Sur le port, une jeune femme s’approche de Pacey :
Jeune femme : excusez moi jeune homme mais j’ai l’impression de vous avoir déjà vu?
Pacey : oh vous savez les tops modèles masculins se ressemble tous un peu.
Jeune femme : oh non, vous ressemblez étrangement au type avec qui j’ai passé les plus belle vacances de ma vie.
Pacey : montez je vous prie.
Elle monte sur le bateau et ils s’enlacent.
Pacey : Mélanie Shea Thomson, j’ai toujours eu la certitude que nos chemins se recroiseraient un jour, sa a mis du temps.
Mélanie : oui j’ai été très occupée.
Pacey : hum, très occupée, faut t’il traduire, je sortais avec un garçon qui convenait mieux à mes origines sociales.
Mélanie : y’a eu quelqu’un, mais sa n’a pas marché, c’est ça que tu fais de tes journées, tu t’occupe des bateaux, tu n’envisages pas de trouver un travail?
Pacey : en faites j’ai déjà un travail.
Mélanie : comment mon séduisant mais paresseux petit ami à fini par se trouvé un travail.
Pacey : ouai, tu connaît le Civilisation?
Mélanie : oui, c’est un des meilleurs restaurant de la ville, tu travaille là bas?
Pacey : parfaitement.
Mélanie : waouh, j’avais remarqué que tu étais quelqu’un de tout à fait imprévisible.
Pacey : qu’est-ce que tu t’imagines que ton oncle va me laisser vivre sur son bateau toute ma vie gratuitement, sans payer de loyer.
Mélanie : eh bien en fait, c’est la raison pour laquelle je suis là, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi, mon oncle vend le bateau.
Pacey : ah, d’accord.
Mélanie : ouais, mais j’ai aussi une bonne nouvelle, mon oncle vend son bateau mais ce que je ne t’ai pas dit, c’est que il s’offre un autre bateau, plus grand. Ouais une goélette de 26 mètres, un schooner, une petite merveille. Et il aimerait savoir si tu serais d’accord pour embarquer vers les îles grecques avec lui, j’ai tenu à venir te le proposer moi-même.
Pacey : tu plaisantes?
Mélanie : pas du tout, il part dans trois jours, tout ce qu’il demande c’est d’arriver à l’heure pour le départ.
Pacey : intéressant.
Mélanie : intéressant, c’est tout ce que tu trouves à dire, qu’est devenu le jeune homme qui était toujours prêt à partir?
Pacey : il n’a pas changé, il est toujours prêt pour l’aventure, sauf que là tu le prends un peu au dépourvu.
Mélanie : bon il faut que j’y aille avant que ce bateau n’éveille en moi certaines envies que je n’ai ni le temps ni le droit d’assouvir, mais je te demande d’y réfléchir c’est du sérieux.
Elle s’en va et laisse Pacey seul qui réfléchit.
Générique
Dans la salle de bain de la maison de Grams, jen se maquille et Dawson arrive, il frappe :
Dawson : on peux entrer?
Jen : oui, tu peux mais a tes risques et périls.
Dawson : y’a une projections de courts métrages de thèses à Blizart, juste après l’inscription, tu veux venir?
Jen : euh oui j’aimerai bien mais après mon examen de fin de trimestre en philo, d’ailleurs j’espère qu’ils vont mettre plusieurs sujets, je suis censée assurée la permanence à la radio.
Dawson : d’accord, on se retrouve pour dîner alors, sa fait longtemps qu’on est pas sortis.
Jen : je regrette j’ai un flash publicitaire à enregistrée à la radio.
Dawson : c’est bizarre j’avais jamais remarqué que tu te maquillais autant.
Jen : c’est comme ça il faut se maquiller deux fois plus, pour faire croire qu’on est peu maquiller.
Dawson : moi qui croyait connaître tout tes secrets.
Jen : tu ne connaîtra jamais tout mes secrets.
Dawson : à propos de secrets tu ne serait pas ce que j’ai fait de ma brosse à dents par hasard?
Jen : elle est bleu c’est bien ça?
Dawson : oui, ouai c’est bien ça.
Jen : ouai, je l’ai trouvée usée, alors je l’ai utilisée pour séparer mes cils, excuse moi Dawson.
Dawson : c’est pas grave, je vais utilisé la tienne.
Jen : c’est-à-dire que euh...
Dawson : jen on fait l’amour ensemble depuis 3 semaines.
Jen : oui, je le sais mais c’est ma brosse à dents.
Dawson : d’accord, y’a pas de problèmes, (il fouille alors dans les tiroirs) dit donc tu as une sacré collections de fils dentaire, tu es bien équipée.
Jen : oui se sont des fils dentaires mais ils sont tous différents, j’en ai besoin, non non sa c’est mon tiroir.
Dawson : (il referme et pointe du doigt le tiroir) c’est son tiroir.
Jen : excuse moi, je ne voudrai pas de faire peur, ni te vexer.
Dawson : (il l’embrasse sur le front) il en faut plus pour me faire peur, bonne journée.
Jen : merci (et il s’en va)
Dans le cours de Wilder :
Wilder : bien sur, l’écriture d’un premier roman est un moment clef de l’existence, c’est une chose qui mérite réflexion, tout comme disons un mariage, c’est un pas que personne ne devrait franchir avant l’âge de 25 ans, cela dit, on ne nous interdit pas d’essayer. Pour la prochaine fois vous lirez les deux premiers livres du programme, l’un de ces livres est un chef d’œuvre et l’autre une lamentable nullité. Si vous ne voyez pas la différence, vous n’avez pas le niveau pour être ici, d’accord c’est compris. Vous pouvez sortir.
