m’as pas vu dans la dernière saison, c’était pas franchement parfait, non mais tu vois en général le reproche que je fais à la télévision, c’est que ce n’est pas la réalité, c’est la perfection, le personnage principal ne perd jamais la tête, c’est très rare qu’on le teste vraiment, jamais il ne prend le mauvais choix ou il ne prend la mauvaise décision.
Eve : (elle éteint la télé) et c’est là que j’interviens moi, et oui deuxième saison, (elle s’allonge sur lui) les choses vont bouger, je vais bousculer le statu quo.
Dawson : bon, super tentatrice (il perd un peu ses moyens), qui testera sans vergogne le grand sens moral du héros.
Eve : survivra-t-il, demeura-t-il intègre, la suite dans un instant.
Dawson : ce que je déteste également à la télévision, c’est qu’il envoie toujours la pub, au meilleur moment.
Générique
Chambre de joey, le réveil sonne, elle ouvre les yeux, elle est déjà habillée et se rend compte qu’elle est en retard, elle met ses chaussures et s’en va en courant au lycée, elle arrive devant la salle de classe et celle-ci est fermée, les élèves sont en plein examens, elle voit alors Dawson frappe contre la vitre, et l’appelle, (Dawson) elle frappe de plus en plus fort, Dawson, mais en vain, elle frappe encore plus fort et hurle (Dawson), et le réveil sonne de nouveau, elle ouvre les yeux, elle prend son réveil, et souffle, ce n’était qu’un rêve.
Chez les Mc Phee, Andie est dans le salon avec la télé allumé, elle est en train de faire des abdos, avec ses fiches de cours, elle révise pour les examens, et parle en même temps que l’animatrice télé.
Animatrice Télé : bonjour il est 6H40 , et il fait 17 degrés c’est encore (en même temps)
Andie : une belle journée qui commence a Capeside
Animatrice : une belle journée qui commence a Capeside, et tandis que des millions de jeunes gens continue de préparer l’examen qu’il passeront samedi nous recevons Jack Katzman l’auteur du best seller de « L’art de potasser ».
Andie (se relevant le livre à la main) : je t’ai pas attendue ma belle.
Animatrice télé : un ouvrage très utile, pour tout les élèves qui vont passés une épreuve des plus difficiles de l’année en cours.
Andie : plus difficile de l’année, d’accord on essaie pour voir, dogmatique, synonymes : systématiques, intraitable, obstinée, inflexible, antonymes à présent.
Maison de Jen, jack et Jen sortent de la maison et sont en train de réviser aussi:
Jen : obscure, ambivalent, euh… équivoque. (jack porte des fiches dans la main, regarde Jen et sourit)
Jen : quoi, tu pensait sans doute que Dawson était le seul à posséder un tel vocabulaire.
Jack : non je croyait qu’on était plus obligés de réviser comme avant, avec nos nouvelles activités extra scolaire.
Jen : ah, on redescend sur terre, je te signale que tu ne joue pas encore chez les pros (elle prend les fiches et les étales entre ses mains) aller a ton tour, prend une fiche au hasard.
Jack : nonchalant, hum sa va, synonymes alors euh, (en même temps que jack dit les synonymes, la scène montre Pacey dans sa chambre en train de dormir) insouciant, indolent, oh flegmatique.
Salle de classe, un rétroprojecteur est allumé et le mot nonchalant est au tableau, le proviseur Greene est là, et il les fait réviser:
Greene : bien, et maintenant antonymes, M. Leery ?
Dawson : alerte, attentif, zélé, je me demande si cet examen es une authentique évaluation de l’intelligence ou alors une espèce de pièges visant à éliminés certaines catégories.
Greene : c’est assez bien vu, Dawson, l’examen qu’il concerne est loin d’être parfait, rien ne vous empêche de dire qu’il a été crée pour vous faire trébucher, pour vous déstabilisé, pour vous prouvez que vous n’êtes pas aussi malin que vous ne le pensez, mais si vous voulez rentrez à l’université, c’est à ce jour le seul moyen. (la sonnerie retentit, touts les élèves se lèvent pour partir) je n’ai pas terminé, n’oubliés pas, demain examen blanc en maths, c’est noté, venez avec un crayon à papier et votre cervelle aussi et n’oubliez pas de les affûtés touts les deux avant de venir. Joey un petit instant s’il vous plaît.
Dans les couloirs du lycée, Andie porte un tas de bouquins et de fiches sur elle, et ne regarde pas où elle marche, et boum, elle rentre en collision sur Pacey, elle fait tombée alors toutes ses fiches.
Andie : qui as dit que la vie n’était pas drôle.
Pacey et Andie se baissent en même temps, et se mette un coup de tête par erreur
Pacey et Andie : aïe
Ils s’accroupissent touts les deux par terre, Pacey se tenant toujours la tête entre ses deux mains.
Andie : t’en fait pas Pacey je te jouerais pas la scène effroyable ou la fille lance, oh j’espère qu’il ne pensait pas les choses affreuse qu’il a sorti, quand il m’a laissée tombée.
Pacey : tu me soulage drôlement là, parce que très sincèrement, je ne tenais pas à joué le type bourré de remords, d’autant plus que c’est elle qui s’est tapé un dépressif à l’asile.
Andie : on est d’accord.
Pacey : je sais que ce ne sont plus mes affaires, mais tu n’as jamais entendu parler de sur préparation aux exams.
Andie : c’est sans doute le contraire de non préparation.
Pacey : qui est, elle-même l’opposée de l’agité frénétique, face a ce qui ressemble de prés ou de loin au révisions.
Andie : si tu veux jeter aux orties tout ce que nous avons…(ils se regardent) je voulais dire tout ce que tu as fait, sa m’est complètement égale.
