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#612 : Zéros de conduite


Audrey est de retour à Boston et s’excuse auprès de ses amis en leur disant qu’elle a changé mais ses bonnes résolutions ne vont pas durer longtemps et elle va frôler la mort…
Joey, elle, doit affronter Eddie qui est de retour à Boston car il la croyait enceinte…
Enfin, Pacey reçoit une promotion et il fait la rencontre d’une jeune femme mystérieuse qui le met en garde sur son travail.

Popularité


2.5 - 6 votes

Titre VO
All The Right Moves

Titre VF
Zéros de conduite

Première diffusion
22.01.2003

Première diffusion en France
23.08.2003

Photos promo

Pacey se rend à une soirée chez son client

Pacey se rend à une soirée chez son client

Pacey écoute les excuses d'Audrey

Pacey écoute les excuses d'Audrey

Jen / Michelle Williams

Jen / Michelle Williams

Audrey fait des excuses et fait un câlin à Jen

Audrey fait des excuses et fait un câlin à Jen

Pacey demande à Rich qui est la fille

Pacey demande à Rich qui est la fille

Pacey et Rich Rinaldi à la soirée

Pacey et Rich Rinaldi à la soirée

Pacey a une promotion

Pacey a une promotion

Pacey / Joshua Jackson

Pacey / Joshua Jackson

Joey et Pacey au bar avec Jen et Jack

Joey et Pacey au bar avec Jen et Jack

Jen et Jack au bar

Jen et Jack au bar

Joey /Katie Holmes et Pacey Witter

Joey /Katie Holmes et Pacey Witter

Plus de détails

Scénario : Maggie Friedman

Réalisation : Arlene Sanford

Acteurs secondaires :

Dana Ashbrook : Rich Rinaldi 
Mika Boorem : Harley Hetson 
Megan Gray : Emma Jones 
Roger Howarth : Prof. Greg Hetson 
Oliver Hudson : Eddie Doling 
Robert C. Treveiler : Carl Rosen 
Ray Wise : Roger Stepavich 



L’épisode commence au Hell’s Kitchen, Jen, Joey, Jack et Pacey ont l’air de bien s’amuser. C’est alors qu’arrive Audrey, elle vient s’excuser auprès d’eux. Elle dit qu’elle les aime et que ces amis lui manquent. Elle s’apprête à partir quand les autres lui disent de rester et lui font un gros câlin.

Plus tard, toujours au bar, Joey et Emma parlent de leurs fantasmes à propos du nouveau barman. Puis, elles discutent du départ d’Eddie et Emma demande à Joey de nettoyer le casier de ce dernier.

A son travail, Pacey est félicité par Rich et ce dernier l’invite à une soirée chez un riche industriel : Roger Stepavitch.

Pendant ce temps à l’appartement, Audrey va voir Emma qui auditionne des chanteuses pour le groupe car ils ont un grand concert le lendemain. Audrey lui demande alors de la reprendre dans le groupe car elle a réalisé que ses amis et le groupe étaient plus important que l’alcool. Et finalement, le groupe accepte de la reprendre.

Quant à Joey, en nettoyant le casier d’Eddie, elle découvre qu’il avait écrit un manuscrit et elle décide de le garder.

Plus tard, Audrey et le groupe répètent pour le concert. Et après la répétition, Audrey va rejoindre sa loge et rencontre un membre d’un autre groupe. Celui-ci lui demande si elle aime bien s’amuser et il l’invite à une fête.

Dans sa chambre, Joey fait réviser Harley et cette dernière lui dit qu’elle peut lui parler d’Eddie si elle veut car elles sont amies. Joey refuse mais face à l’insistance de la jeune fille, elle finit par lui avouer qu’elle a trouvé le manuscrit d’Eddie et qu’elle a le numéro de téléphone de ses parents et leurs adresses. Joey se résout alors à l’appeler mais quand elle l’a au bout du fil, elle lui raccroche au nez avant qu’il ne sache que c’était elle qui l’avait appelée.

Pendant ce temps, Rich et Pacey arrivent à la soirée et ils y rencontrent et saluent plusieurs personnes. Puis, Pacey fait la connaissance d’une femme qui lui dit qu’on parle beaucoup de lui en ce moment et quand il lui demande ce qu’elle fait dans la vie, elle part.

Au bar, Joey est en train de lire le manuscrit d’Eddie quand Hetson la rejoint. Il lui demande où est Harley car elle a encore séché les cours. C’est à ce moment qu’Harley arrive avec Eddie…

Quant à Audrey, elle est à une fête, au début, elle ne veut pas boire mais elle finit par céder à la tentation et prend une bouteille d’alcool.

Plus tard, au bar, Joey essaye d’avoir l’air occupée et ignore Eddie mais il la suit. Finalement, elle décide de lui parler et elle apprend qu’Harley lui a fait croire qu’elle était enceinte. Mais Joey le rassure bien vite en lui disant qu’elle n’est pas enceinte. Puis, Eddie se rend compte que Joey a lu le manuscrit et il lui demande si c’est elle qui l’a appelé la veille. Joey lui répond que non et Eddie lui dit que quand il est parti, ça a été la chose la plus difficile qu’il ait faite mais comme Joey ne semble pas le croire, il décide de partir.

Mais Joey le rattrape et lui demande pourquoi il est parti. Il lui répond alors qu’il avait honte, il n’avait pas de travail, plus d’argent pour payer son loyer. Joey lui rétorque alors qu’elle est pauvre aussi mais Eddie lui dit qu’elle au moins, elle a un avenir. Joey lui répond qu’il a du talent mais il lui dit qu’elle mérite mieux et qu’elle peut avoir tout ce qu’elle veut dans la vie. Joey lui répond alors que c’est lui qu’elle veut mais Eddie lui rétorque que le type qu’elle aime c’est celui rencontré en cours, pas lui et il s’en va.

Quant à Audrey, elle arrive complètement saoule sur scène. Retour à la fête de Pacey, ce dernier et lui vont dans le bureau privé de Roger Stepavitch. L’industriel propose alors à Pacey de vendre ses actions et Rich lui offre une promotion. Bien qu’étonné, Pacey accepte la proposition.

Au Hell’s Kitchen, Harley s’excuse auprès de Joey, elle voulait juste l’aider. Puis, Joey lui dit qu’Eddie a du talent et maintenant il est reparti. Harley lui propose alors d’en parler à son père et de lui faire lire l’histoire d’Eddie. Et face à son insistance, Joey va voir Hetson et lui demande de lire le manuscrit.

Mais en voyant qu’Eddie en est l’auteur, il refuse et part.Harley embarque alors le manuscrit et part rejoindre son père. Au concert, c’est de pire en pire pour Audrey, elle mélange les paroles de ses chansons et descend de scène. Plus tard, Emma la rejoint et la vire du groupe en lui disant qu’elle ne veut plus l’entendre.

Au Hell’s Kitchen, Hetson est de retour car Harley avait « oublié » son sac. Il lui dit qu’il a lu le manuscrit d’Eddie et que c’est peut-être un écrivain. Joey lui demande alors de l’aider et Hetson lui dit qu’il connaît un professeur en Californie qui donne des cours dans un atelier d’écriture. Et il pourrait le faire entrer avec une lettre de motivation et il lui dit de l’annoncer à Eddie mais Joey ne semble pas persuadée qu’Eddie l’écoutera pas.

A sa fête, Pacey s’apprête à partir quand il revoit cette femme et celle-ci l’étonne en lui disant qu’il a sûrement dû recevoir une promotion et que ça semble trop beau pour être vrai. Puis, elle lui souhaite bonne chance avant de partir.

Dans sa chambre, Audrey boit encore et tombe sur le sol. Elle se relève et s’effondre sur son lit.

Quant à Joey, elle part chez les parents d’Eddie pour le voir. Elle lui dit alors qu’elle a donné son livre à Hetson et qu’il peut le faire entrer dans un atelier d’écriture en Californie. Joey lui dit que malgré ce qu’il affirme, il a peur de vivre sa vie et elle lui demande s’il a l’intention de passer sa vie ici. Il lui répond que non et l’embrasse. Mais Joey le repousse en disant que c’est trop tard et elle s’en va. Et Eddie lui répond qu’il l’aime et qu’il ne veut pas qu’il soit trop tard. Joey lui dit alors qu’elle l’aime aussi et elle part.

L’épisode se termine par Joey de retour dans sa chambre, découvrant Audrey étalée sur son lit. Elle va alors dans la salle de bain et aperçoit une bouteille d’alcool vide. Elle essaye de la réveiller mais comme elle n’y arrive pas, elle appelle le 911.


Résumé écrit par Annabelle. Grand merci.

Hell's Kitchen. Jen, Jack et Pacey sont assis à une table en train de parler ensemble, quand Joey arrive et les rejoint en portant un bol plein de pop-corn. Ils plaisantent et rient les uns avec les autres.

 

Jen : Ouais, ouais, et si je disais… Si je disais un mot comme ça, tout serait comme, aah !

 

Tous rient.

 

Jen : Et une autre chose à propos des mauvais patrons...

 

Audrey entre dans le bar et regarde autour d'elle et les voit et se dirige timidement vers la table.

 

Joey : Ah.

Audrey : Alors... de toute façon, voilà le truc. Euh, j'ai foiré, et je suis vraiment désolée... vous savez, pour mon comportement insensé ces deux derniers mois, pour toute douleur ou inquiétude que j'aurais pu vous causer, pour... vous avoir repoussé quand vous essayez juste d'être mes amis. Donc le truc c'est qu'après toute la débâcle de Noël, vous savez, je suis rentrée chez moi à Los Angeles, et... cette nuit-là, cette horrible, horrible nuit, je me suis retrouvé à cette fête à Malibu sur cette plage... plein d'inconnus. Et le soleil se levait, et... j'étais juste saoul, et... je me souviens avoir regardé autour de moi et avoir pensé, « tu sais quoi? Peut-être que le problème n'est pas Joey, ou Pacey, ou Jen, ou C.J., ou Jack, ou Dawson ou n'importe qui d'autre. Juste peut-être... peut-être que c'est moi. » Je ne m'attends pas à ce que vous me pardonniez tout de suite parce que je réalise à quel point j'ai foiré, et... vous savez, je... si vous voulez m'appeler un jour, vous savez, juste pour dire bonjour, ce serait vraiment cool. Parce que je vous aime vraiment les gars, et vous me manquez, et je suis juste vraiment désolée.