Tout les élèves sortent de la salle, mais Wilder intercepte Joey, pendant que Eliott un camarade de Joey traine dans la salle.
Wilder : Pas si vite, mademoiselle Potter.
Joey : Bonjour
Wilder : Bonjour, Joey y’a-t-il dans ce cour quelqu’un avec vous aimeriez faire plus ample connaissance?
Joey : c’est une question piège?
Wilder : non, je suspecte le jeune homme là bas (il pointe des yeux Eliott, qui fait semblant de faire ces lacets) d’essayer de vous aborder pour discuter. Eliott, Eliott Sawyer. (Il murmure à Joey) Il s’est inscrit en auditeur libre (il demande au jeune homme) c’est à moi que vous voulez parler?
Eliott : heu, non
Wilder : Est-ce que votre lacet est défait?
Eliott : non, pas vraiment
Wilder à Joey : vous voyez, je me trompe rarement pour ce genre de choses. Eliott, espérez vous avoir une aventure avec cette jeune fille?
Eliott : non, pas du tout, je faisais…
Wilder : oh, quel dommage, je suis déçu, je ne vous croyais pas comme ça (il lui donne un petit coup d’épaule et s’en va)
Eliott à Joey : je suis sure que tu ne te souviens même pas de moi?
Joey : je devrais?
Eliott : oui, je m’assoie derrière toi, en éco.
Joey : ah, mais je regarde devant en générale, on entend mieux et les profs préfèrent.
Eliott : et on s’est rencontrés à cette fête, au début de l’année, la fête de la bay de Boston.
Joey : c’est vrai, bien sur
Eliott : je sais ouai, il s’est passé des choses bizarre ce soir là.
Joey : c’est le moins qu’on puisse dire, hum excuse moi, mais faut que j’y aille, j’ai un autre cours.
Eliott : ouai, (elle sort et il la suit) hey, tu va surement au sud du campus
Joey : non, je vais au nord
Eliott : et je peux peut être t’accompagné, on s’arrêta pour prendre un café si tu veux?
Joey : heu non je peux pas, j’ai un rendez vous avec ma camarade de chambre.
Eliott : d’accord, heu ben de toute façon, on se reverra.
A la radio :
Jen : Bonjour à tous, Jen Lindley avec vous sur 96.6 WBCW, pour vous offrir 4 heures de bonheur, 4 heures de rock, oui du rock, car si vous voulez mon avis, un des problèmes de la musique aujourd’hui c’est que sa manque de rythme, on a plein de nouveaux groupes tout les jours qui font énormément de bruit, mais je vous le demande ou est le rock, on sont les groupes qui nous font dansez comme les Tenacious D, avec un titre qui en dit long « Explosivo » (elle appuie sur un bouton, mais elle n’envoie pas la musique mais un bruit assourdissant) oh, oh pardon je suis terriblement désolé, sa ne devait pas arriver, heu oui j’aurais dû prévoir une autre chanson au cas où, mais je ne travaille pas comme ça, alors je n’ai plus qu’a vous donner la parole, je vais prendre un auditeur en ligne : allo, allo vous êtes à l’antenne.
Auditrice : Bonjour, je peux te poser une question?
Jen : heu oui, bien sur, mais il faut quand même que vous sachiez qu’en aucun cas je ne remplacerai SOS âmes seules et sans repères, d’accord.
Auditrice : je voudrais savoir si tu as un petit ami?
Jen : oui, oui j’en ai un, j’ai du mal à dire que c’est mon petit ami, parce qu’on se connait depuis des années, mais oui j’an ai un.
Auditrice : en faites j’ai un petit ami moi aussi, et on a un problème, j’ai besoin d’en parler à quelqu’un.
Jen : ben va y, je t’écoute
Auditrice : Voila, nous avons des rapports sexuels depuis peu et enfin, je l’aime vraiment beaucoup, mais sur le plan sexuel…
Jen : oui
Auditrice : comment dire, je sais pas sa dure rarement plus d’une minute.
Jen : ah oui je vois, et bien rassure toi ma chère amie, tu n’es pas la seule et sache que ce problème peut être résolut.
Auditrice : ah oui, et comment?
Jen : et ben heu, il faut déjà savoir une chose, c’est que les hommes ont souvent besoin que l’on flatte leur égo.
A la confrérie de Jack, il a décider d’emménager avec eux, et Dawson lui donne un coup main pour déchargé ces affaires.
Dawson : c’est une grande décision
Jack : je suis sure que ce sera géniale
Dawson : et Jen, et sa grand-mère
Jack : je les aimes énormément mais, je dois vivre ma vie, et puis notre grand amour impossible à Jen et à moi, à suffisamment durer, on a besoin de s’épanouir.
Dawson : ouai
Jack : et puis elle m’a fait clairement comprendre, que les confréries c’était pas trop son truc, mais c’est mieux comme ça, fais moi plaisir prend soin d’elle
Dawson : d’accord, je vais essayer.
En arrivant dans sa chambre, il tombe sur Blossum qui retire toutes ses affaires :
Jack : Wahoo
Blossum : Jack, sa va
Jack : salut
Blossum : je suis content de te revoir
Jack : moi aussi
Blossum : Dawson c’est ça?
Dawson Ouai
Blossum : bienvenue
Dawson : chouette cette chambre
Blossum : ouai, Jack a eu beaucoup de chance
Jack : hey, j’ai ma salle de bain, j’ai jamais eu de salle de bains pour moi tout seul.