Pacey : ouai, ouai
Andie : moi de mon coté, je ne laisserai une histoire qui se termine mal de me détournée du chemin, que j’ai décidée de prendre (elle le regarde et lui sourit, elle ramasses toutes ses fiches se lève et s’en va) Au revoir.
Pacey lui reste a terre et la regarde partir, avec une certaine tristesse dans les yeux.
Salle de classe, joey et le proviseur Greene discutent :
Greene : si vous vous donnez à fond, il est évident que vous décrocherez une bourse national.
Joey :oui, c’est-ce que tout le monde me dit, et ils n’arrêtent pas.
Greene : c’est beaucoup de pression n’est-ce pas?
Joey : j’ai des insomnies toutes les nuits.
Greene : croyez moi, je connais bien ça.
Joey : c’est plus fort que moi, je me dit que si je rate cet examen, je vais finir femme de ménage, a faire les lits et récurés les baignoires dans je ne sais quel motel sordide.
Greene : joey, je crois que j’ai une solution, accordez vous une soirée détente, relaxez vous, hein, sortez avec des amis, louez vous une cassette vidéo, tout ira bien vous verrez, ça sera même mieux que bien, nous savons ce que vous valez, toute l’école a confiance en vous (ils se sourient) courage
Joey : (le regardant et secouant la tête en lui souriant) ah, pff
Couloirs du lycée vers les casiers, Joey va voir Dawson:
Joey : Dawson?
Dawson : bonjour.
Joey : vu, que nous avons fait la paix touts les deux, Est-ce que je peux te demander un soutien amicale?
Dawson : bien sur oui
Joey : géniale, j’en ai vraiment besoin.
Dawson : t’as besoin de quoi?
Joey : d’une soirée, de divertissement, quelque chose de futile, Jurrasic Park, ou un de ses films, avec des météroïtes, des astéroïdes, des bombes atomiques, où Bruce Willis, un sur homme au crâne dégarni, réussit à sauver tout seul le monde sans transpirer une seule goutte. (elle regarde Dawson souffle et sourit) quelque chose qui m’aiderai a oubliée les exams quelques heures.
Dawson : je comprend l’enjeu, est important.
Joey : il s’agit seulement de mon avenir.
Dawson : eh ben va y, dit moi où, et quand?
Joey : sa te va ce soir?
Dawson : euh, ce soir je…
Eve viens d’ arriver
Eve : salut sa va les petits jeunes?
Joey : disons neuf heures.
Dawson : (mal à l’aise) eh ben, à vrai dire ce soir, on avait l’intention de (il montre Eve) oui mais si tu veux, tu peux venir?
Joey : (elle rigole) oui, je pourrai sur une autre planète et dans un autre univers, (elle regarde Eve ) sans vouloir te vexer. (elle s’en va)
Eve : je peux avoir une explication?
Dawson la regarde et soupir
Sur le terrain de football, les joueurs sont en train de s’entraîner, il y’a Jack, Henry, et le coach Mitch :
Mitch : allez un peu plus de contacts les gars, je veux vous voire décollez, aller hop hop, mettez la gomme, j’en ai assez des chiffes molles, a toi Mc Phee.
Henry : t’inquiète pas Jack, tu vas y’arrivé, n’oubli pas quand t’es touché, pas d’affolement, tu bronche pas, tu étreint la balle, (lui tendant le ballon) tu étreint la balle.
Jack : (prenant la balle) j’étreint la balle
Mitch : en position (jack se lance alors contre les joueurs et se retrouve par terre, Mitch se dirige vers lui, et parle aux deux qui l’on fait tomber) ouai super bien le contact, vous l’avez mis chaos là, (s’adressant a Jack) debout Mc Phee (il l’aide a se relever) tu gâche le paysage, aller debout, on y retourne.
Jack : coach, vous voyez pas qui me traitent différemment des autres?
Mitch : si, mais pas pour les raisons que tu crois.
Jack : je suis pas dupe, sa crève les yeux.
Mitch : écoute jack, homo ou hétéro, tu es nouveau dans l’équipe, je veux que tu apprenne a protège la balle comme il faut (il lui remet le ballon) alors tu y retourne et sans râler (il lui mets une tape sur la tête) Mc Phee en position ! (il reprend l’exercice et se retrouve de nouveau à terre)
Henry : tu m’entends Jack? Jack tu sais ou t’es?(il lui montre sa main) combien de doigts tu vois?
Jack : (toujours à terre) je vais faire un massacre.
Sur le port, au travail de Joey
Rob : ce type, c’est pas exactement ce qu’on appelle un homme à femmes, mais je lui est dit, c’est facile y’a qu’une règle efficace et simple, les femmes tu leur donnent ce qu’elles veulent.
Joey : heu… et si tu me donnait ce que je veux Rob.
Rob : elle se lance enfin
Joey : libère moi vendredi soir, je dois étudier, c’est samedi qu’aura lieu l’examen.
Rob : heu oui d’accord, pourquoi pas joey, je sais très bien ce que c’est, hors évidemment je ne l’ai pas passé cet exam.
Joey : ton père est le fondateur de l’université
Rob : non, juste un généreux donateur, j’avais engagé un remplaçant, je suis sérieux, j’avais payé une grosse tête mille dollars, il y’est allé à ma place, il m’a même décroché une bourse.
Joey : hum, moi je dois assurée, et oui comme je suis fauchée, merci, a charge de revanche.
Rob : euh, une suggestion, je pourrai d’amener au restaurant pour célébré la fin de ton examen, disons samedi soir toi et moi.
Joey : ha, c’est gentil, mais j’ai un mari qui prend très mal quand je vois du monde.
Rob : ah, je suis rassuré, j’ai cru que t’allais me dire que tu te lavais les cheveux.
Joey : non, les shampoings c’est le mercredi, je vais être franche, Rob en réalité, je suis lesbienne.