 

Ils se lèvent tous et l'arrêtent avant qu'elle ne puisse partir.

 

Joey : Audrey.

Jen : Audrey.

Pacey : Hé, allez. Reviens ici.

Joey : Audrey. Audrey.

Joey : Salut. Tu nous as manqué.

Audrey : Ouais. Tu m'as manqué, ma chérie.

Jen : C'est bon.

 

Ils étreignent tous à tour de rôle Audrey.

 

Audrey : Oh mon dieu ! Ha!

 

GENERIQUE

 

Hell's Kitchen. Emma est penchée sur la table de billard tout en fixant le nouveau barman, quand Joey arrive de l'arrière-salle. Joey voit Emma et décide de découvrir ce qu'elle fait.

 

Joey : Qu'est-ce que tu fais ?

Emma : J'avais juste un fantasme sexuel sur le nouveau barman. Nous étions dans la ruelle et nous le faisions contre le mur de briques derrière les poubelles.

Joey : Intéressant. Parce que pour moi, c'est totalement la table de billard.

Emma : Joey Potter, je suis choquée !

Joey : Quoi ? Je ne suis pas au-dessus des fantasmes sexuels aléatoires occasionnels pour aider la journée de travail au rythme glacial. Crois moi. Ne laisse pas l’extérieur te tromper. Au fond de tout ça, je suis en fait... moins primitive.

Emma : Oh, tant que nous parlons de barmans aux culs dignes de convoitise, qu'est-il arrivé à Eddie ?

Joey : Qu'est-ce que tu veux dire ? Il s'est fait virer.

Emma : Eh bien, je le sais. Mais il n'est même jamais revenu pour vider son casier.

Joey : Eh bien, pourquoi penses-tu que je saurais où il était ?

Emma : Eh bien, vous n'étiez pas tous les deux...

Joey : Ah. Oh, nous avons eu une petite aventure. Une aventure à peine significative. Je veux dire, ce n'était... rien.

Emma : Je suppose que j'ai dû me tromper.

Joey : Ouais. Moi et Eddie, bien au-dessus. C'était fini avant d'avoir commencé.

Emma : Ok, eh bien, bien. Alors je suppose que ça ne te dérange pas de vider son casier. Le patron m'a demandé à ce sujet, et nous avons vraiment besoin d'espace. Je le ferais moi-même, mais j'espérais arrêter plus tôt pour rejoindre le groupe.

Joey : Oui, bien sûr. Ce n'est pas un problème.

Emma : Bien. D'accord. Euh, je suppose que tu peux à peu près tout jeter à la poubelle. S'il y avait quelque chose de valeur, je suis sûr qu'il serait déjà revenu le chercher.

Joey : C'est vrai.

Emma : Tu es un amour.

 

Elle regarde le cul du barman alors qu'il passe et fait un clin d'œil à Joey

 

Emma : Oh. Amuse-toi bien, Joey.

 

Sur le lieu de travail de Pacey. Pacey assiste à une réunion avec les autres courtiers du bureau. Rich passe en revue les tâches qui les attendent.

 

Rich : Alors continuez à regarder pour voir si la fusion prend. En attendant, conseillez la prudence à vos clients. Maintenant une dernière note. Je voudrais vous rappeler de continuer à pousser les industries Stepatech. Il est sur le point de tirer à travers le toit. Lorsque leur nouveau médicament sera approuvé lundi, quiconque détiendra le stock sera très, très riche. Et je n'ai pas besoin de vous rappeler que Stepatech lui-même est un client ici, et nous aimerions les garder heureux, alors continuez à lui donner du fil à retordre. Très bien, allons-y et gagnons de l'argent.

 

Tout le monde part.

 

Rich : Witter, je peux te parler une seconde ? S'il te plaît.

 

Rich se tourne vers Pacey avant qu'il ne puisse partir.

 

Rich : Voici le problème. Je sais que nous avons eu nos problèmes dans le passé, mais ne pensez pas qu'à cause de cela, je laisserais votre bon travail passer inaperçu ou sans récompense.

Pacey : Rich, s'il vous plaît, les énormes commissions sont une récompense suffisante pour moi.

Rich : Tu parles comme un vrai acolyte. J'ai donc une récompense supplémentaire en réserve pour toi. Il y a une grande fête demain soir chez Roger Stepavitch. Sais-tu qui est Roger Stepavitch ?

Pacey : Bien sûr. Il est le fondateur et PDG de Stepatech industries.

Rich : Très bien. Il m'a demandé personnellement d'amener mon vendeur le plus prometteur à cette fête particulière, ce qui me met dans une position difficile parce que, eh bien, c'est toi, Pacey. Tu es mon meilleur vendeur. Avouons-le. Tu as une sorte de don naturel pour ce genre de choses, un don qui n'a malheureusement d'égal que ton incroyable ego et ton attitude. Et je suis déchiré parce que d'un côté, je vois des éclairs de grandeur en toi. Et d'un autre côté, je vois des flashs de toi en train de paniquer au milieu du quartier français à la Nouvelle-Orléans, ou tu prétends soudainement être malade et t'absenter du travail pendant quelques jours sans raison apparente. Donc, comme tu peux le voir, je suis un peu coincé. Je veux t'amener à cette fête, Pacey. Mais d'abord, je dois savoir quelque chose. Peux-tu être un joueur d'équipe?

Pacey : Wow, Rich, je... je veux dire, euh… Je ne sais pas quoi dire. Je suis honoré.

Rich : Ouais.

Pacey : Je suis honoré de la confiance que vous m'accordez, et je sais que nous avons eu nos différends dans le passé. Mais vous devez savoir que maintenant je m'investis à 100% dans ce travail et dans tout ce qu'il a à offrir. Et je me rends pleinement compte de l'énorme opportunité que vous me donnez ici en m'emmenant à cette fête, alors...

Rich : Witter, je n'ai pas besoin de l'histoire de ta vie. Un simple oui ou non aurait suffi.

Pacey : C'est vrai. Eh bien, dans ce cas, oui, tout à fait. Vous pouvez compter sur moi à 100 %. Je suis un joueur d'équipe.

Riche : Bien. C'est réglé, alors. Tu viens à la fête.

Pacey : J'apprécie cela. C'est fantastique.

 

Devant l'appartement d'Emma. Audrey tourne le coin du couloir vers l'appartement d'Emma et voit une file de femmes alignées devant sa porte. Elle contourne les femmes et frappe à la porte. Emma ouvre la porte et est choquée de voir Audrey là.

 

Emma : Désolée de vous faire attendre. Je… oh. Bonjour.

Audrey : Qu’est-ce qui se passe avec tous les aspirants Courtney Love ? C'est comme une convention Audrey là-bas.

Emma : Euh, oui, eh bien, pourquoi ne viens-tu pas et je t'expliquerai à ce sujet.

Audrey : Ok, quoi de neuf ? Pourquoi me regardes-tu comme si quelqu'un était mort ?

Emma : Je ne sais pas comment dire ça. Um, ces filles là-bas? Elles sont là parce qu'elles auditionnent pour être la chanteuse principale de ce groupe.

Audrey : Mais nous avons déjà une chanteuse principale, les filles.

Emma : Oui, nous avions une chanteuse principale. Malheureusement, elle s'est tellement effondrée qu'elle a dû être remplacée. Vous savez, « je me suis beaucoup saoulé, j'ai foiré sur scène, puis j'ai disparu en Californie sans même un coup de téléphone, manquant plusieurs répétitions de groupe ». vous savez, le moment habituel qui fait que les chanteurs principaux sont expulsés des groupes. Mais le truc c'est qu'on a un concert demain soir, un vrai concert. Eh bien, nous sommes troisièmes sur l'affiche, mais nous ouvrons pour un groupe qui ouvre pour un groupe qui est vraiment bon. Genre, incroyable, en fait, et... ça pourrait potentiellement être énorme pour nous, et on ne peut pas se permettre de tout gâcher.

Audrey : Quel groupe ?

Emma : Loud milk.

Audrey : Ah. J'adore ce groupe.

Emma : Nous ne le faisons pas tous, et nous jouons au Bent Elbow.

Audrey : L'endroit est, genre, célèbre.

Emma : Je sais. Tout est assez monumental, c'est pourquoi nous avions besoin d'une nouvelle chanteuse principale, une avec le talent moins le drame.

Audrey : D'accord. J'ai compris, mais... le truc, c'est que vous devriez savoir, c'est qu'il y avait cette chanteuse principale, vous savez, celle qui s'est effondrée terriblement et a foiré et méritait d'être virée, mais, vous voyez , cette chanteuse principale, elle est partie. Parce qu'elle a eu ce moment de clarté sur une plage de Malibu, et qu'elle s'est rendu compte que l'alcool, la fête et le chaos général lui coûtaient les choses qui étaient les plus importantes dans sa vie comme ses amis et... ce groupe. Les filles, je suis désolée. Je suis vraiment désolée parce que ce groupe est l'une des rares choses qui m'importent dans ce monde stupide ! Ok, et-et vous devez admettre que je peux faire partie de la raison pour laquelle vous avez eu ce concert. Et tu sais qu'aucune de ces filles là-bas ne sera à moitié aussi bonne que moi quand je suis bonne ! Et je te promets que si tu me donnes une autre chance, je serai meilleur que bonne. Je serai la meilleure. S'il te plaît. Les filles, donnez-moi juste... donnez-moi juste une autre chance, s'il vous plait ?

 

Emma regarde les autres et elles hochent toutes la tête en signe d'approbation.

 

Emma : D'accord. Mais je jure que si tu me fais regretter ça, je te tue.

Audrey : Non, je ne le ferai pas, je ne le ferai pas, je ne le ferai pas !

 

Audrey court et serre Emma dans ses bras et elles tombent toutes les deux sur le canapé.

 

Emma : Aaah !

 

Arrière-salle du Hell's Kitchen. Joey nettoie le casier d'Eddie.