Blossum : et attention à l’eau chaude, je trouve qu’il y’en a jamais assez le matin.
Jack : heu, mais c’est toi qui vivait là?
Blossum : oui, oui mais je change de chambre c’est pas un souci.
Jack : pourquoi j’ai autant de chance?
Blossum : on a tiré au sort, on a attribuer un numéro à chacun de nous et c’est toi qui a gagné.
Jack : super
Dawson : tu va pourvoir afficher des photos de femmes nues?
Jack : ouai, ça c’est très très drôle
Blossum : c’est un des avantages ça c’est certain, tu es complètement tranquille. (Eric rentre alors dans la chambre)
Eric : tu m’a appeler?
Blossum : oui, tiens tu peux m’aider
Eric : salut Jack
Jack : salut Eric
Blossum ; prêt (il porte une commode)
Eric : 1, 2, 3 super, je vois bien ce meuble dans notre chambre
Jack : vous serez ensemble?
Eric : ouai, ouai au bout du couloir, venez visiter, ce sera la chambre des fiesta
Jack ouai j’arrive
Blossum ; viens avec Dawson
Dawson : ouai-je viendrai
Jack : c’est bizarre non?
Dawson : quoi ?
Jack : Blossum est un des plus anciens de la confrérie et Eric vient d’arriver, il partage la même chambre, je comprend pas
Dawson : tu comprend pas quoi?
Jack : qu’ils ont décider de me laisser cette chambre
Au restaurant le Civilisation, Audrey se refait une beauté et Danny arrive :
Danny : Audrey
Audrey : Danny
Danny : la table 6
Audrey : qu’est-ce qu’elle a ?
Danny : ils sont fâchés
Audrey : je les comprend le saumon était très gras aujourd’hui, c’est ta faute (Pacey entre) salut beau gosse
Danny : moi, tu m’appelle pas beau gosse
Audrey : ça c’est parce que tu as l’âge d’être mon père Danny
Danny : oh merci, sa va Witter
Pacey : oui oui très bien, mais il faut que je te parle
Danny : non
Pacey : non ?
Danny : non, c’est la règle d’or note le, sa te servira quand tu auras ton restaurant, quand un employé demande à te parler, répond non c’est plus simple. De toute façon, dit toi bien qu’il y’a bien aucune chance pour que cette question t’apporte quoi que ce soit. Oh avant que j’oublie, tu connais Frame?
Pacey : Oui le tatoué
Danny : le tatoué a quitté l’équipe
Pacey : qu’Est-ce qui c’est passé?
Danny : il est retourné en prison
Pacey : c’est vrai
Danny : ce type est une ordure, mais pour le pain c’était un génie, un magicien
Pacey : c’est vrai qu’il est bon
Danny : hum un délice, une seconde de silence
Pacey : alors…
Danny ; j’ai donc besoin de nouveaux boulangers, et c’est là que tu entre en jeu
Pacey : moi
Danny : toi, le pain c’est de l’art Pacey, et ce soir je m’engage à faire de toi un artiste, tu te sens prêt?
Pacey : écoute je ne suis pas…
Danny : oui tu doute, c’est normal, mais tu es doué Pacey, tu es très doué. Et tu es de loin l’un des garçons les plus doués que j’ai rencontré en art culinaire que j’ai pu rencontré depuis que je fais ce métier petit. Tu n’es pas toujours facile à vivre, mais tu as de l’énergie en toi, c’est sincère, je sais pas ce que je ferais ici sans toi
Un cuisinier : Danny
Danny : j’arrive, on en reparlera plus tard (Danny s’en va et laisse un Pacey tout perturbé, Audrey s’approche de lui)
Pacey : bon
Audrey : qu’est-ce que tu as, tu as l’air tout perturbé?
Pacey : je le suis
Audrey : ah, un problème?
Pacey : non, c’est rien (il lui tend une assiette) table 5
Chez Grams, cette dernière s’énerve contre un jeu de game boy, Dawson arrive :
Grams : Jack a laisser cet instrument maudit, sa ne peut être que l’œuvre de satan, j’en suis esclave depuis maintenant plus de 2 heures, c’est affreux. Comment c’est passé ton inscription Dawson ?
Dawson : euh, pas très bien, je crois pas que j’y entrerais
Grams : et pourquoi
Dawson : parce que je n’ai pas vraiment le profil pour cette école, je ne fume pas de cigarettes et puis je ne suis pas un spécialiste de la nouvelle vague
Grams : tant pis, je compte sur toi pour leur montrer de quoi tu es capable
Dawson : d’accord, d‘accord, je voulais vous dire… je voulais vous dire que enfin sa dois être bizarre pour vous, de nous voir Jen et moi ensemble sous votre toit, et je euh, je tenais à vous dire que votre petite fille est quelqu’un d’exceptionnelle.
Grams : c’est gentil, merci Dawson, et oui c’est vrai au début sa m’a parut étrange. Mais j’aime à croire que j’ai fait beaucoup de chemin, en l’espace de quelques années, grâce à Jennifer justement, il fut une époque où j’étais incapable de prononcer le mot pénis.
Dawson : ça entre nous, si vous évitiez de le répétez sa m’arrangerais
Grams : nous essayerons
Dawson : quelque soit le règlement chez vous, je promet de m’y soumettre
Grams : Dawson tu es le garçon le plus adorable que je connaisse, enfin mise à part Jack évidement, mais nous savons tous que ce n’est pas lui qui fera de Jennifer une femme honnête, tout ce que je demande, c’est que vous soyez correct l’un envers l’autre. Ne lui fait pas de mal et avec moi, tout ce passera bien, c’est entendu?