Rob : une fille que je connaît ? Bon alors samedi soir dîner en tête à tête sa te tente?
Joey : tu seras pas trop fâché si je te dit non.
Rob : t’as le droit, c’est toi qui voit, c’est pas grave (il part et à l’air vexé)
Chambre de Dawson il lit un livre et la fenêtre de sa chambre est ouverte, soudain il entend du bruit et s’aperçoit qu’il y’a une pomme rouge sur le rebord de la fenêtre, il sourit.
Dawson : je commençais à m’inquiéter
Eve : je voulais te trouver la pomme parfaite, va y croque là pour ci elle aussi délicieuse qu’elle en a l’air.
Dawson : (prenant la pomme dans sa main) et si je la croque?
Eve : tu seras faire la différence du bien et du mal durant toute ta vie, viens sur le toit Dawson, c’est une magnifique nuit (il la rejoint sur le toit) alors?
Dawson : je n’était pas revenu ici, depuis que joey et moi
Eve : joey? Tu parle de la brune qu’on voit partout? Celle qui n’a aucune conscience du pouvoir et de l’emprise qu’elle a sur le cœur des hommes du coin?
Dawson : oui, elle vit de l’autre coté de la rivière, elle restait dormir tout le temps avant qu’on ne développes des caractères sexuels secondaires.
Eve : j’ai eu un voisin dans le genre moi aussi.
Dawson : ah bon.
Eve : hum, c’est assez répandu.
Dawson : c’était quoi son nom?
Eve : Monroe, on vivait quasiment côte à côte à la base.
Dawson : tu es fille de militaire sans blagues.
Eve : l’armée est un peu ma deuxième terre, nos maisons était si proches que chacun voyaient l’autre dans sa chambre.
Dawson : ah oui, sa devait être bien, c’était pratique?
Eve : et comment, le seul problème c’était que cet homme était le chef de camp de mon père. (Dawson est un peu choqué, Eve se retourne et lui tend une enveloppe) oh après la pomme, il y’a ça.
Dawson : et qu’est-ce que c’est?
Eve : disons un soutien scolaire.
Dawson : ah non attend c’est…
Eve : tu as deviné? Copie de l’examen tant redouté.
Dawson : (bafouillant) oh pour quelles raisons tu me montre ça?
Eve : ben, j’ai prévu de t’en faire cadeau.
Dawson : c’est hors de question, garde les.
Eve : hein, sois pas si égoïste, Dawson je peux concevoir que ce soit incompatible avec ton étique, mais il y’a très probablement quelqu’un que sa intéresse (elle lui donne l’enveloppe) la pomme n’est qu’un symbole, ça c’est la vrai tentation.
Au lycée, en salle de cours Dawson à réunit touts ses amis autour d’une table, où l’enveloppe est posée.
Pacey : ce n’est qu’une enveloppe, non c’est pour que tu nous convoquent et qu’on doit tous chuchoter?
Joey : Pacey, regarde ce qui est marqué dessus, elle vient du service centrale des examens.
Jen : Dawson ce n’est pas ce que je crois si?
Dawson : a ton avis?
Andie : oh non.
Jack : et ou Est-ce que tu la déniché?
Dawson : quelle importance?
Andie : quelle importance? Si on doit être arrêté, noté et jetés en prison, sa serait quand même intéressant de savoir pour qui on va plonger.
Dawson : quelqu’un m’a donné cette enveloppe.
Joey : quelqu’un avec les cheveux blond et court, dont le prénom rime avec sève?
Dawson : hein hein
Pacey : oh, elle est géniale, cette fille me plaît elle est géniale.
Joey : Dawson vient de encore de prouver la supériorité de l’entre jambe sur le cerveau.
Jen : tu as regardé ce qu’il y’a dedans, une étiquette se décolle et se recolle facilement, c’est peut être une blague?
Pacey : y’a qu’une façon de le savoir.
Andie : ouai c’est ça Pacey t’as qu’as l’ouvrir, comme ça ton retour dans l’univers des cancres sera une complète réussite.
Pacey : c’est peut être toi qui devrait l’ouvrir, parce que la triche te réussit plutôt bien, tu as fait de sérieux progrès dans ce domaine.
Jack : personne n’ouvrira quoi que ce soit, Dawson tu vas la remettre là où tu l’as trouvé et nous on a rien vu du tout.
Jen : bon, je n’ai aucune envie de réagir comme une lycéenne de base mais comme j’en suis une, je m’interroge, si on regarde c’est vraiment mal?
Pacey : on regarde et en une demie heure chrono, je vous prépare l’anti séche du siècle.
Dawson : je vous avoue que ma première réaction a été de m’en débarrassé, mais je pose de tas de questions, est-ce que sa en vaut la peine? Tricher c’est mal, je sais mais j’ai préféré vous amenez l’enveloppe pour qu’on en discute.
Joey : cours de morale pour Dawson réveille toi une seconde, ce n’est pas bien, d’accord c’est un examen extrêmement important pour nous, mais sa ne se fait pas.
Dawson : sauf, quand on veux être brillamment reçu pour obtenir une bourse national. (il lui passe l’enveloppe, Jen l’attrape et la tend vers jack)
Jen : ou quand on est tellement occupé, fatigué qu’on a plus d’énergie pour étudié (jack la passe alors a Andie)
Jack : ou alors quant on a très envie d’intégré Harvard (Andie tend l’enveloppe vers Pacey )
Andie : ouai, ou quant une relation raté vous a mis dans un état émotionnel tel, que vous en avez plus rien a faire de rien. ( Pacey tend a son tour a Dawson)
Pacey : où bien quand vous brassé de l’air 24 heures sur 24.
Dawson : finalement, on aurai tous une bonne raison.