 

Elle jette des papiers et une chemise qu'il a laissée dans le casier. Elle tend la main et en sort une grande enveloppe adressée à Eddie chez ses parents, ouvre et sort une lettre et un gros document. Elle lit la lettre, et c'est une lettre de refus d'un éditeur. Elle regarde le document et lit "Salutations de Worchester Short Stories par Eddie Doling" sur la page de couverture. Elle décide de ne pas jeter ça.

 

The Bent Elbow. Le groupe d'Audrey et Emma répète devant de nombreux autres membres du groupe, et tout le monde se lance dans la musique qu'ils jouent. Audrey chante "Bad Times" et sonne plutôt bien maintenant qu'elle est sobre.

 

Ils finissent la chanson et rappent leur séance de répétition.

 

Emma : ça sonnait vraiment très bien. Très bien. Donc, tout le monde se retrouve ici à 20h15 ?

Audrey : D'accord. Bien sûr.

 

Audrey entre dans l'arrière-salle et tombe sur un membre de l'un des autres groupes qui jouent.

 

Homme : Salut.

Audrey : Bonjour.

Homme : Vous êtes cool les filles.

Audrey : Ah. Eh bien, merci.

Homme : Alors, euh... euh, tu aimes t'amuser ?

Audrey : Je suppose.

Homme : Eh bien, je suis avec, euh, l'autre groupe d'ouverture, Satan's Tampon ? Vous avez déjà entendu parler de nous ?

Audrey : Je ne peux pas dire que oui

Homme : Exact. Eh bien, il y a... il y a une fête plus tard dans le bus de tournée si tu veux venir.

 

Le dortoir de Joey. Joey et Harley sont là, assises sur son lit, et Joey donne des cours de géométrie à Harley.

 

Joey : Ok, Harley, tout ce que tu as à faire est de suivre la formule. C'est simple. "A" au carré plus "b" au carré est égal à "c" au carré.

Harley : Oublie ça. Je ne l'aurai jamais.

Joey : Oui, tu le feras. Tu suis simplement la formule.

Harley : Au diable la formule. La formule peut lécher mon cul blanc de lys.

Joey : Bien. Tu embrasses ton père avec cette bouche ?

Harley : Dégoûtant. Pourquoi embrasserais-je mon père ?

Joey : Tu sais quoi ? Pourquoi ne pas faire une pause ? Tu veux un soda ?

Harley : Je préférerais une vodka.

Joey : Oh, désolée. Nous n’en avons plus.

 

Joey lui lance une canette de soda, et Harley la regarde fixement.

 

Joey : Quoi ?

Harley : Je me demande juste comment tu tiens le coup.

Joey : Comment je tiens le coup ?

Harley : Écoute, on pourrait rester assises ici toute la nuit et prétendre que je ne sais pas ce que je sais sur toi et Eddie ou tu pourrais réaliser que je pourrais être une bonne confidente ou une épaule sur laquelle pleurer. On pourrait en parler.

Joey : J'apprécie l'offre, mais il n'y a vraiment rien à dire.

Harley : Comment ça, il n'y a rien à dire ? Le garçon a juste disparu sans aucune explication. Il t'a brisé le cœur. Tu meurs à l'intérieur, voulant savoir ce qui lui est arrivé.

Joey : Merci pour le récapitulatif.

Harley : Joey, écoute, je suis peut-être une idiote de 15 ans, mais... je suis aussi ton amie, et je comprends mieux la situation entre toi et Eddie que tu ne le penses.

Joey : Tu es mon amie ?

Harley : Ouais. Nous sommes amies. N'est-ce pas?

Joey : Ouais, je suppose que oui.

Harley : Cool. Alors, comment se passe la recherche ? De nouvelles pistes ?

Joey : Quelle recherche ? Quoi, je suis censé engager un détective privé pour trouver un type avec qui je suis sorti pendant 2 mois et qui ne veut manifestement plus jamais me revoir ?

Harley : Eh bien, comment sais-tu qu'il ne veut pas te voir ? Peut-être qu'il s'est juste fait bouffer la tête et maintenant il est amnésique. Ou peut-être qu'il a été kidnappé par des voleurs de bijoux internationaux. Le fait est que tu dois être ton propre détective.

Joey : Eh bien, maintenant que tu en parles, et je n'arrive pas à croire que je te le dis, mais... j'ai en quelque sorte trouvé un manuscrit qu'il a écrit. Il y avait un numéro de téléphone et une adresse dessus à Worcester, où vivent ses parents, et ils savent probablement où il se trouve...

Harley : Eh bien, qu'attends-tu ?

Joey : Quoi, je suis juste censé les appeler et leur demander ?

Harley : Oui !

Joey : Tu ne penses pas que... ça semble un peu désespéré et pathétique ?

Harley : C'est romantique et sincère.

Joey : Je suppose que ça ne ferait pas de mal d'appeler. Je veux dire, au moins je saurais où il est. Tu sais, qu’il est encore vivant.

Harley : Allez. Appelle.

 

Elle compose le numéro.

 

Harley : Qu'est-ce qui se passe ?

Joey : Oh, c'est très excitant. Le téléphone sonne en fait.

Harley : Tais-toi.

 

Plan sur un téléphone qui sonne. Eddie le ramasse dans la boîte à outils à côté de la voiture sur laquelle il travaille.

 

Eddie : Bonjour ?

 

Joey raccroche le téléphone et Eddie a l'air confus pendant une seconde, puis retourne travailler sur la voiture.

 

La grande fête. Rich et Pacey viennent d'arriver à la fête et sont entrés pour se joindre à la fête. Un homme les voit et s'approche pour les accueillir.

 

Rich : Bienvenue dans la cour des grands, mon ami. S'il vous plaît ne m'embarrassez pas.

Carl : Rich Rinaldi.

Rich : Salut.

Carl : Salut. Comment ça va? C'est bon de te voir.

Rich : Content de te voir.

Carl : Alors, félicitations pour avoir décroché le compte. Roger est là-bas chantant vos louanges.

Rich : C'est certainement apprécié, Carl. Nous faisons de notre mieux. C'est, euh, Carl Rosen, vice-président en charge du marketing chez Stepatech. Avez-vous rencontré Pacey Witter, l'un de nos jeunes vendeurs les plus prometteurs ? J'ai l'impression que vous allez beaucoup entendre parler de lui à l'avenir.

Carl : Oh, ravi de vous rencontrer, M. Witter.

Pacey : C'est un plaisir de vous rencontrer aussi, monsieur.

Carl : Eh bien, messieurs, continuez votre bon travail. Amusez-vous.

Pacey : Merci.

Rich : Merci.

 

Rich voit une femme à l'autre bout de la pièce.

 

Rich : Ah. Excusez-moi. Euh, je vois quelqu'un avec qui je vais devoir faire un pow-wow. Tu vas être bien tout seul pendant un petit moment ?

 

Pacey rigole. Rich s'en va, et Pacey se dirige vers la table et attrape un petit encas quand une dame étrange mais très jolie vient rapidement le rejoindre.

 

Dame : Sauvez-moi.

Pacey : Je suis désolé ?

Dame : Ok, il y a ce mec de 98 ans là-bas qui n'arrête pas de me poursuivre Donc, vous savez, jusqu'à ce qu'il arrête de se cacher, faites comme si nous avions une sorte de conversation.

Pacey : D'accord. Salut.

Dame : C'est ça ? C'est ça? C'est tout ce que j'obtiens ? "D'accord. Salut" ?

Pacey : D'accord. Salut, je suis Pacey Witter.

Dame : Ah. Eh bien, vous êtes Pacey Witter.

Pacey : Quoi, vous avez entendu parler de moi ?

Dame : Disons simplement que votre réputation vous précède. Maintenant, j'ai entendu dire que vous étiez un jeune talent prometteur, une vraie merveille de garçon.

Pacey : Et où avez-vous entendu ça ?

Dame : Disons simplement que je me fais un devoir de connaître ces choses.

Pacey : Alors, vous travaillez pour Stepatech ?

Dame : Non.

Pacey : Alors...

Dame : ce doit être un véritable honneur, que Rich vous ait choisi parmi tout le monde pour venir ici ce soir ?

Pacey : Je vois. Vous connaissez Rich. Eh bien, quoi que vous fassiez, ne croyez pas un mot de ce que cet homme dit de moi.

Dame : Alors, dites-moi quelque chose, Pacey. Vous êtes nouveau dans ce domaine, n'est-ce pas ?

Pacey : Mm-hmm.

Dame : Mm-hmm. Affaires difficiles. Beaucoup de requins.

Pacey : Ah, ce n'est pas si mal.

Dame : Pourquoi cela ? Un homme intelligent comme vous, vous pourriez être à l'université. Je veux dire, est-ce l'argent ou... ?

Pacey : Non. Non. Pas vraiment. Eh bien, c'est un mensonge. Au début, c'était définitivement l'argent, puis après ça, c'était le frisson de la chasse, l'adrénaline, et maintenant je suppose que c'est une combinaison des deux. Et vous ? Que faites-vous ?

Dame : Oh. Je suppose qu'il est parti.

Pacey : Attendez, c'est ça ? Vous allez juste partir ?

Dame : Mm-hmm.

Pacey : Mais je ne connais même pas votre nom.

Dame : Eh bien, vous allez devoir essayer un peu plus fort que ça. Je vous verrai plus tard, Pacey.

 

Hell's Kitchen. Joey est assise au bout du bar, lisant les nouvelles d'Eddie. Hetson se précipite dans le bar et se dirige immédiatement vers Joey.

 

Hetson : Où est-elle ?

Joey : Qui ?

Hetson : Qui ? Qui, dit-elle. Vous savez très bien qui !

Joey : Harley ?

Hetson : Harley, sors tes fesses d’ici tout de suite !

Joey : Harley n'est pas là.

Hetson : Vous n’avez pas à la couvrir, Joey. L'école a appelé. Elle a de nouveau coupé les cours. Quatrième fois ce mois-ci. Harley ? Allez, je sais que tu te caches. N'aie pas peur, ramène ton cul ici pour que je puisse le faire tomber dans l'oubli.

Joey : Vous  savez, je déteste interrompre vos techniques parentales extrêmement efficaces, mais j'ai bien peur qu'elle ne soit vraiment pas là.

Hetson : Eh bien, où pensez-vous qu'elle soit allée ? Je veux dire, elle... elle va probablement bien, n'est-ce pas ? Je veux dire, je veux dire vous... vous pensez qu'elle va bien, n'est-ce pas ?