Dawson : entendu, au faites elle passe à la radio en ce moment (il allume la radio et Jen est à l’antenne)
Jen : on écoute Meryl, tu es à l’antenne
Meryl : d’abord je tiens à te remercier pour ton émission Jen, j’aime beaucoup ce que tu fais
Jen : merci
Meryl : voilà, je sors avec un garçon formidable et adorable, depuis 3 mois maintenant, et j’ai remarquée que depuis quelques temps
Jen : il s’éloigne?
Meryl : exactement
Jen : ouai sa fait 3 mois, la lune de miel arrive à son terme
Meryl : qu’Est-ce que je peux faire?
Jen : je sais ce que tu ressens et je compatis, j’aimerais avoir une solution pour toi mais il faut savoir affronter la réalité et la réalité c’est que tôt ou tard les hommes s’éloignent et un jour ils s’en vont
Meryl : il n’y a vraiment rien à faire
Jen : les prouesse sexuels sa peut aider pendant quelque temps, il faut avoir des secrets, garder quelques mystères, mais sincèrement à moins d’avoir un penchant pour les femmes, il faut savoir qu’on est voué à vivre ce genre de drames avec les hommes. On s’est que sa doit arriver, on l’accepte et on s’y prépare. Meryl ne quitte pas, je vais te prendre hors antenne et te conseiller quelques livres sur la question (Dawson coupe la radio)
Grams : ahah, sacré Jennifer, elle, elle a toujours aimée les propos provocateurs.
Dawson : ouai c’est vrai
Grams : je suis certaine qu‘elle, elle ne pense rien de tout ça, elle aime reprendre ce genre de propos de femmes blaser
Dawson : ouai
A la bibliothèque, Joey cherche un bouquin et elle tombe sur un livre écrit par Wilder et elle tombe sur son prof.
Wilder : ne croyez pas les critiques, ils ont été payés
Joey ; c’est vous qui l’avait écrit?
Wilder : et oui j’oblige mes étudiants à lire mon œuvre, c’est le seul moyen pour que ce torchon puisse continuer à être édité tout les ans, allez y lisez la première critique
Joey : un voyage tumultueux dans l’univers de Nil Polak, mais c’est un
Wilder : un des plus grands écrivains américain absolument, si on y retrouve l’univers de Polak, c’est parce que je sortais avec sa belle-fille en ce temps là
Joey ; ah, c’est d’elle que vous parlez
Wilder ; comment savez-vous qu’il y’a une fille dans le livre
Joey : il y’a toujours une fille dans les livres
Wilder : mademoiselle Potter, vous êtes insolente et sa finira pas vous nuire, vous allez bientôt faire craquer tout les étudiants de mon cours. Enfin sa ne me regarde pas.
Joey : et de quoi sa parle?
Wilder : d’une bande de copains, qui vivent ensemble, qui couchent ensemble, couchent avec les amis de leurs amis, ambiance incestueuse. Un reflet tout à fait fidèle de la vie que je menais lorsque j’avais 20 ans.
Joey : vous aviez 20 ans quand vous l’avez écrit?
Wilder : (en parlant de la photo derrière le livre) ah cette coupe de cheveux, quel désastre aussi, mais vous savez ce qu’on dit, il vaut mieux rester en bons termes avec la personne que l’on a été. Autrement un jour ou l’autre, et souvent au moment où on si attend le moins, elle revient nous hanter, lisez le, mais ni passer pas la nuit je vous en prie.
Au Civilisation, Pacey est très pensif :
Audrey : sa va?
Pacey : ouai
Audrey : bon, tu vas me dire ce qui ne va pas, ou faut que j’emploie les grands moyens
Pacey : qu’est-ce qui te fait croire que quelque chose ne vas pas
Audrey : tu déborde d’énergie en générale, c’est même parfois difficile de te suivre, mais maintenant je t’avouerais que je préfère de loin le Pacey débordant d’énergie au Pacey ramollo
Pacey : j’ai un nouveau job
Audrey : oh, c’est plutôt réjouissant
Pacey : c’est une très bonne nouvelle, c’est vrai
Audrey : dans un autre restaurant
Pacey : non sur un bateau
Audrey : un resto sur un bateau, sa doit être marrant
Pacey : non, un bateau bateau qui navigue et fait le tour du monde. Un bateau
Audrey : oh, oui d’accord excuse moi, ben je vois pas le problème, t’adore la mer, c’est ton truc, t’es un marin, un loup de mer
Pacey : oh, je comprend que tu trouve ça bête mais c’est mon truc, oui c’est ma passion, j’adore la mer, rien que l’idée, la perceptive de repartir sa me rend hystérique
Audrey : mais
Pacey : mais, je me rend compte que j’aurais du mal à en parler à Braker
Audrey : pourquoi?
Pacey : je sais qu’il ne s’y attend pas, et la nouvelle va surement le décevoir
Audrey : pourquoi, parce que le Civilisation va s’écrouler si tu t’en vas, c’est ça?
Pacey : non, parce qu’il a donner pas mal de son temps pour m’apprendre ce qu’il savait
Audrey : alors reste
Pacey : c’est l’occasion de ma vie, je l’attendais depuis longtemps
Audrey : alors va t’en
Pacey : je te remercie, tu m’aide énormément Audrey
Audrey : écoute Pacey, c’est géniale ton histoire, partir faire le tour du globe en bateau, tout le monde en rêve, alors si tu peux le faire saute sur l’occasion
Jack est dans sa chambre et Blossum arrive :
Blossum : tu voulais me voir
Jack : ouai
Blossum : qu’est-ce qu’il y’a?