Greene : mes demoiselles, messieurs veuillez prendre place, un examen blanc en maths rien que pour vous. (soudain l’alarme a incendie retenti, Dawson a retourné l’enveloppe sur la table, le proviseur Greene est juste derrière lui) ouai sa a faillit, bon, vous connaissez la procédure, laissez vos affaires là ou elles sont, et vous sortez dans l’ordre et le calme (il dépose les copies juste à coté de l’enveloppe) Mr. Leery on se dépêche.
Dawson : j’y vais
Tout les élèves sortent alors dehors.
De retour dans la salle
(Dawson est sous la table) :
Joey : Dawson?
Dawson : elle n’est plus là.(il cherche l’enveloppe)
Joey : qui n’est plus là?
Dawson : la chose.
Joey : ouai, très drôle (elle se baisse a son tour)
Dawson : j’ai déjà regardé
Jack : tu la laissé ici?
Dawson : je n’ai pas eu le choix, Greene était à coté.
Jen : dans ce cas c’est lui, (tout le monde la regarde) ha ha, je rigolais, attention.
Dawson : y’a pas de quoi rire, Pacey dit moi que t’es revenu sur les lieux et que tu as trouvé une autre issue.
Pacey : excuse moi!
Dawson : elle n’est plus là.
Pacey : qui ça?
Dawson : réfléchis.
Pacey : hum hum ha ha, ha
Dawson : hum hum, elle n’est pas disparu ou hum hum tu ne la pas?
Pacey : euh ben les deux, ou ni l’un ni l’autre, autant que vous le sachiez tout de suite, je ne sais même pas de quoi vous parlez.
Andie : Pacey arrête de faire le guignol.
Pacey : non je ne fais pas le guignol, Andie, je suis juste autant malheureux que toi, aussi affligé, aussi bouleversé
Andie : ah
Greene : le club des six, les vedettes de Capeside, ah j’adore les débats matinaux, quel est le sujet du jour? Non non une minute ne me dites pas je vais deviné, pourquoi cet examen stressant, n’est t’il pas un examen oral, je regrette jeunes gens mais c’est chacun pour soi maintenant, alors soyez gentils vous oubliez le groupe et vous vous installez, allez un peu de nerfs. (ils vont tous s’asseoir, Dawson est très inquiets)
Au port, au travail de joey, elle est pensive et ne vois pas que le réservoir qu’elle remplie déborde.
Rob : joey, mais enfin sa va pas la tête, mais qu’est ce que tu fais?(il se précipite vers elle et lui retire la pompe des mains)
Joey : c’est une bêtise d’accord, mais calme toi.
Rob : (au client) excusez moi, je suis désolé, elle est nouvelle, la maison vous offre le plein.
Joey : rien ne t’obligeais, a être aussi généreux, j’ai rempli leur réservoir, j’en ai mis à coté c’est vrai, mais sa n’a rien n’avoir avec une marée noire.
Rob : je déduirais ce montant de ta paie, 38 dollars, Potter, et ton soir de congé vendredi, annulé.
Joey : quoi?
Rob : je vais le dire autrement, tu travaille demain soir.
Joey: ah oui, alors tu la joue comme ça ?
Rob : et qu’est-ce que joue comme ça?
Joey : sa ne concerne absolument pas ce que j’ai fait, c’est en rapport avec ton petit égaux de Don Juan, tu ne supporte pas d’être rejeté par une femme.
Rob : sincèrement je ne vois pas de quoi tu parle, Potter.
Maison de Grams, Jen et Jack sont dans la salle de bain, Jen enroule jack d’une bande autour du torse.
Jack : ouille, aie, attention Jen
Jen : surtout évite de faire des mouvements brusques.
Jack : je me contrôle pas quand cet douleur au thorax se réveille.
Jen : vous êtes pourtant rembourré de partout?
Jack : en ce qui me concerne, sa doit être un rembourrage virtuel.
Jen : je constate avec soulagement que ton sens de l’humour est resté intact.
Jack : ils finiront par l’avoir lui aussi.
Jen : ouai.
Jack : c’est décidé, demain matin je leur rend mon casque.
Jen : jack tu plaisante ?
Jack : regarde dans quel état je suis.
Jen : ok mon cher tu veux être un dégonflé, sois un dégonflé vas y.
Jack : attend, Chef teigne, sa ne m’intéresse pas de joué les victimes pour prouvé quoi que se soit, c’est pas une profane comme toi, psychologue a ses heures qui va m’empêché de partir, je veux pas finir mort sur le terrain.
Jen : d’accord, d’accord, moque toi, seulement regarde la vérité en face, quand on jette l’éponge on en conclut toujours qu’on est pas à la hauteur.
Jack : ah, je vois tu veux dire en clair que ce que j’apprendrai sur le terrain, surtout en matières de sacrifices et de souffrances pourra mettre infiniment utile dans la vie.
Jen : hum hum.
Jack : et que si j’abandonne aujourd’hui, j’abandonnerai dans toutes les situations plus importante et pour toutes les années à venir.
Jen : c’est tout à fait ça.
Jack : eh ben j’abandonne.
Jen : très bien gros malin, mais écoute quand même mes arguments, ce jour là tu as attrapé la balle, si tu veux traite moi de cruche, traite moi de superstitieuse mais le destin t’a lancé cette balle jack, j’ignore pourquoi mais il la fait, peut être que tu as été désigné pour devenir un athlète homosexuel reconnu, qui aidera les autres à surmonter ce qu’ils sont. La mission c’est peut être de réhabilité l’honneur de l’école en gagnants des matchs et de développé son sens moral, ou bien peut être que c’est juste une étape indispensable pour trouver quelque un qui vit la même chose que toi. Tu ne connais pas les raisons et tant que tu ne les connaîtra pas accroche toi à cette balle.
Jack : ta première réaction était la moins nulle, (Jen se lève en soupirant et arrache la bande des mains de jack) aïe, qu’es ce qui te prend?