Joey : D'où cela vient-il ?

Hetson : Écoutez, Joey, je... j'admets que je n'ai pas été le parent le plus présent jusqu'à présent, mais parfois... je ne sais pas, une minute, c'était Barney et Elmo, et maintenant, eh bien, je… Je commence un peu à réaliser que mon petit muffin pourrait bien être un délinquant juvénile.

Joey : D'accord. Calmez-vous. Ce n'est pas une délinquante juvénile. Je veux dire, ouais, elle parle un bon jeu, et elle peut sécher l'école de temps en temps, mais... ce n'est qu'une façade. Faites-moi confiance.

Hetson : Ça ne change toujours pas le fait qu'elle a disparu. Ma petite fille a disparu.

 

Harley arrive pour les rejoindre.

 

Harley : Hé, papa.

Hetson : Harley. Où étiez-vous, jeune fille ?

Harley : J'avais juste une course à faire... à Worcester.

 

Eddie arrive derrière Harley.

 

Eddie : Salut.

 

Bus de tournée du groupe. Il y a beaucoup de monde dans le bus qui fait la fête, et Audrey est assise sur un des canapés un peu déplacé. Il y a une musique rock en cours de lecture.

 

Homme : Gros concert, hein ?

Audrey : Ouais.

Homme : Tu es nerveuse ?

Audrey : Non. C'est un mensonge. Ouais, en fait, énormément. Je ne pense pas avoir déjà fait ça sobre auparavant.

Homme : Eh bien, dans ce cas...

 

Elle regarde la bouteille et fait signe que non de la tête.

 

Audrey : J'ai abandonné.

Homme : Abandonné ?

Audrey : Je réévalue ma vie ou quelque chose comme ça.

Homme : Dommage.

Audrey : Ouais.

Homme2 : Ouais, qu'est-il arrivé à cette fille à Philadelphie ?

 

Elle finit par céder et décide de boire un verre.

 

Audrey : Tu sais quoi ? En fait, puis-je juste... boire une gorgée ?

Homme2 : Ouais. Bien sûr.

Audrey : Merci.

 

Un des gars tend la main avec 3 pilules dessus.

 

Homme : Vous en voulez un ?

Audrey : D'accord.

 

Elle en prend un et l'avale avec la bouteille d'alcool toujours à la main.

 

Audrey : Euh. Voilà.

 

Hell's Kitchen. Joey essaie de rester occupée à travailler tout en essayant d'ignorer Eddie, mais il la suit partout dans le bar.

 

Eddie : Alors tu penses que tu pourrais peut-être arrêter de m'ignorer pour qu'on puisse aller quelque part et parler ?

Joey : Oh, je suis désolée. Est-ce que je t'ignorais ?

 

Hetson s'approche du bar et s'arrête devant Joey portant deux verres vides et finissant une aile de bison dans sa main.

 

Hetson : Mes compliments au chef pour les ailes de bison frites. Ils sont excellents ce soir.

Joey : Tu ne devrais pas être à la maison en train de la punir ?

Hetson : Je la punis. Je la fais asseoir et prendre un repas avec son père. Au fait, nous n'avons plus de root beer.

Joey : Demandez au barman.

Hetson : Salut. Merci de l'avoir reconduite, mais rendez-moi service. La prochaine fois que ma fille viendra vous rendre visite dans le caniveau, fermez la porte, glissez-vous et restez loin d'elle.

 

Il se détourne d'Eddie et Joey et part à la recherche du barman.

 

Eddie : Alors, c'est ça ? Tu ne vas pas me parler ?

Joey : Si tu as quelque chose à dire, vas-y.

Eddie : Bien. Écoute, Joey, je... je suis ici parce que je sais, et je veux t'aider à gérer ça. Je veux dire, c'est aussi mon problème.

Joey : Quoi ?

Eddie : Écoute, Harley me l'a dit. D'accord? Je sais.

Joey : Tu sais quoi ?

Eddie : A propos de... à propos de tout, tu sais, toute cette histoire de grossesse.

Joey : Ah. Tu veux dire toute la fausse grossesse qu'elle a inventée pour t'attirer ici sous de faux prétextes. Toute cette histoire de grossesse.

Eddie : Alors, whoa, attends une minute. Attends une minute. Attends une minute. Tu n’es pas... Tu veux dire que tu es... tu n’es pas enceinte ?

Joey : Non.

Eddie : Oh, Dieu merci.

Joey : Même si je l'étais, je ne le dirais certainement pas à Harley.

 

Joey déplace un plateau qui était posé sur les nouvelles qu'elle lisait plus tôt.

 

Eddie : Hey, c'est mon, euh... où as-tu eu ça ?

Joey : Juste un des nombreux objets sans valeur que tu as laissé pour que quelqu'un d'autre le nettoie.

Eddie : Oh, je vois. Donc je te laisse derrière, donc tu envoies ton petit serviteur pour qu'il me poursuive et me trompe ?

Joey : Mais peut-être que si tu ne voulais pas être retrouvé, Eddie, tu aurais peut-être dû couvrir tes traces un peu mieux.

Eddie : As-tu… As-tu appelé chez moi et raccroché hier ?

Joey : Non.

Eddie : Wow, tu sais, je veux dire, ça a du sens. Je veux dire, tu es visiblement énervée par la façon dont les choses se sont terminées entre nous.

Joey : Oh, tu vois, tu sais quoi ? C'est là que tu te trompes parce que les choses ne se sont jamais vraiment terminées entre nous, Eddie. Tu viens de te lever et de déménager à Worcester sans raison apparente, sans même m'en informer, ce qui pour moi, si tu me demandes, ce n'est pas vraiment une fin, n'est-ce pas ? Je m'en fiche. Je veux dire, maintenant que je sais que tu es en vie, le mystère est résolu. Tu peux y aller.

Eddie : Joey, je suis parti, mais t'es-tu déjà arrêtée pour penser que j'avais peut-être fait ça pour toi ?

Joey : Tu es en train de mourir, Eddie ?

Eddie : Non.

Joey : Est-ce que tu protégeais, euh, les secrets du gouvernement ? As-tu été kidnappé par des voleurs de bijoux internationaux ? Est-ce que c'est ça? Parce que sinon, la seule personne pour qui tu as fait ça, c'est toi-même. C'était une sortie agréable et facile. Je comprends. Tu sais quoi, tu l’as. Tu es dehors.

Eddie : Tu penses que c'était si facile ? C'était la chose la plus difficile que j'aie jamais faite.

Joey : Vraiment ?

Eddie : Tu sais quoi ? Oublie ça, d'accord ? Cela n'a pas d'importance. Je vais juste y aller.

Joey : Bien.

Eddie : Bien.

Joey : Bien !

 

Eddie se retourne et part, et Joey attrape son manteau et sort après lui

 

Joey : Alors, pourquoi, Eddie ?

Eddie : Pourquoi ? Parce que, d'accord ?

Joey : Parce que ?

Eddie : Parce que. Parce que je ne pouvais même pas te faire face. D'accord? Parce que j'avais honte.

Joey : Tu avais honte ? Honte de quoi ?

Eddie : Honte de quoi ? Joey, je n'ai même pas trouvé de travail. Je ne pouvais pas payer le loyer. Ils m'ont coupé l'électricité. J'avais des cafards rampant sur mon bras.

Joey : Mais pourquoi penses-tu que cela ferait une différence pour moi, Eddie ? Je veux dire, je suis pauvre aussi, tu te souviens ? Je suis juste comme toi.

Eddie : Non, d'accord ? Tu n'es pas comme moi, parce que tu as un avenir. En fait, tu as la vie devant toi.

Joey : Toi aussi.

Eddie : Non ! Non, tu ne vois pas ? Je veux dire, c'est pourquoi j'ai frappé Hetson cette fois-là, parce qu'il avait raison, et je savais qu'il avait raison. Je veux dire, pourquoi est-ce que tu es la seule qui ne peut pas le voir ? Joey, je ne suis rien. Je suis juste un gars sans travail, sans argent en banque, sans perspectives, sans éducation, sans talents, rien. Enfer, j'ai même reçu la lettre de refus pour le prouver.

Joey : Ils ont dit que tu as une promesse.

Eddie : Eh bien, ils disent ça à tous ceux qu'ils rejettent.

Joey : Ouais, mais dans ton cas, c'est vrai.

Eddie : Écoute, j'apprécie le discours d'encouragement et tout, je l'apprécie. Mais regardons les faits en face. Je veux dire, toi et moi, nous nous dirigeons vers deux futurs très différents. Et la vérité, Joey, c'est que... tu mérites d'être avec le meilleur gars de la pièce, pas celui qui ramasse ses ordures ou sa table. Tu auras tout ce que tu veux dans cette vie, Joey.

Joey : Je te voulais.

Eddie : Non. Non, tu voulais ce gars que tu as rencontré en cours d'anglais. Et je ne suis pas lui. Je dois y aller.

 

The Bent Elbow. Le groupe d’Emma est sur scène en train de démarrer, quand Audrey arrive en trébuchant sur scène et claque un verre d'alcool avant de saisir le micro et commence à chanter, beaucoup plus pauvre qu'avant.

 

Le public applaudit.

 

Audrey : Quoi de neuf, The Bent Elbow ?!

 

Audrey commence à chanter "Love Is All Around".

 

La grande fête. Pacey est debout avec deux autres gars à la fête et les écoute déclamer.

 

Homme : Eh bien, je suis entré au rez-de-chaussée. En quelque sorte, j'avais un instinct à ce sujet.

Homme 2 : Instinct ou chance ?

Homme : Je ne crois pas à la chance quand il s'agit d'argent.

Homme 2 : Les plus chanceux ne le font jamais.

 

Pacey regarde et voit la dame à qui il parlait plus tôt parler avec d'autres gars, quand Rich arrive et attire son attention.

 

Rich : Allez, on a des affaires à régler.

Pacey : Vous la connaissez ?

Rich : Qui ?

Pacey : Elle.

Rich : Euh, eh bien, de l'arrière de sa tête, je dirais que je n'en ai absolument aucune idée. Maintenant, peut-être que vous aimeriez me rejoindre dans le bureau privé de Roger Stepavitch afin que nous puissions discuter des façons dont vous et moi pouvons nous rapprocher pour devenir millionnaires.