Jack : y’a-t-il une raison précise pour que tu es décidé de quitter cette chambre
Blossum : pas vraiment, j’avais envie de changer de décor, pourquoi?
Jack : quand j’ai accepté de vivre en communauté, je voulais passer inaperçu, je voulais m’intégrer sans histoires, je ne voulais pas de traitement de faveur
Blossum : Jack, on est tous content que tu sois là, personne ne te considère comme quelqu’un de différent.
Jack : tu plaisantes, personne n’accepte d’être dans la même chambre que moi
Blossum : Jack, on est content que tu sois là, c’est sincère
Jack : moi aussi je suis sincère Blossum, j’aimerais comprendre ce que sa signifie exactement.
Blossum : bon écoute, tu étais censé partager ta chambre avec l’un des copains, et il a pas été, disons emballé par l’idée de se retrouver avec toi, et j’ai choisis de prendre en compte cette demande. Mais au moment où il m’en a fait part, tout le monde était déjà installé. Alors comme il était déjà trop tard pour tout réorganisé, j’ai opté pour cette solution.
Jack : Ouai, c’est Eric hein?
Blossum : peu importe
Jack : il était trop tard pour tout réorganisé, par conséquent tu as laissé la chambre et tu es aller dans la sienne
Blossum : Jack, je suis désolé, c’est vrai sincèrement désolé, j’ai pas vu venir ce problème. Je dois sortir, salut, à plus tard.
Au restaurant, Pacey va voir Danny :
Pacey : Danny, Danny
Danny : ouai
Pacey : heu il faut que je te parle c’est urgent
Danny : pas maintenant, je dois aller chez le boucher, on se verra plus tard
Pacey : non non Danny, c’est très important, j’en ai pour une seconde, d’accord
Danny : vas y je t’écoute, tu as 2 minutes
Pacey : c’est vraiment pas évident pour moi, mais…
Danny : ne me dit pas que tu t’en vas, j’ai eu peur
Pacey : tu te souviens que je suis parti aux Caraïbes l’an dernier en bateau
Danny : vaguement ouai
Pacey : et bien on me propose de repartir
Danny : cet été, c’est bien, tu vas nous manquer, mais j’aurai pas de mal à te remplacer
Pacey : non, non pas cet été, maintenant
Danny : maintenant, maintenant
Pacey : oui dans 3 jours, pour être précis
Danny : wahoo, bon c’est-ce que tu veux, tu en est sûre
Pacey : ben oui, j’en rêve jours et nuits
Danny : bon, ben je suis content pour toi
Pacey : excuse moi de te prévenir au dernier moment Danny, mais euh, on vient juste de me l’annoncer
Danny : ah je t’en prie, c’est rien, c’est rien, c’est rien Pacey, va au bout de tes rêves et t’en fait
pas pour moi
Pacey : merci
Danny : c’est super, bravo, hey les gars, en voila un deuxième qui nous lâche, il s’en va vers un destin plus grand et plus intéressant on lui dit « Bonne chance ». Cette fois, j’y vais, j’ai un rendez vous avec le boucher, mais si on se revoit pas bonne chance.
Collègues de travail : bravo hein, ouai félicitations
Pacey (perturbé) : merci
Audrey ; alors, comment il a réagit?
Pacey : très bien, on ne peut mieux
Audrey : c’est drôle, tu as l’air surpris
Pacey : comment ça
Audrey : oui, tu as l’air étonné de voir qu’il le prend bien, les gens qui t’apprécient veulent que tu sois heureux, sa me parait normal
Pacey : oui bien sur, bien sur mais j’en sais rien, j’espérais un peu plus de…
Audrey : déception, je vois, tu aurais préféré qu’il le prenne mal et peut être qu’il se mette en colère. Tu n’as aucuns regrets à avoir Pacey, franchement tu crois qu’on peut trouver le bonheur en trainant ici dans ce restaurant, dans cette ville. Quelle misère, si on avait l’occasion de partir, on prendrait tous la fuite, crois moi.
Pacey : ouai, mais tout semble tellement fade vue du pont d’un bateau en plein été, au milieu des Caraïbes.
Audrey : arrête, arrête tu vas me donner le mal de mer, cela dit il y’a au moins une chose qui peut te retenir
Pacey : ah oui, laquelle?
Audrey : haha, c’est que tu es fou amoureux de moi
Pacey : Audrey, dit le si tu as envie de moi, tu as le droit, c’est pas la peine d’inventer des jeux débiles, tu sais
Audrey : Pacey je te trouve très gentil, drôle et tout et tout, mais tu dois être, je sais pas, barbant
Pacey : barbant, je suis barbant, tu crois que je suis barbant
Audrey : oui c’est-ce que je crois, c’est dur à dire, mais le truc du grand aventurier solitaire, sa marche pas avec moi
Pacey : je suis pas barbant, je suis barbant, tu n’es pas mon genre, mais ça tu n y’a pas pensé une minute
Audrey : non
Pacey : non
Audrey : les hommes prennent tout ce qui se présente
Pacey : qu’est-ce que sa veut dire, on a des sentiments, on peut préférer un style de filles
Audrey : Pacey
Pacey : oui
Audrey : j’ai une grosse poitrine, sa suffit tu coucherais avec moi
Pacey : non, je crois pas que je pourrais, désolé
Audrey : problème d’impuissance
Pacey : non, j’ai pas un problème d’impuissance, t’es trop grivoise pour moi
Audrey : hey, je t’en prie hein, grivoise, traite moi de Bette Midler
Pacey : j’ai failli figure toi
Audrey : oh
Pacey : je te raccompagne
Audrey : ouai, ce serait sympa, je veux bien
Pacey : très bien (Mélanie arrive)
Audrey : oh, je crois qu’une personne, essaye d’attirer ton attention
Pacey : mon attention
Audrey : hum hum
Pacey : t’en ai sur?