Jen : ne jamais répliquer face à une personne qui peut vous couper le souffle, (elle lui tape sur le torse et s’en va, la bande de Jack se décolle, il soupir).
Nuit au lycée, Dawson est dans la salle de cours et recherche encore l’enveloppe avec Eve :
Eve : tu perd ton temps, Dawson.
Dawson : elle doit bien être quelque part?
Eve : qu’es ce que tu t’imagine?
Dawson : oh Eve, es-ce tu pourrait faire semblant au moins de sauver ma peau.
Dawson : ta peau, elle est douce c’est vrai mais…
Dawson : mais quoi?
Eve : (elle rit) mais tu n’as aucune chance de trouver ce que tu cherche avec autant de frénésie.
Dawson : qu’es ce que tu en sais? je l’avais laissé sur cette table, une minute après elle c’était volatilisé cette enveloppe doit bien être quelque part…
Eve : vite Dawson voila quelqu’un (ils se cachent tout les deux sous une table, le gardien de l’école rentre dans la salle)
Eve : (en chuchotant) éteint la lampe.
Dawson : question à un dollar, qu’es-ce qui fera mieux dans mon dossier scolaire d’après toi? A- tricheur, B- possession de document volé, c- effraction caractérisé ou d- les trois à la fois?
Eve : ta raison dawson. (le gardien est s’en va)
Dawson : à propos de quoi?
Eve : sortons d’ici, et puis si tu tiens vraiment à la récupéré se ne sera pas très difficile.
Dawson : ah bon? Comment ça?
Eve : elle n’a jamais disparu Dawson, c’es un petit rusé qu’il là.
Dawson : et qu’es ce qui te fait dire ça?
Eve : l’intuition féminine tu connais?
Dawson : si ce que tu avance est vrai, sa peut être n’importe qui, on était une vingtaine dans la classe quand l’alarme s’est déclanché.
Eve : procédons par élimination, parmi ses élèves, combien savaient ce que contenait cette enveloppe?
Dawson : cinq, enfin six avec moi.
Eve : entre nous qui irai piqué un truc dont il ignore la valeur? Tu comprend maintenant, arrête de te voiler la face, en ce moment Dawson, dans sa petite chambre, un de tes amis est le plus tranquillement du monde en train feuilleter les pages, et de brisé l’alliance sacrée.
Bureau de Greene, Dawson, Joey, Andie, Pacey, Jack et Jen s’y trouvent :
Greene : un mois après ma prise de fonction, comme principal de Capeside, je dois affronter un scandale qui a d’ores et déjà un retentissement national, alors que se soit clair, débrouillez vous comme vous voulez, ou l’un de vous se sacrifie et endosse tout sur son dos, ou vous assumez tout les six cette erreur, par je ne sais quel élan de loyauté et de solidarité mais il me faut des aveux complets et il me les faut sur le champs, faute de quoi vous serez tous exclu de Capeside (joey se lève)
Dawson : joey? (elle sourit et appuie sur l’alarme, c’est alors qu’elle ouvre les yeux, ce n’était qu’un rêve)
Au lycée, dans la salle de classe, ils se retrouvent encore tout les six :
Joey : quel genre de produit défendu, tu vas nous proposer aujourd’hui, tu as le prototype de la dernière invention de Bill Gates?
Dawson je vous ai demandé de venir parce que, je vous vous donnez enfin nous donnés, une chance de rectifié le tir.
Jack : de quel façon?
Dawson : celui ou celle qui a volé l’enveloppe, doit la rendre.
Jen : l’enveloppe en question n’avait pas déjà été volé?
Pacey : oh, j’adore la tournure de l’esprit de cette fille.
Dawson : c’est vrai Jen, mais elle a disparu, alors qu’hier elle était là.
Joey : qu’es se qui a de mal a considéré qu’elle est perdu Dawson?
Jack : joey a raison, et la personne qui s’en servira n’était pas aussi désespéré que nous, elle a juste été plus rapide.
Andie : sa en dit long sur le niveau t’intégrité de notre groupe, sa gêne personne cette histoire?
Pacey : eh bien je crois que je fait l’écho de notre groupe en confirmant haut et fort que non.
Jen : j’ai l’impression d’être psychologiquement manipulée, d’être réduite à l’état de rat de laboratoire.
Joey : le seul rat de laboratoire ici c’est Dawson.
Dawson : fait attention joey.
Joey : tu organise des fêtes, tu as détruit ton bateau, tu souffle la vedette à l’équipe de foot, tu es manipulé, voire génétiquement modifié. (Pacey rit)
Dawson : Eve n’a rien à voir la dedans.
Joey : euh ah, c’est vrai que Dawson Leery est un professionnel averti de la contrebande.
Dawson : joey, elle ne m’a pas dit ce que je devais faire du contenu.
Joey : tu es tellement aveuglé par son look aguicheur que tu n’aurais même pas entendu si elle te l’avait dit, quant elle t’a tendu l’enveloppe je parie qu’elle n’a même pas eu le droit à un petit laïus moralisateur, et c’est nous qui devrions nous asseoir ici et subir le numéro éculer de Dawson prince de la probité, les fausses blondes malveillante sont dispensées de ce calvaire elle.
Dawson : sa y’est tu as fini?
Joey : je pourrai continuée.
Dawson : je suis navré de vous avoir entraîné la dedans, mais l’un de nous a compliqué les choses en volant cet enveloppe. Voilà ce que je propose, je vais laissé mon casier ouvert, celui ou celle qui a l’enveloppe la déposera dedans avant cinq heures et demi.
Pacey : oh, je t’en prie Dawson, le méchant voleur n’est pas idiot, il a déjà quitté les lieux du crime enfin, qu’est-ce qui gagnerai en restituant son larcin hein?
Dawson : il aurait meilleur conscience.