Pacey : Je peux le faire.

Rich : Bien.

 

Le bureau privé de Roger Stepavitch. Rich et Pacey prennent place sur le canapé en face de Roger, alors qu'il s'assoit dans un grand fauteuil en cuir pour parler affaires.

 

Roger : Donc, Pacey, Rich me dit que vous avez un talent assez brut.

Pacey : Eh bien, tout ce que j'ai appris, je l'ai appris de Rich.

Roger : Eh bien, j'apprécie tout votre travail acharné. Vous avez aidé à vendre beaucoup d'actions Stepatech pour nous.

Pacey : Uniquement parce que je crois en votre compagnie, monsieur.

Roger : Dites-moi, Pacey, avez-vous été surpris lorsque Rich vous a dit que nous avions décidé que vous deviez assumer un rôle plus important dans la gestion du compte d'entreprise de Stepatech ?

Rich : En fait, Roger, je ne lui en avais pas encore parlé.

Roger : Ah.

Pacey : Et je suis vraiment désolé, messieurs, mais je ne pense pas suivre. Que voulez-vous dire, un rôle plus important?

Rich : Euh, c'est comme une promotion, Pacey. Votre titre restera le même, mais vous obtiendrez une augmentation substantielle. Et à partir de maintenant, votre nom figurera sur toutes les transactions que nous traitons pour Stepatech corporate.

Pacey : C'est… c'est fantastique. Mais honnêtement, vous pensez que je suis prêt pour quelque chose comme ça ? Je veux dire, je viens de finir ces séries 7, et je suis un peu nouveau, mais à part ça, vous savez, si vous pensez que je peux le faire...

Roger : Euh, je pensais que tu avais dit ça, euh...

Rich : En fait, je suis un peu surpris par votre attitude, Pacey.

Pacey : Je suis désolé. Je suis vraiment désolé. Je pense que je me suis mal exprimé. C'est juste une opportunité fantastique pour un homme aussi jeune que moi. Ça m'a un peu pris au dépourvu. Mais qu'on ne dise jamais que Pacey J. Witter n’arrive pas à se projeter dans le futur, ce qui, si je ne me trompe pas, est en fait le slogan de votre belle entreprise.

Rich : Ça ira.

Roger : Excellent. Bien, bienvenue à bord, jeune homme. Je vous prédis de grandes choses pour l'avenir.

Pacey : Eh bien, merci, monsieur. Et j'espère être à la hauteur de vos attentes.

Roger : Je n'ai aucun doute que vous le ferez.

 

Hell's Kitchen. Joey nettoie la table à laquelle Harley est assise.

 

Harley : Tu es en colère contre moi, n'est-ce pas ?

Joey : Non.

Harley : Oui, tu l’es. Je sais que j'ai foiré. Je suis désolée. Tu étais si triste, je pensais juste que je pouvais aider.

Joey : Je sais, Harley. C'est juste qu'à l'avenir, tu pourrais peut-être obtenir un consentement écrit exprès avant de partir dire bon gré mal gré aux garçons que je suis enceinte. Ou à la réflexion, peut-être pourrais-tu simplement ne pas le faire du tout, d'accord ?

Harley : Je ne le ferai pas. Promis.

Joey : Merci.

Harley : Alors que s'est-il passé ?

Joey : Il est parti. Il vient de partir, et il a abandonné, et ce qui est nul, c'est que j'ai lu ces histoires, et elles sont vraiment très bonnes, et il ne fera jamais rien avec. Il va probablement pourrir à Worcester pour le reste de sa vie et je ne peux rien faire.

Harley : Regarde.

 

Elle désigne son père qui se tient au bar, en train de payer la facture.

 

Joey : Quoi ?

Harley : Bonjour ?

Joey : Non.

Harley : Pourquoi pas ?

Joey : Parce que je suis... je ne demande pas à ton père de lire ses histoires. Je veux dire, il ne l'aiderait jamais, et même s'il le voulait, Eddie ne le laisserait jamais faire.

Harley : Ça vaut le coup d'essayer, n'est-ce pas ? Je veux dire, si mon père les déteste, Eddie n'a jamais à le savoir, et s'il les aime, peut-être qu'il peut l'aider. C'est mieux que lui pourrissant à Worcester pour toujours.

 

Elle se dirige vers Hetson avec les histoires qu'elle a attrapées derrière le bar.

 

Joey : Professeur Hetson, euh... Je me demandais si vous pouviez peut-être lire ces nouvelles et me dire ce que vous en pensez.

Hetson : Vous savez que je suis honnête à un point que certains ont qualifié de brutal ?

Joey : Oui.

Hetson : Et que j'ai écrasé plus d'une des ambitions littéraires de Sylvia Plath dans l'oubli ? Vous êtes toujours prête à prendre cette chance avec le vôtre ?

Joey : Ce ne sont pas vraiment mes ambitions.

 

Il regarde les nouvelles et voit le nom d'Eddie.

 

Hetson : Non.

Joey : Allez. Vous n'avez qu'à les lire. Je veux dire, ils sont vraiment bons. Ils sont incroyables, en fait.

Hetson : Je m'en fous.

Joey : Vous êtes sa dernière chance, professeur Hetson. Je sais que vous avez des relations. Si vous pouviez juste lui donner quelques encouragements, au moins ?

Hetson : Écoutez, mademoiselle Potter, mettons quelque chose au clair. Non seulement votre M. Doling n'est pas un étudiant inscrit à Worthington, en plus il a essayé de frauder notre université sacrée, ok, et par-dessus tout il a kidnappé mon seul et unique…

Joey : Il ne l'a pas kidnappée. Il l'a ramenée chez elle.

Hetson : fait est, Joey, que je pourrais tout pardonner s'il n'y avait pas une erreur fatale. Il m'a donné un coup de poing au visage. Je veux dire, il aurait pu y avoir des cicatrices, des os cassés. Nous parlons d'une grave défiguration de l'un de mes atouts les plus précieux, et ce n'est pas cool dans mon livre. Allez, Harley. On doit y aller.

 

Hetson se tourne pour partir, et Harley attrape son manteau et le texte des mains de Joey.

 

Harley : Ne t'inquiète pas. Je vais travailler sur lui.

Joey : N'oublie pas ton sac.

Harley : Chut.

 

Bent Elbow. Audrey chante toujours avec le groupe, mais sa situation s'aggrave. Elle a des problèmes avec les lignes de la chanson et trébuche sur la scène en chantant. Le groupe se regarde juste en secouant la tête, mais continue à jouer.

 

Audrey chantant "Bad Times" et "Love Is All Around" mélangés ensemble.

 

Elle saute dans la foule et fait du crowdsurf. Les drogues l'atteignent et les choses commencent à devenir floues. Ils la remettent sur scène et elle attrape le micro qu'elle a fait tomber.

 

Audrey : aah, ouah ! Je veux être le roi lézard !

 

Elle s'évanouit sur scène. Le public hue.

 

Homme : Bouh !

Femme : Elle craint !

 

Dans les coulisses du Bent Elbow. Audrey est assise sur une chaise appuyée contre le mur pour ne pas tomber. Emma s'approche et lui tend une bouteille d'eau.

 

Emma : Ça va mieux ?

Audrey : Ouais.

Emma : Bien. Tu es virée du groupe.

Audrey : Non. Emma, tu ne peux pas me virer. Vous ne pouvez pas. Je peux faire mieux parce que j'ai eu ce moment de clarté sur une plage de Malibu et je sais que je dois être meilleure, et je peux...

Emma : Je ne veux pas l'entendre, Audrey. Tu es virée. Je t'appelle un taxi. Rentre chez toi et dors.

 

Hell's Kitchen. Joey nettoie le bar, quand Hetson entre en trombe et se dirige vers elle.

 

Hetson : Oui, oui, je suis de retour. Pouvez-vous le croire? Harley a "oublié" son sac à dos.

Joey : Oh, je vais te le chercher. C'est juste derrière le bar.

Hetson : Votre petit plan a donc fonctionné. Harley m'a ennuyé en lisant quelques histoires de M. Doling.

 

Il lui tend les histoires.

 

Joey : Vraiment ?

Hetson : Oui. Et même si je les ai trouvés dans l'ensemble peut-être un peu surmenés et dérivés, ils montrent à la base un écrivain avec du potentiel.

Joey : Vraiment ? Vous pensez qu'il a du potentiel ?

Hetson : Ne m'obligez pas à le redire.

Joey : Eh bien, je veux dire, y a-t-il quelque chose... il doit y avoir quelque chose que vous pouvez faire pour l'aider. Je veux dire, peut-être que vous pouvez montrer ses histoires à un éditeur.

Hetson : Il n'est pas prêt pour ça.

Joey : Eh bien, vous pourriez peut-être tirer quelques ficelles à Worthington.

Hetson : Non.

Joey : Allez, il doit y avoir quelque chose que vous pouvez faire, n'importe quoi.

Hetson : D'accord. Il y a quelqu'un que je connais qui enseigne à l'atelier de l'écrivain californien.

Joey : Vous êtes sérieux ? Pensez-vous pouvoir le faire entrer ?

Hetson : Je pense qu'Eddie pourrait faire entrer Eddie avec ma recommandation.

Joey : Eh bien, cet endroit n'est-il pas plutôt prestigieux ?

Hetson : Un peu, comme…

Joey : Eh bien, il n'a même pas de diplôme de premier cycle.

Hetson : Ouais, non, je sais. Je pense toujours qu'il a une chance. Faites-moi savoir ce qu'il dit.

Joey : Oh, oui. Eh bien, vous savez quoi, en fait, professeur Hetson, je pense qu'il préfère l'entendre de vous.

Hetson : Joey, le gamin m'a donné un coup de poing. Je vais essayer de le faire entrer dans ce programme, mais je pense que ça suffit.

Joey : Ouais, mais, voyez, professeur Hetson, le truc c'est qu'il a en quelque sorte... abandonné, et je ne pense pas qu'il m'écouterait. J'ai vraiment... nous ne sommes pas dans les meilleurs termes.

Hetson : C'est une saga fascinante. C'est à vous. Vous voulez essayer de le convaincre, dites-lui que je vais écrire une recommandation, mais dans tous les cas, c'est à vous de décider. La balle est dans son camp. Écoutez, je m'en vais. J'ai Harley enchaînée à un radiateur.