Audrey : et ben, elle essaye t’attirer ton attention ou bien la mienne, ce qui signifie que où bien elle a très mauvais gout pour les hommes, ou alors c’est une lesbienne avertie
Pacey : sans blagues (Il sourit à Mélanie)
Audrey : heu, qui c’est ?
Pacey : c’est juste une amie
Audrey : je vois, toujours envie de me raccompagner?
Pacey : non, plus du tout
Audrey ; j’en étais sur
Pacey : mais je le ferais
Audrey : non, te force pas Witter, je vais prendre un taxi, j’ai l’habitude en ce moment, écoute sois prudent, n’hésite pas à utiliser un bon moyen de contraception. Et ne l’écrase pas de tout ton poids, elle déteste ca.
Pacey : tu crois
Audrey : bonne nuit Pacey (elle s’en va et Pacey rejoint Mélanie)
Pacey : sa va, on y va
Mélanie : hum hum
Devant chez Grams, Jen arrive, et Dawson l’attend.
Jen : bonsoir
Dawson : bonsoir
Jen : qu’est-ce qui ce passe?
Dawson : oh rien, je réfléchissais, je t’attendais
Jen : tu m’as écouté
Dawson : un peu
Jen : ouai, tu n’es pas le seul apparemment, les producteurs m’ont entendu et ils m’ont contactés pour une toute nouvelle émission de radio, une émission rien qu’a moi. Je discuterais à l’antenne avec les auditeurs.
Dawson : c’est génial
Jen : ouai, c’est vrai. Bon dit moi ce qu’il y’a Dawson, vas y je t’écoute, parle. Dit moi ce que tu as à dire et finissons en, d’accord
Dawson : en finir avec quoi?
Jen : avec ce qui te gène, ce que tu rumine, cette chose dont tu as envie de me parler
Dawson : je t’attendais, en espérant qu’on aille faire un tour ensemble, on se voyait beaucoup plus souvent quand je n’habitais pas avec toi
Jen : mais je te l’ai dit ce matin, je suis très occupée.
Dawson : d’accord
Jen : quoi je crois que j’ai le droit, je suis comme ça, un point c’est tout
Dawson : je ne me battrai pas contre toi
Jen : qu’est-ce que sa veut dire?
Dawson : je ne suis pas comme les autres, je ne te transformerais pas, je ne te mentirais pas, je ne tricherais pas avec toi. Je vais au cinéma, si tu veux venir, sa me fera plaisir, sinon on se retrouve à la maison, je rentrerai à la maison. Je continuerai à rentré à la maison, malgré tes efforts pour m’éloigné, tu as le choix, me croire sur parole ou continuer à me tester, peut importe Jen, le résultat sera le même.
A la confrérie, dans la chambre d’Eric et de Blossum :
Jack : hum, c’est la chambre où j’aurai dû me retrouver, pas mal.
Eric : qui te la dit?
Jack : personne, je ne suis pas idiot.
Eric : tu veux des explications, je te trouve très cool, j’ai rien contre toi, rien du tout. Ce que je sais, c’est que je me sentirais mal avec quelqu’un qui se dit ouvertement gay.
Jack : ouai, je comprend, c’est vrai que je pourrai essayer de te convertir c’est ça, te forcer à t’habiller dans des fringues serrés et sans parler de tout les autres moyens insidieux, y’a la musique disco qu’on écoute du matin et soir.
Eric : arrête s’il te plait
Jack : que j’arrête quoi, j’ai rien fait, tout ce que je voulais c’était m’intégrer dans cette confrérie, et maintenant je me sens en quarantaine, comme un pestiféré.
Eric : Jack
Jack : non, non te fatigue pas, j’en ai rien à faire de tes explications, merci
Eric : mais je ne veux surtout pas, Jack, je ne veux surtout pas qu’on me prenne pour un homosexuel, voila.
Jack : quoi, pourquoi?
Eric : ben parce que, j’en sais rien moi, j’en sais rien, je suis certainement un peu homophobe.
Jack : écoute, si tu veux qu’on ai une conversation censés, ma porte est toujours ouverte, autrement adieu et bonne chance.
Chambre de Joey et Audrey à Worthington :
Audrey : oh, je déteste ce métier
Joey : quelle entrée fracassante
Audrey : oh mon dieu, j’ai les pieds en compote, je ne sens même plus mes orteils
Joey : je t’avais déconseiller de mettre ces chaussures
Audrey : on le sait, c’est officiel, tu es mademoiselle je sais tout
Joey : c’était bien à part ça
Audrey : je suis trop fatiguée pour réfléchir, on en parlera demain
Joey : Audrey, tu es sur mon lit, au cas où tu ne l’aurais pas remarquée
Audrey : Est-ce que c’est ma faute, si ton lit est le plus prêt de la porte, non.
Joey : on peut pas dormir à deux la dedans.
Audrey : bien sur que si, pour une fois qu’il se passe quelque chose dans ton petit lit
Joey : et bien pour ton information, j’ai été draguer aujourd’hui.