(tout le monde s’en va)
Pacey marche dans les couloirs du lycée et il est interpellé par Andie:
Andie : t’as une seconde, c’est important Pacey.
Pacey : bien sur.
(il la suit, elle l’emmène dans une salle de classe)
Pacey : heu Andie, je suis pas trop dans le trip mise en point et confidence aujourd’hui, donc alors si on pouvait faire court?
Andie : d’accord, voilà (elle lui tend un carton) dernier volet des négociations.
Pacey : qu’est-ce que c’est?
Andie : regarde toi-même.
Pacey : casquette des panthères, (il la met sur sa tête) tee-shirt, Dumbo, mais c’est la première chose que je t’ai offerte cette peluche.
Andie : tu trouveras tout les cadeaux que tu m’as fait dans cette boîte, les bijoux les Cds, les photos, bref tout est là.
Pacey : tu trouve pas ça un peu radical?
Andie : Pacey, cette rupture je refuse qu’elle soit interminable, aujourd’hui tu n’a plus affaire au paquet de nerfs que tu as rencontré l’an dernier, ma vie est en ordres et j’ai l’intention de tout faire pour que sa dure, j’ai des projets.
Pacey : ouai, ouai je sais Harvard à tout prix.
Andie : je voulais que tu en fasses parti, c’est au dessus de tes moyens, alors on tire un trait.
(il lui tend une photo de tout les deux)
Pacey : tu garde même pas un souvenir.
Andie : surtout pas ce genre de souvenirs.
Pacey : très bien, si c’est les conditions dit moi où je dois signer.
Andie tu viens de signer.
Sur le terrain de football, jack s’entraîne aux cotés de Henry.
Henry : continue jack, c’est bien mets le paquet, ouai ouai c’est super aller va y pousse pousse, relâche pas, pousse pousse pousse! Tu sais ce qu’il te faudrait?
Jack : hein, quoi?
Henry : un mantras, un mot ou un son secret, ils en ont tous un.
Jack : ah ouai, à quoi sa sert?
Henry : sa permet de se concentré, sa t’aide oublié le faites que t’es sur le point de te faire anéantir par un colosse qui pèse au moins 120 kilos de plus que toi, qui crache du feu et qui va t’arraché la balle.
Jack : c’est géniale.
Henry : je suis sérieux jack, faut toujours éviter de penser, dans ce sport quand tu penses t’es mort direct.
Jack : je peux te poser une question, pourquoi tu fais tout ça?
Henry : qu’es ce que tu veux dire?
Jack : tu me prend en charge, tu me…
Henry : c’est très facile, y’a deux raisons, primo: j’ai très envie que les minutes men gagnent des matchs et sans tes mains d’artistes on a aucune chance et secundo: euh oui euh t’es gay, enfin non non c’est pas ce que je veux dire, enfin c’est pas un secret?
Jack : non, et pourquoi tu t’intéresse tout un coup à ma sexualité?
Henry : euh ben c’est euh, c’est à cause de cette fille que tu fréquentes, d’ailleurs c’est plus un ange ou une déesse.
Jack : qui ça?
Henry : je rêve d’elle en permanence jack, toutes les nuits, des rêves hyper forts, je vois ces jambes, sa bouche, je rêve de ses seins, si elle m’autorisait de l’approché rien que pour sentir son doux parfum, si elle m’embrassait oh si elle me tenait dans ses bras jack si elle me libérait de cette vie de mensonge, ce serait la preuve éclatante que tout ce qui est mauvais ou hypocrite dans ce bas monde pourrait être corrigé.
Jack : du calme henry, ressaisit toi.
Henry : tu vois dans quel état elle me met, il va falloir que tu m’aide je t’en prie sois cool.
Jack : attend il ne s’agit pas de la fille, a laquelle…
Henry : la fille chez qui tu vit.
Jack : Jen lindley
Henry : uh hum (Jack éclate de rire) quoi?
Jack : je vais te donné un conseil, attention sa n’a rien de désobligent, rien du tout d’accord seulement, t’es un gamin par conséquent, ta un peu près autant chance de séduire Jen Lindley que moi t’écrasé ses colosses demain.
Sur le bord, au boulot de joey, Pacey est complètement ivre, et il s’amuse avec la cloche.
Joey : c’est bon j’arrive, t’as fini de t’amuser.
Pacey : écoutez, je suis un bon, un très bon client mon petit, je vous demanderez donc de me traiter comme tel.
Joey : tu as bu, c’est ça?
Pacey : que de l’alcool, promis juré.
Joey : qu’es ce qui ne va pas?
Pacey : oh rien un bon feu de bois et tout sera réglé, tiens regarde (il prend la boîte dans sa main celle qu’Andie lui a donné un peu plus tôt) notre amie Andie a décidé de façon draconienne de me gommer de sa vie pour préservé sa santé mentale et les autres victimes de cette épuration sont dans cette boîte et… (Pacey s’écroule par terre et la boîte atterrit dans l’eau, Pacey est à terre) bonjour mesdames les planches.
Joey : (elle s’accroupit vers lui) Pacey
Pacey : joey?
Joey : oui?
Pacey : rend moi service, je peux rentrer à la maison ivre mort, téléphone à mon père et dit lui que je suis là.
Joey : d’accord.
Pacey aperçoit alors la photo de lui et Andie il tente de la récupéré mais la fait tomber dans l’eau, la photo coule et on voit alors Pacey plus triste que jamais.
Au lycée dans les couloirs :
Eve : tu es un vrai St Bernard Dawson, loyale et fidèle jusqu’à la fin.
Dawson : dans moins de trente secondes, je vais ouvrir ce casier et te prouver que tu as tort.
Eve : ça alors comment peut tu en être aussi sûr?
Dawson : j’ai un faible pour les fins heureuse, c’est comme ça j’y peux rien.
Eve : les fins heureuse, y’a une contre indiction dans ses termes tu ne trouve pas non?