 

Joey le regarde en état de choc.

 

Hetson : Je plaisante, Joey. Ayez le sens de l'humour.

 

La grande fête. Pacey s'apprête à partir et attend que le valet ramène sa voiture lorsque la mystérieuse dame de tout à l'heure arrive derrière lui.

 

Dame : Alors, je suppose que c'est bonne nuit.

Pacey : Vous savez, je ne pourrai jamais vous appeler si vous ne me dites pas votre nom.

Dame : C'était une grande soirée pour vous là-dedans, hein ?

Pacey : Ouais, je suppose que ça l'était.

Dame : Ouais. Donc, euh, je vous ai vu, vous et Rich, entrer dans le bureau privé de Roger.

Pacey : Pardon ?

Dame : Laissez-moi deviner. Vous montez dans le monde, peut-être qu'il vous a proposé une promotion ? Une grosse augmentation ?

Pacey : Êtes-vous journaliste ?

Dame : Écoutez, je pense juste que vous devriez peut-être vous demander pourquoi tout cela a été si facile... ou si c'est juste un peu trop beau pour être vrai. Bonne chance Pacey.

 

Elle monte dans la voiture que le voiturier a amenée et s'en va.

 

La chambre de Joey et Audrey. Audrey entre et jette son manteau par terre et s'assied sur son lit.

 

Au bout d'une minute environ, elle se lève et se dirige vers sa commode et attrape une bouteille d'alcool dans son tiroir et boit une partie importante de la bouteille. Après avoir bu l'alcool, elle regarde la bouteille, puis va dans la salle de bain et verse le reste dans l'évier. Elle va poser la bouteille vide sur le comptoir mais elle tombe par terre et se fracasse. Audrey retourne dans son lit et s'effondre dessus.

 

Devant la maison des parents d'Eddie. Joey s'arrête à l'allée devant la maison et regarde depuis les histoires qu'elle porte jusqu'à la porte d'entrée.

 

Elle monte et frappe à la porte.

 

Eddie : Salut.

Joey : Salut.

Eddy : Qu'est-ce que tu fais ici ?

Joey : J'ai pensé que tu devrais avoir ça. Il n'appartient pas à la poubelle.

 

Elle lui tend les histoires, et il sort et ferme la porte.

 

Eddie : Merci.

Joey : Bien sûr. Je l'ai donné à Hetson, et, euh, il a dit qu'il pourrait peut-être te faire entrer dans l'atelier de l'écrivain californien.

Eddie : Tu as donné ça à Hetson ?

Joey : Ouais, c'est vrai.

Eddie : A quoi ça sert, Joey ? Je veux dire, ils ne me laisseront pas entrer. Même s'ils le faisaient, je ne peux pas me permettre cet endroit.

Joey : Peut-être qu'il y a une bourse, ok ? Ou une aide financière. Le but est d'essayer au moins. Je veux dire, c'est une chance, Eddie, une vraie chance. Je te propose de la prendre. Ok, tu sais quoi, si tu veux être lâche à propos de notre relation et m'enfuir, c'est bien, mais ne sois pas lâche à propos de ça. Je veux dire, c'est ta vie. N'abandonne pas si facilement. Je suppose que je devrais y aller.

 

Elle se tourne pour partir, mais s'arrête et se retourne.

 

Joey : Tu sais quoi ? En fait, je n'irai pas parce que c'est exactement ce que tu veux que je fasse. Écoute, il y a longtemps, tu m'as dit que tu voulais être une de ces personnes qui ont pris des risques, qui ont vraiment vécu la vie, mais je suppose que c'était une ligne, hein ? Parce que d'après ce que je peux voir, tu as juste peur de moi, de toi-même, de vivre ta vie.

Eddie : Tu as raison.

Joey : Et maintenant ? Que vas-tu faire à propos de ça? Tu vas juste t'asseoir ici et pourrir à Worcester ?

Eddie : Non.

 

Il l'embrasse, mais elle le repousse.

 

Joey : Mauvaise réponse.

Eddie : Je fais juste ce que tu m'as dit de faire.

Joey : Ce n'est pas ce que je voulais dire. C'est trop tard pour ça, Eddie. Je... je dois y aller.

Eddie : Attends, Joey, attends. Je t'aime. S'il te plait, Joey, ne... ne pars pas. Je ne veux pas qu'il soit trop tard.

Joey : Je t'aime aussi. Au revoir.

 

La chambre de Joey et Audrey. Joey entre dans la chambre et voit Audrey s'évanouir dans son lit, et elle enlève son écharpe.

 

Elle voit le manteau d'Audrey sur le sol, se penche pour le ramasser et regarde dans la salle de bain et voit la bouteille d'alcool écrasée sur le sol et se retourne rapidement et court et essaie de réveiller Audrey.

 

Joey : Audrey. Audrey. Audrey, réveille-toi. Audrey ! Audrey.

 

Audrey ne se réveille pas et elle court rapidement, décroche le téléphone et compose le 911.

 

FIN

[Scene: Hell’s Kitchen. Jen, Jack and Pacey are sitting at a table talking together, when Joey comes up and joins them carrying a bowl full of popcorn. They are all joking and laughing with one another.]



Jen: Yeah, yeah, and if I said-- if I said--if I said one word like that, the whole thing would be, like, aah!

[All laugh]

Jen: And another thing about bad bosses—

[Audrey comes into the bar and looks around and sees them and sheepishly goes over to the table]

Joey: Oh.

Audrey: So... anyway, here's the thing. Um, I messed up, and I'm really sorry... you know, for my insane behavior the past couple of months, for any pain or worry I might have caused you guys, for... pushing you away when you were just trying to be my friends. So the thing is that after the whole Christmas debacle, you know, I went home to Los Angeles, and... this one night, this one horrible, horrible night, I found myself at this party in Malibu on this beach... full of strangers. And the sun was coming up, and... I was just drunk off my ass, and... I remember looking around and thinking, "you know what? "Maybe the problem isn't Joey... "or Pacey or... "Jen or C.J. "Or jack or Dawson or anyone else. "Just maybe... maybe it's me." I don't expect you to forgive me right away because I do realize how bad I've messed up, and... you know, I just... if you guys wanna call me sometime, you know, just to say hi, that would be really cool. Because I really love you guys, and I miss you, and I'm just really sorry.

[They all get up and stop her before she can leave]

Joey: Audrey.

Jen: Audrey.

Pacey: Hey, come on. Come back here.

Joey: Audrey. Audrey.

Joey: Hey. We missed you.

Audrey: Yeah. I missed you, sweetie.

Jen: It's ok.

[They all take turns hugging Audrey]

Audrey: Oh, god! Ha!



[Opening Credits]



[Commercial Break]



[Scene: Hell’s Kitchen. Emma is leaning on the pool table while staring at the new bartender, when Joey comes walking up from the back room. Joey sees Emma and decides to find out what she is doing.]



Joey: What are you doing?

Emma: I was just having a sexual fantasy about the new bartender. We were out in the alley, and we were doing it against the brick wall behind the garbage bins.

Joey: Interesting. 'Cause to me, it's totally the pool table.

Emma: Joey potter, I am shocked!

Joey: What? I am not above the occasional random sexual fantasy to help the otherwise glacially paced workday. Believe me. Don't let the prim exterior fool you. Underneath it all, I'm actually... less prim.

Emma: [Laughs] Oh, while we're on the subject of bartenders with lust-worthy asses, whatever happened to Eddie?

Joey: What do you mean? He got fired.

Emma: Well, I know that. But he never even came back to clear out his locker.

Joey: Well, why would you think that I would know where he was?

Emma: Well, weren't you two—

Joey: Oh. Oh, we had a little fling. A barely significant fling. I mean, it was... nothing.

Emma: I guess I must have got it wrong.

Joey: Yeah. Me and Eddie, way over. It was over before it started.

Emma: Ok, well, good. Then I guess you wouldn't mind clearing out his locker. The boss has been asking me about it, and we really do need the space. I'd do it myself, but I was kinda hoping to cut out early for band practice.

Joey: Yeah, sure. That's no problem.

Emma: Good. Ok. Um, I guess you can pretty much just throw everything into the garbage. If there was anything of any worth, I'm sure he would have come back for it already.

Joey: Right.

Emma: You're a love. [She looks down at the bartender’s ass as he walks by and winks at Joey] Oh. Have fun then, Joey.



[Scene: The Brokerage. Pacey is attending a meeting with the other brokers in the office. Rich is going over the tasks ahead of them.]



Rich: So continue watching to see if the merger takes. In the meantime, advise caution to your clients. Now one final note. I'd like to remind you to keep pushing Stepatech industries. It's about to shoot through the roof. When their new drug gets approved on Monday, anyone who holds the stock is going to be very, very rich. And I don't need to remind you that Stepatech itself is a client here, and we'd like to keep them happy, so keep giving it the hard sell. All right, let's go out there and make some money.

[Everyone leaves]

Rich: Witter, can I talk to you for one second? Please.

[Rich turns to Pacey before he can leave]

Rich: Here's the thing. I know we've had our problems in the past, but don't think that because of that I'd let your good work go unnoticed or unrewarded.

Pacey: Rich, please, the enormous commissions are reward enough for me.

Rich: Spoken like a true acolyte. So I have an extra reward in store for you. There's a big shindig tomorrow night at the home of Roger Stepavitch. Do you know who Roger Stepavitch is?

Pacey: Of course I do. He's the founder and CEO of Stepatech industries.

Rich: Very good. He asked me personally to bring my most promising seller to this particular shindig, which puts me in kind of a tough position because, well, it's you, Pacey. You're my best seller. Let's face it. You have some sort of natural gift for this stuff, a gift which unfortunately is matched only by your incredible ego and attitude. And I'm torn because on the one hand, I see flashes of greatness in you. And on the other hand, I see flashes of you freaking out on me in the middle of the French quarter down in New Orleans, or you suddenly pretending to get sick and blowing off work for a couple days for no apparent reason. So as you can see, I'm in a bit of a bind. I want to bring you to this party, Pacey. But first I need to know something. Can you be a team player?

Pacey: Wow, rich, I-- I mean, uh, heh. I don't know what to say here. I'm honored.

Rich: Yeah.