Audrey : oh, et bien sur tu as dit non
Joey : bien sur
Audrey : parce que tu continue à souffrir et à faire une fixation sur Dawson, c’est maladif
Joey : tu crois vraiment que je suis pas nette
Audrey : hum, tellement pas nette que bientôt tu ne sera même plus une femme, Joey
Joey : pour ton information, ce qui m’a empêcher d’accepter cette proposition tentante, c’est que le garçon qui me l’a faites, était une de tes anciennes conquêtes.
Audrey : quel conquête?
Joey : Eliott; Eliott Sawyer, tu l’a rencontrée au début de l’année, à la fête de la Bay de Boston, il est blond, mignon, visage d’ange, du charme, il est craquant
Audrey : ah lui, non il s’est rien passer avec lui
Joey : Audrey, il sortait de la chambre quand je suis arrivée le lendemain matin
Audrey : ouai, je le sais, parce qu’il a eu la gentillesse de me raccompagner, seulement dés qu’il a su qu’on était dans la même chambre, alors là il a commencé à me dire combien il te trouvait super génial et je me souviens plus du reste, il m’a saouler, je me suis endormie écœurée, notre histoire d’amour s’est arrêter là
Joey : oh
Audrey : ouai « oh »
Joey : tu aurais pu me le dire plus tôt
Audrey : j’y ai pas penser, je pouvais pas devinée que tu le trouvais aussi mignon et craquant.
Sur le bateau de Pacey :
Pacey : tu te souviens de ce bar, où Léon avait déclenché une bagarre
Mélanie : oui, t’était complètement ivre mais t’a réussit à convaincre les policiers de ne pas nous envoyer en prison.
Pacey : eh oui, je suis un vrai charmeur
Mélanie : ce qui explique qu’une petite fille riche et gâtée comme moi est pu fraternisée avec un simple employé.
Pacey : j’ai de bons souvenirs de cette fraternisation
Mélanie : je suis ravie que tu puisse repartir
Pacey : pourquoi?
Mélanie : en rentrant, tu étais tellement triste, tellement inquiet, on aurait dit un poisson qu’on sortait de l’eau, tu me faisais de la peine
Pacey : je te faisais de la peine, en tout cas je m’en suis pas trop mal sorti finalement
Mélanie (prenant la tasse que Pacey lui tend) : merci, mais c’est en mer que je te préfère, sur un bateau avec un magnifique bronzage, en chemise Hawaïenne. Une Margarita dans une main
Pacey : et l’autre main?
Mélanie : je sais pas, quelque part, pas loin de moi peut être
Pacey : quel magnifique tableau, on a rarement parler de moi de cette façon là, parle moi de toi
Mélanie : qu’Est-ce que tu veux savoir
Pacey : tu n’a jamais eu envie de partir pour de bon, à bord d’un bateau les cheveux dans le vent
Mélanie : si, tout le temps, mais je le ferais pas, je le sais, j’ai ma vie ici, j’ai mes études, mes amis. J’ai l’impression de prendre racine
Pacey : ouai
Mélanie : une chose est sure Pacey, lorsque j’aurais les cheveux blancs, et que je repenserai à ces vacances sur le bateau avec toi, j’éclaterais de rire, et personne ne saura pourquoi
Pacey : oui, moi aussi, tu m’as parler d’un garçon, pourquoi sa n’a pas marché?
Mélanie : peu importe, c’est pas très intéressant (ils s’embrassent)
Le lendemain :
Pacey : salut
Mélanie : salut
Pacey : tu t’en vas
Mélanie : oui, j’ai un cour de droit, tu veux venir
Pacey : non mais je t’accompagnerais si t’as le temps, je vais acheter de quoi déjeuner
Mélanie : non, non je suis pressée
Pacey : comment tu fais ?
Mélanie : quoi ?
Pacey : pour être aussi belle dès le matin, je crois qu’il n’y a même pas de savon ici
Mélanie : je sais qu’on vit à la dur avec toi
Pacey : c’était super cette nuit
Mélanie : c’est tout ce que tu trouve à dire
Pacey : tu donnerais envie à un marin de rester au port
Mélanie : oh non je veux pas briser le rêve de mon marin préférée
Pacey : j’ai été content de te revoir
Mélanie : moi aussi, aller amuse toi bien
Pacey : merci
Mélanie : promet moi de téléphoner la prochaine fois que tu reviens à Boston
Pacey : ouai c’est promis
Mélanie : Salut Pacey
Dans la maison de Grams, dans la salle de bain
Jen : brosse souple numéro 60, c’est ça?
Dawson : tu as remarqué
Jen : Est-ce tu pourrais s’il te plait, nettoyer la crème à raser qui tombe dans l’évier, chaque fois que tu te rases
Dawson : oui d’accord
Jen : tu sais pourquoi je me maquille
Dawson : parce tu subi la dictature des hommes qui gouvernent les médias
Jen : oui, oui c’est ça mon cher ami féministe, c’est tout à fait exact. Parce qu’on m’a appris étant petite fille que l’on doit se cacher et masquer son visage dans le but de se protéger. C’est très difficile d’être avec quelqu’un, de vivre avec une personne, qui quoique vous fassiez vois toujours clair en vous.
Dawson : c’est effrayant
Jen : hum hum, effrayant
Dawson : ça d’aidera peut être de savoir que j’aime tout ce que je vois en toi.
Jen : ouai sa m’aide
Dawson : merci pour la brosse à dents
Jen : Dawson (elle lui dépose un baiser sur la joue) bonjour
Dawson : bonjour (et ensemble ils se brossent les dents en se souriant)
Université, Joey se rend vers la chambre de Eliott :
Eliott : salut
Joey : salut
Eliott : tu allais frapper?