Dawson : cette histoire te plaît?
Eve : non pas vraiment, coté conte de fées je dois admettre que j’aurais plutôt tendance à préféré ceux des célèbres frères Grimm.
Dawson : c’est fou comme tu peux être cynique parfois.
Eve : c’est fou comme tu peux être naïf tout le temps. (Dawson ouvre son casier mais ce dernier ne contient pas l’enveloppe)
Eve : rien n’est encore tout à fait perdu mon doux prince.
Dawson : j’ai une faveur à te demander, laisse moi tranquille tu veux.
Eve : tu es sur, tu sais que je peux d’aidé à la récupéré.
Dawson : de quel façon ?
Eve : eh bien en te disant qui la volé.
Dawson : eh ben je t’écoute.
Eve : qui sa peut être selon toi?
Dawson : je n’en sais rien.
Eve : si tu le sais, tu as pensé à quelqu’un là avoue, c’est lui le voleur.
Dawson : tu crois que c’est aussi simple?
Eve : oui, c’est simple et évident.
Dawson : non,je ne crois pas, si il y’a au moins une chose que j’ai apprise en préparant cet examen, c’est la réponse la plus évidente est rarement la bonne.
Eve : oui, mais là ce n’est pas une question pour tester tes connaissances, regarde ta photo de classe de plus près, tu verra c’est limpide, les élèves qui ont une chance de réussir réussissent en générale et ceux qu’on imagine bien dans un habit de forçat, se retrouvent souvent en perçant des trous dans la montagne, bienvenue dans le monde réel Dawson, où ton meilleur ami est toujours la première personne à te poignardé dans le dos.
Au boulot de joey, elle s’est endormi et Pacey regarde dans le vide.
Pacey : tiens tiens ne serait ce pas l’inspecteur Dawson Leery, on peut savoir ce qui t’emmène ici à cette heure indu.
Dawson : tu es saoul ?
Pacey : tu es astucieux.
Dawson : c’est demain l’examen, tu aurai pu attendre pour te saouler.
Pacey : je n’ai pas besoin de réviser, c’est moi le voleur n’est-ce pas?
Dawson : si c’est toi, rend moi l’enveloppe.
Pacey : oh, je voudrai tant l’avoir piqué, ah bon sang ce que sa m’arrangerai, mais je ne l’ai pas, et non elle est pas ici l’enveloppe, ni sous mon lit avec mes magazines cochons et tu ne la retrouvera jamais Dawson .
Dawson : Pacey, nous sommes amis depuis 16 ans, et je ne suis pas tout à fait idiot.
Pacey : ami, hein, c’est toi qu’il le dit, tu sais ce mot ami, il est très intéressant, il est plein de sens tu vois et être amis sa implique en outre que tu crois ton ami quand il de dit quelque chose.
Dawson : ouai, quand il me dit la vérité.
Pacey : quand il te dit, hum, (il rit) tiens sa te dirai que je te dise ce qui me fait franchement rigoler dans tout ça, ce je trouve cocasse mais alors très cocasse dans cette histoire c’est que toi Dawson Leery, t’a été capable de garder les épreuves, t’a réfléchis, tu les as pas jeté, tu les a pas rendu à Eve et tu nous les a carrément collés sous le nez.
Dawson : non je voulais consulter mes amis, j’ai confiance en vous, je voulais que vous m’aidiez à tranchez la question, je n’aurai jamais cru que l’un de vous serez assez égoïste et faible, pour subtilisé l’enveloppe et son contenu.
Pacey : égoïste et faible tu dis, lesquels de ses deus adjectifs valorisants me convient le mieux?
Dawson : tu es ce que tu es Pacey.
Pacey : oui certainement, toi aussi d’ailleurs, et qu’est-ce que tu es Dawson Leery, tu n’es qu’un pauvre type arrogant qui a plus de considération pour son code de référence ringarde et ses valeurs dépassés que pour tout ceux qui n’arrivent pas à s’y soumettre.
Dawson : quel exercice de style, t’as fait fort pour un pauvre type sans cœur, décérébré qui laisse tomber sa copine alors qu’elle le supplie de comprendre et d’avoir un peu de compassion.
Pacey : moi, je n’ai pas envoyé son père en prison.
Dawson : tu l’as seulement rendu folle. (Pacey envoi un coup de poing à Dawson, et à son tour il lui rend un coup de poing qui fait tomber Pacey au sol, joey arrive)
Joey : qu’est ce qui l’a, Dawson qu’est ce que tu lui as fait?
Pacey : c’est ma faute je suis désolé.
Joey : (regardant Dawson) il est temps d’arrêté ça s’il te plait, (regardant Pacey) sa va aller?
Pacey : hum (il regarde Dawson, Dawson est sous le choc et s’en va, il se retrouve ensuite avec joey à l’intérieur elle lui apporte un soda)
Joey : sa va, tiens c’est pour toi.
Pacey : merci, j’ai pas soif.
Joey : pour ta lèvre idiot, à la place des glaçons.
Pacey : j’en reviens pas qu’il a cru que c’était moi.
Joey : c’est si dramatique?
Pacey : je pensai que si j’avais gagné le respect de quelqu’un c’était bien le sien, puis si le gars qui te connaît mieux que n’importe qui sur terre pense que t’es un raté peut être que…
Joey : peut être que tu es un raté, arrête pendant des années je t’ai considérée comme un taré, tu m’as pas cru pour autant. (ils se sourient)
Pacey : quand est-ce qu’une personne commence à croire ce que tout les autres pensent à son sujet?
Joey : quand c’est vrai.
Pacey : tu veux bien me rendre un service, dit lui que je suis innocent à ton ami Dawson, toi il te croira.
Joey : mon ami, je te signale que c’est aussi le tien, et tu sais comme moi quand ce moment il est quelque part en train de médité sérieusement sur la gravité de son accusation infondé.