Pacey: I'm honored by the trust that you've placed in me, and I do know that we have had our differences in the past. But you should know that now I am 100% committed to this job and everything that it has to offer. And I fully realize what an enormous opportunity you're giving me here by taking me to this party, so—

Rich: Witter, I don't need your life story. A simple yes or no would have sufficed.

Pacey: Right. Well, in that case, yes, absolutely. You can count on me 100%. I'm a team player.

Rich: Good. It's settled, then. You're coming to the party.

Pacey: I--I appreciate that. That's--this is fantastic.



[Scene: Outside Emma’s Apartment. Audrey turns the corner of the hallway to Emma’s apartment and sees a line of women lined up to her door. She makes her way around the women, and knocks on the door. Emma opens the door and is a shocked to see Audrey there.]



Emma: Sorry to keep you all waiting. I-- oh. Hello.

Audrey: Dude, what is up with all the Courtney Love wannabes? It's like an Audrey convention out there.

Emma: Um, yes, well, why don't you come on in and I'll explain about that.

Audrey: [Sighs] Hey. Ok, you guys, what's up? Why are you looking at me like somebody died?

Emma: I don't know how to say this. Um, those girls out there? They're out there because they're auditioning to be lead singer of this band.

Audrey: But we already have a lead singer, you guys.

Emma: Yes, we did have a lead singer. Unfortunately, she flaked out so terribly, she had to be replaced. You know, got drunk a lot, messed up on stage, and then disappeared to California without so much as a phone call, missing several band rehearsals, you know, the usual bit that gets lead singers kicked out of bands. But the thing is we have a gig tomorrow night, like, a real gig. Well, we're third on the bill, but we're opening up for a band that's opening up for a band that's really good. Like, amazing, actually, and... this could potentially be huge for us, and we can't afford to muck it up.

Audrey: What band?

Emma: Loud milk.

Audrey: Oh. I love that band.

Emma: Don't we all, and we're playing at the Bent Elbow.

Audrey: The place is, like, famous.

Emma: I know. It's all fairly monumental, which is why we needed a new lead singer, one with the talent minus the drama.

Audrey: Ok. I got it, but... the thing is... that you guys should know, is that there was this lead singer, you know, the one who flaked out terribly and messed up and deserved to get fired, but, you see, that lead singer--she's gone. Because she had this moment of clarity on a beach in Malibu, and she realized that all of the drinking and the partying and--and the general mayhem was costing her the things that were most important in her life like her friends and... this band. You guys, I'm sorry. I'm really sorry because this band is one of the few things that I care about in the whole stupid world! Ok, and--and you have got to admit that I may be part of the reason why you guys got that gig. And you know that none of those girls out there are gonna be half as good as me when I'm good! And I promise you that if you give me another chance, I will be better than good. I will be the best. Please. You guys, just gimme-- just gimme another chance, please?

[Emma looks at the other and members and they all nod their approval.]

Emma: Ok. But I swear, if you make me regret this, I will kill you.

Audrey: No, I won't, I won't, I won't!

[Audrey runs over and hugs Emma and they both fall onto the couch.]

Emma: Aaaah!



[Scene: Back room of Hell’s Kitchen. Joey is cleaning out Eddie’s locker. She throws away some papers, and a shirt that he has left in the locker. She reaches in and pulls out a large envelope that was addressed to Eddie at his parent’s house, and opens and pulls out a letter and large document. She reads the letter, and it is a rejection letter from a publisher. She looks at the document and reads “Greetings from Worchester Short Stories by Eddie Doling” on the cover page. She decides not to throw this out.]



[Commercial Break]



[Scene: The Bent Elbow. Audrey and Emma’s band are rehearsing in front of many of the other bands members, and everyone is getting into the music that they are playing. Audrey is singing “Bad Times“ and is sounding rather good now that she is sober.]



[Rock music playing]

[They finish the song, and rap their rehearsal session.]

Emma: that actually sounded very good. All right. So, everyone meet back here at 8:15?

Audrey: Ok. Sure.

[Audrey walks into the back room and runs into a member of one of the other bands playing.]

Man: Hey.

Audrey: Hello.

Man: You girls rock.

Audrey: Oh. Well, thanks.

Man: So, um... uh, you like to have fun?

Audrey: I guess.

Man: Well, I'm with the, uh, the other opening band, Satan’s Tampon? You ever hear of us?

Audrey: [Laughs] I can't say that I have.

Man: Right. Well, there's a-- there's a party happenin' later on the tour bus if you wanna come.



[Scene: Joey’s Dorm Room. Joey and Harley are there sitting on her bed, and Joey is tutoring Harley in Geometry.]



Joey: Ok, Harley, all you have to do is follow the formula. It's simple. "A" squared plus "b" squared equals "c" squared.

Harley: [Scoffs] Forget it. I'm never gonna get it.

Joey: Yes, you will. You just follow the formula.

Harley: Screw the formula. The formula can lick my lily-white ass.

Joey: Nice. You kiss your father with that mouth?

Harley: Ew, gross. Why would I kiss my father?

Joey: You know what? Fine. Why don't we take a break? You want a soda?

Harley: I'd rather have a vodka.

Joey: Oh, sorry. We're out.

[Joey throws her a can of soda, and Harley is just staring at her.]

Joey: What?

Harley: Just wonderin' how you're holdin' up.

Joey: How I'm holding up?

Harley: Look, we could sit here all night and pretend that I don't know what I know about you and Eddie or you could actually realize that I might be a good confidante or shoulder to cry on. We could talk about it.

Joey: I appreciate the offer, but there's really nothing to talk about.

Harley: What do you mean there's nothing to talk about? The boy just disappeared with no explanation. He broke your heart. You're dying inside, wanting to know what happened to him.

Joey: Thanks for the recap.

Harley: Joey, listen, I may be a 15-year-old idiot, but... I'm also your friend, and I understand the situation with you and Eddie better than you're giving me credit for.

Joey: You're my friend?

Harley: Yeah. We're friends. Aren't we?

Joey: Yeah, I guess we are.

Harley: Cool. So, how's the search going? Any new leads?

Joey: What search? What, am I supposed to hire a private detective to find some guy I dated for 2 months who obviously never wants to see me again?

Harley: Well, how do you know he doesn't want to see you? Maybe he just got bonked on the head and now he has amnesia. Or maybe he got kidnapped by international jewel thieves. Point is, you have to be your own detective.

Joey: Well, now that you mention it, and I can't believe I'm telling you this, but... I sort of found a manuscript he wrote. It had a phone number and address on it in Worcester, which is where his parents live, and they probably know where he is—

Harley: Well, what are you waiting for?

Joey: What, am I just supposed to call them up and ask?

Harley: Yes! Duh.

Joey: Don't you think it-- it seems a little desperate and pathetic?

Harley: It's romantic and heartfelt.

Joey: I guess it wouldn't hurt to call. I mean, at least I'd know where he was. You know, that he was alive.

Harley: Go. Call.

[Dialing]

Harley: What's going on?

Joey: Oh, it's all very exciting. The phone is actually ringing.

Harley: [Laughs] Shut up.

[Cut to a ringing Phone. Eddie Picks it up off he toolbox next to the car he is working on]

Eddie: Hello?

[Joey hangs up the phone, and Eddie looks confused for a sec, then goes back to work on the car.]



[Commercial Break]



[Scene: The big Fancy Party. Rich and Pacey have just arrived at the party and have walked in to join the party. A man sees them and walks over to welcome them.]



Rich: Welcome to the big leagues, my friend. Please don't embarrass me.

Carl: Rich Rinaldi.

Rich: Hi.

Carl: Hey. How ya doing? It's good to see ya.

Rich: Good to see you.

Carl: So, congratulations on landing the account. Roger's over there singing your praises.

Rich: That's certainly appreciated, Carl. We do our best. This is, uh, Carl Rosen, VP in charge of marketing at Stepatech. Have you met Pacey Witter, one of our most promising young sellers? I have a feeling you're gonna be hearing a lot from him in the future.

Carl: Oh, pleasure to meet you, Mr. Witter.

Pacey: It's a pleasure to meet you, too, sir.

Carl: Well, gentlemen, keep up the good work. Enjoy yourselves.

Pacey: Thank you.

Rich: Thanks.

[Rich sees a woman at the other end of the room]

Rich: Ah. Excuse me. Uh, I see someone that I'm going need to pow-wow with. You gonna be ok on your own for a little while?

Pacey: [Chuckles]

[Rich goes off, and Pacey goes over to the hors devour table and grabs a small one when a strange but very good looking lady comes quickly over to join him]

Lady: Ok. Save me.

Pacey: I'm sorry?

Lady: Ok, there's this 98-year-old man over there that will not stop grabbing my ass. So, you know, just until he stops lurking, just pretend that we're having some sort of a conversation.

Pacey: Ok. [Laughs] Hi.

Lady: That's it? That's it? That's all I get? "Ok. Hi"?

Pacey: Ok. Hi, I'm Pacey Witter.

Lady: Oh. Well, so, you're Pacey Witter.

Pacey: What, you've heard of me?

Lady: Let's just say that your reputation precedes you. Now, I've heard that you are quite the up-and-coming young talent, a real boy wonder.

Pacey: And just where did you hear that?

Lady: Let's just say that I make it my business to know these things.

Pacey: So, then, you work for Stepatech?

Lady: Nope.

Pacey: So...

Lady: it must be a real honor, rich picking you out of everybody to come here tonight?

Pacey: I see. You know rich. Well, whatever you do, do not believe a word that man says about me.

Lady: So, tell me something, Pacey. You're new at this, right?

Pacey: Mm-hmm.

Lady: Mm-hmm. Tough business. Lotta sharks.

Pacey: Ah, it's not so bad.

Lady: Why this? Smart kid like you, you could be in college. I mean, is it the money or—

Pacey: No. No. Not really. Well, that's a lie. In the beginning it was definitely the money, and then after that, it was the thrill of the hunt, the adrenaline, and now I guess it's some combination of the both. And what about you? What do you do?

Lady: Ooh. I guess he's gone.

Pacey: Wait, that's it? You're just gonna leave?

Lady: Mm-hmm.

Pacey: But I don't even know your name.

Lady: Well, you're gonna have to try a little harder than that. I'll see ya later, Pacey.