Joey : oui, toutes ces chambres se ressemblent alors, j’habite du coté de euh…
Eliott : oui je le sais
Joey : non en faites je voulais te parler, je cherchais un prétexte
Eliott : d’accord
Joey : c’est marrant tu sais, le soir ou on s’est rencontré, à cette petite fête c’était pas l’endroit idéal, et puis je crois que c’était pas vraiment le moment non plus, il y’a pleins de choses bizarre qui ce sont passer mais d’autres choses ne ce sont pas passés. Pfff, ouai enfin je veux dire, un de mes amis devait arriver et je l’attendais mais j’aimerais aussi me faire de nouveaux amis. Alors j’y ai bien réfléchis et je voudrai tout recommencer, tu comprends, repartir à zéro
Eliott : écoute y’a rien eu entre Audrey et moi, c’est bien ça que tu veux savoir
Joey : heu oui, entre autres, est-ce que tu veux venir prendre un café avec moi
Eliott : je peux pas j’ai cours
Joey : ah, ha
Eliott : c’est pas vrai c’était pour voir comment tu le prendrais
Joey : le plan que nous a fait Wilder en cours l’autre jour, c’était plutôt gênant
Eliott : ouai je sais, c’était déjà pas évident, surtout pour moi
A la confrérie, Jack toujours en colère rend ces clefs à Blossum :
Blossum : c’est quoi ça?
Jack : les clefs, je crois que j’ai rien à faire ici
Blossum : oh non s’il te plait, non non ne fait pas ça
Jack : mais je ne quitte pas la confrérie, simplement je ne vois pas pourquoi je resterai ici dans ces conditions, à bientôt (Eric le rattrape dehors)
Eric : hey Jack, Jack
Jack : quoi?
Eric : excuse moi je, excuse moi pour tout, je suis désolé, je t’assure
Jack : non, je comprend, je comprend, tu ne veux pas être traiter d’homosexuel c’est normal
Eric : sa ne me ferais pas du tout plaisir, que tu partes, écoute si c’est parce que tu veux qu’on partage la même chambre et ben je suis d’accord
Jack : tu accepterais?
Eric : ouai, cette petite crise, sa m’as complètement ouvert les yeux
Jack : j’ai besoin d’y réfléchir
Eric : d’accord, tu sais où me trouver
Jack : ouai
Eric : salut
Sur le bateau de Pacey, Audrey lui rend visite :
Audrey : bonsoir matelot
Pacey : salut Audrey
Audrey : alors, cette liaison dangereuse avec la jolie petite blonde, comment c’était?
Pacey : tu veux vraiment le savoir?
Audrey : oh non, pas du tout c’était juste pour t’embêter
Pacey : t’es très forte à ce jeu là
Audrey : tu veux qu’on aille régler nos comptes dehors Witter
Pacey : pas du tout parce que je suis en train de faire mes bagages, et que j’ai pas de temps à perdre
Audrey : hum hum, Pacey
Pacey : ouai
Audrey : s’il te plait, viens voir dehors (en sortant dehors, il tombe sur tout ces amis)
Joey : quand est-ce que tu prévoyais de nous annoncer ton départ
Pacey : merci beaucoup Audrey
Audrey : quand tu me l’as annoncer, tu m’avais pas dit que c’était un secret
Pacey : j’ai pas dit non plus que se n’en était pas un
Audrey : peu importe, on réglera nos comptes un autre jour Pacey
Pacey : qu’on soit bien d’accord
Jen : Pacey, on est pas là pour te convaincre de rester, ne t’en fais pas pour ça
Pacey : je suis pas inquiet
Jack : on savait que tu repartirais dès que t’en aurait l’occasion, c’est pas une surprise
Joey : qu’il n’y est pas de doutes surtout, on est content pour toi, c’est un rêve qui se réalise et il n’y a rien de plus précieux sur terre, on t’a apporté ça, c’est un souvenir, pour que tu n’oublie jamais tes amis de Boston
Pacey : c’est superbe
Joey : c’est une idée de Dawson
Dawson : au cas où tu te perdrais
Pacey : des sextants, j’en ai vue, mais jamais des aussi beaux, je suis désolé, mais je ne peux pas l’accepter
Dawson : mais si arrête
Pacey : non non, je peux pas, parce que finalement je ne pars pas
Dawson : quoi
Pacey : non, je reste à Boston
Joey : pourquoi?
Jack : c’est pas que ca nous fasse pas plaisir au contraire
Jen : oui, on est ravis, mais pourquoi?
Pacey : eh bien parce que, j’ai pris goût à cette ville et aussi parce que pour la première fois de ma vie, je ne ressens pas le besoin de fuir et le Civilisation ne survivrais pas à mon départ.
Audrey : et surtout tu es fou amoureux de moi
Pacey : oui, ça tout le monde le sait
Audrey : oh
Jen : c’est géniale, c’est géniale
Pacey : ouai c’est géniale sauf que malheureusement, je suis obligé de quitter le bateau et je n’ai plus d’endroit où dormir
Jen : tu seras toujours le bienvenue chez Grand-mère, tu sais
Pacey : c’est gentil, mais non merci
Joey : et oui désolé Pacey, il ne reste plus que nous
Pacey : je suis condamné à vivre avec les diaboliques, quel enfer
Dawson : garde le sextant, sa peut servir, même sur la terre ferme
Tout le monde rit et se rapproche ensuite de Pacey.
FIN