Pacey : tant mieux alors, ah laissons le mariné dans son amour propre.
Joey : de ce coté là, on a rien n’a lui envier.
Pacey : jamais je ne l’aurai accusé de tricher, jamais.
Joey : et lui jamais il ne t’aurai mis son poing dans la figure le premier.
Pacey : c’est lui qui est à l’origine de tout ça.
Joey : je veux pas rentrer là dedans.
Pacey : et toi qu’est-ce que t’en pense ?
Joey : de quoi?
Pacey : les épreuves où est-ce quelles sont passés?
Joey : j’en sais rien et pour être honnête je n’ai aucune envie de le savoir. Dans la vie y’a certaines choses qu’il est préférable d’ignorer, parce qu’en suite on regrette d’avoir su, d’avoir demandé, d’avoir vu.
Pacey : bon, et dit moi franchement, (il lui montre sa lèvre) sa va où c’est très moche là?
Joey : avec la tête que tu as, la chirurgie esthétique telle qu’elle soit sera de toute façon bénéfique. (elle rit, Pacey lui boit son soda)
Dans son jardin, Dawson est assit sur une table, on remarque qu’il a un gros œil au beurre noir, Eve arrive :
Eve : tu l’as récupéré?
Dawson : sa n’ai pas ce que je dirai.
Eve : qu’est-ce qui c’est passé?
Dawson : j’essaie de comprendre et c’est pour ça que je suis assit là.
Eve : raconte?
Dawson quelque soit la façon dont j’aborde la question Eve, j’en reviens toujours à toi et à cette stupide enveloppe.
Eve : laquelle de nous deux t’as fait cette œil au beurre noir?
Dawson : j’accepte de prendre ma part de responsabilité, mais toi ne me dit pas que tu ignorais les conséquences que pouvait avoir ton initiative.
Eve : (elle rit) Dawson si ça t’arrange de me faire porter le rôle de la méchante et si sa t’aide à retrouvé le sommeil, vas y continue, tu réalise que nous sommes tous des criminels d’une manière où d’autre, hum ah, et seuls les moins malins se font coincer.
Dawson : ravi de t’avoir connu Eve.
Eve : alors c’est comme ça hein? Une personne d’ouvre les yeux sur la nature humaine, elle te la montre vraiment telle qu’elle est et toi tu t’écarte de son chemin, ah tu es terrifié je le sens, comment moi Dawson Leery modèle de perfection, je peux éprouver cette irrésistible attirance envers une fille si imparfaite, si réelle. (elle essaie de l’embrassé mais il s’écarte)
Dawson : si nous passions tout ce temps toi et moi, c’était pour apprendre à ce connaître, et tu sais quoi, maintenant je te connaît, tu ne me plait pas du tout.
Il s’en va laissant Eve vexée et seule
Sur le terrain de football, les pom pom girls et les joueurs aussi :
Les pom pom girls : ils toussent, ils gloussent, ils ont la frousse, secouez vous vaillants minute men, ha, ou vous finirez dans la brousse. (Henry est totalement subjugué par jen)
Jack : Parker reprend toi, tu baves rentre la langue, j’ai besoin d’encouragements.
Henry : à votre service, sa va le thorax?
Jack : ouai ouai sa va, je peux encore respirer mais l’entraînement est loin d‘être fini.
Mitch : bon aller les gars, refiler vos casques, Mc Phee t’es le premier de la série.
Jack : ouai
Henry : tu t’es trouvé ton mantras?
Jack : ouai.
Henry : c’est quoi?
Jack : moisi.
Henry : moisi?
Jack : uh uh, M.O.I.S.I, c’est le seul mot qui me soit venu à l’esprit, moisi, moisi , moisi (il se tape la tête, henry lui passe le ballon)
Henry : va pour moisi.
Jack : d’accord. (il se répète a lui tout seul moisi, il se lance contre les joueurs)
Mitch : fonce vas y.
Jen : vraiment impressionnant. (et il passe tout les joueurs, tout le monde crie pour son exploit)
Mitch : jack, félicitations.
Jen : tu vois quand tu veux, tu as réussit.
Mitch : bravo jack, bravo, sa c’est du sérieux.
Jen : jack c’était géant, j’arrive pas à le croire. (on voit lors henry s’élan vers jen, en disant moisi)
Jen : (à elle seule) qu’est ce qui l’à? Mais que? (et il continue son chemin, sans s’arrêter) qu’est-ce qui nous a fait là?
En salle de classe, tout le monde est fin prêt pour l’examen :
Greene : cet examen durera 2 heures et demi, comme vous le savez il y’a cinq épreuves, deux de vocabulaire et grammaire, deux de mathématique et une d’expression écrite, vous aurez bien sur droit à une pause d’un quart d’heure, des questions? Très bien, normalement vous avez trente minutes pour chaque épreuves (Dawson se lève et tend ses copies au proviseur) oui Mr.Leery, qu’est-ce qu’il y’a?
Dawson : c’est une longue histoire (et il s’en va)
Mr Greene : alors y’a-t-il d’autres détections? (Pacey se lève à son tour)
Pacey : j’ai laissé le four allumé (il fait un grand sourire à joey et va rejoindre Dawson dehors)
Dawson : (ils se sourient) eh ben, il t’en a fallut du temps.
Pacey : oh les contraires et les synonymes c’est l’horreur, tu peux me redire pourquoi on a fait ça déjà?
Dawson : pour rien mais la prochaine fois qu’on se battra, on fera en sorte que ce soit pour une jolie fille (ils sont mort de rire et s’en vont du lycée)
Retour dans la salle de classe :
Greene : vous pouvez commencez
Et on voit alors que Andie sort les fameuses épreuves volés, et l’épisode se termine sur Andie en train de tricher…
bibou