[Scene: Hell’s Kitchen. Joey is sitting at the end of the bar, reading the short stories of Eddie’s. Hetson comes rushing into the bar and immediately goes over to Joey.]



Hetson: Where is she?

Joey: Who?

Hetson: Who? Who, she says. You know damn well who!

Joey: Harley?

Hetson: Harley, get your butt out here this instant!

Joey: Harley isn't here.

Hetson: You don't have to cover for her, Joey. The school called. She cut class again. Fourth time this month. Harley? Come on, I know you're hiding. Don't be afraid, just get your ass out here so that I can kick it into oblivion.

Joey: You know, I hate to interrupt your extremely effective parenting techniques, but I'm afraid she's really not here.

Hetson: Well, where do you think she went? I mean, she--she's probably ok, right? I mean, I mean you--you think she's ok, don't you?

Joey: Where is this coming from?

Hetson: Look, Joey, I--I admit that I haven't been the most present parent to this point, but sometime-- I don't know, one minute it was all barney and Elmo, and now, well, I'm kinda startin' to realize that my little muffin might just be a juvenile delinquent.

Joey: All right. Calm down. She's not a juvenile delinquent. I mean, yeah, she talks a good game, and she may skip school occasionally, but... it's all just a front. Trust me.

Hetson: Still doesn't change the fact that she's missing. My little girl is missing.

[Harley comes walking up to join them]

Harley: Hey, daddy.

Hetson: Harley. Where have you been, young lady?

Harley: I just had an errand to run... in Worcester.

[Eddie comes walking up behind Harley]

Eddie: Hey.



[Scene: Band’s Tour Bus. There are a lot of people in the bus partying, and Audrey is sitting on one of the couches a little out of place.]



[Rock music playing]

Man: Big gig, huh?

Audrey: Yeah.

Man: You nervous?

Audrey: No. That's a lie. Yeah, actually, tremendously. I don't think I've ever done this sober before.

Man: Well, in that case—

[She looks at the bottle, and nods her head no.]

Audrey: I quit.

Man: Quit?

Audrey: I'm re-assessing my life or something.

Man: Bummer.

Audrey: Yeah.

Man2: Yeah, whatever happened to that girl in Philly?

[She finally gives in, and decides to have a drink.]

Audrey: You know what? Actually, can I just... have a sip?

Man2: Yeah. Sure.

Audrey: Thanks.

[One of the guys holds out his hand with 3 pills on it.]

Man: Want one of these?

Audrey: Ok.

[She takes one and chugs it down with the bottle of alcohol still in her hand.]

Audrey: Ugh. There you go.



[Scene: Hell’s Kitchen. Joey is trying to keep herself busy working while trying to ignore Eddie, but he is following her all around the bar. ]



Eddie: So do you think maybe you could stop ignoring me so we could go somewhere and talk?

Joey: Oh, I'm sorry. Was I ignoring you?

[Hetson comes walking up to the bar, and stops in front of Joey carrying 2 empty glasses and finishing off a buffalo wing in his hand.]

Hetson: My compliments to the chef on the deep-fried buffalo wings. They're excellent tonight.

Joey: Shouldn't you be home punishing her?

Hetson: I am punishing her. I'm making her sit and have a meal with her father. By the way, we're outta root beer.

Joey: Ask the bartender.

Hetson: Hey. Thank you for driving her back, but do me a favor. The next time my daughter comes to visit you in the gutter, shut the door, slither off, and stay the hell away from her.

[He turns from Eddie and Joey and goes off in search of the bartender.]

Eddie: So, that's it? You're just not gonna talk to me?

Joey: If you have something to say, go ahead.

Eddie: Fine. Look, Joey, I'm--I'm here because I know, and I wanna help you deal with this. I mean, it's my problem, too.

Joey: What?

Eddie: Look, Harley told me. Ok? I know.

Joey: Know what?

Eddie: About... about the whole, you know, the whole pregnancy thing.

Joey: Oh. You mean the whole fake pregnancy thing she made up in order to lure you here under false pretenses. That whole pregnancy thing.

Eddie: So, whoa, wait a minute. Wait a minute. Wait a minute. You're not-- you mean you're-- you're not pregnant?

Joey: No.

Eddie: Oh, thank god.

Joey: Even if I was, I certainly wouldn't tell Harley.

[Joey moves a tray that was sitting on the short stories she was reading earlier.]

Eddie: Hey, is this my, uh-- where did you get this?

Joey: Just one of the many non-valuables you left behind for someone else to clean up.

Eddie: Oh, I see. So I leave you behind, therefore you send your little minion to come after me and trick me back?

Joey: But perhaps if you didn't wanna be found, Eddie, maybe you should've covered your tracks a little better.

Eddie: Did you-- did you call my house and hang up yesterday?

Joey: No.

Eddie: Wow, you know, I mean, it makes sense. I mean, you're obviously pissed off by the way things ended between us.

Joey: Oh, you see, you know what? That's where you're wrong because things actually really never ended between us, Eddie. You just up and moved to Worcester for no apparent reason without even informing me, which to me, if you ask me, that's not really an ending, now, is it? I don't care. I mean, now that I know you're alive, the mystery's solved. You can go.

Eddie: Joey, I left, but did you ever stop to think that maybe I did that for you?

Joey: Are you dying, Eddie?

Eddie: No.

Joey: Were you protecting, uh, government secrets? Were you kidnapped by international jewel thieves? Is that it? Because otherwise, the only person you did that for was yourself. It was a nice, easy out. I get it. You know what, you got it. You're out.

Eddie: Do you think it was that easy? It was the hardest thing I've ever done.

Joey: Really?

Eddie: You know what? Forget it, ok? It doesn't matter. I'm just gonna go.

Joey: Fine.

Eddie: Fine.

Joey: Fine!

[Eddie turns and leaves, and Joey grabs her coat and goes outside after him]

Joey: So, why, Eddie?

Eddie: Why? Because, ok?

Joey: Because?

Eddie: Because. Because I couldn't even face you. Ok? Because I was ashamed.

Joey: Ashamed? Ashamed of what?

Eddie: Ashamed of what? Joey, I couldn't even find a job. I couldn't pay rent. They turned my electricity off. I had cockroaches crawling on my arm.

Joey: But why would you think that would make a difference to me, Eddie? I mean, I'm poor, too, remember? I'm just like you.

Eddie: No, ok? You are not just like me, 'cause you actually have a future. You actually have a life ahead of you.

Joey: So do you.

Eddie: No! No, don't you see? I mean, that's why I punched Hetson that time, because he was right, and I knew he was right. I mean, why is it that you're the only one who can't see it? Joey, I'm nothing. I'm just a guy with no job, no money in the bank, no prospects, no education, no talents, nothing. Hell, I even got the rejection letter to prove it.

Joey: They said you have promise.

Eddie: Well, they say that to everyone they reject.

Joey: Yeah, but in your case, it's true.

Eddie: Look, I appreciate the pep talk and all, I do. But let's face facts. I mean, you and I, we're headed for 2 very different futures. And the truth is, Joey, is... you deserve to be with the best guy in the room, not the one who picks up his trash or buses his table. You're gonna have whatever you want in this life, Joey.

Joey: I wanted you.

Eddie: No. No, you wanted that guy you met in English class. And I'm not him. I gotta go.



[Scene: The Bent Elbow. Emma’s Band is up on stage starting up, when Audrey comes stumbling up to the stage and slams down a shot of alcohol before grabbing the mic and begins singing, much poorer than before.]



[Audience applauding]

Audrey: What is up, bent elbow?!



[Begins singing “Love Is All Around “]



[Scene: The Fancy Party. Pacey is standing with 2 other guys at the party and listening to them rant on.]



Man: Well, I got in on the ground floor. Sort of had an instinct about it.

Man2: Instinct or luck?

Man: I don't believe in luck when it comes to money.

Man2: The lucky ones never do.

[Pacey looks over and sees the lady he was talking to earlier talking with some other guys, when Rich comes up and gets his attention.]

Rich: Come on, we have some business to attend to.

Pacey: Do you know her?

Rich: Who?

Pacey: Her.

Rich: Uh, well, from the back of her head, I'd say I have absolutely no idea. Now, perhaps, you'd like to join me in the private office of Roger Stepavitch so we can discuss ways you and I can get closer to becoming millionaires.

Pacey: I can do that.

Rich: Good.



[Scene: The Private Office of Roger Stepavitch. Rich and Pacey take a seat at the couch opposite of Roger, as he sits down in a large leather chair to talk business.]



Roger: So, Pacey, rich tells me you have quite a raw talent.

Pacey: Well, everything I learned, I learned from Rich.

Roger: Well, I appreciate all your hard work. You've helped sell a lot of Stepatech stock for us.

Pacey: Only because I believe in your company, sir.

Roger: Tell me, Pacey, were you surprised when rich told you that we decided you should take on a more prominent role in the handling of the Stepatech corporate account?

Rich: Actually, roger, I hadn't mentioned it to him yet.

Roger: Oh.

Pacey: And I'm really sorry, gentlemen, but I don't think I follow. What do you mean, a more prominent role?

Rich: Uh, it's like a promotion, Pacey. Your title will stay the same, but you will be getting a substantial raise. And from now on, your name will be on all transactions that we handle for Stepatech corporate.

Pacey: That's-- that's fantastic. But honestly, do you think I'm ready for something like that? I mean, I just finished those series 7s, and I'm a little green, but other than that, you know, if you think I can do it—

Roger: Uh, I thought that you said that, um—

Rich: Actually, I'm a little surprised by your attitude, Pacey.

Pacey: I'm sorry. I'm really sorry. I think I mis-spoke. It's just such a fantastic opportunity for a man as young as myself. It caught me a little flat-footed. But let it never be said that Pacey J. Witter is not all about stepping into the future, which, if I'm correct, is actually the slogan for your fine company.

Rich: That'll do.

Roger: Excellent. Well, welcome aboard, young man. I predict great things for you in the future.

Pacey: Well, thank you, sir. And I hope I can live up to your expectations.

Roger: I have no doubt that you will.



[Scene: Hell’s Kitchen. Joey is cleaning up the table that Harley is sitting at.]



Harley: You're mad at me, aren't you?

Joey: No.

Harley: Yes, you are. I know I messed up. I'm sorry. You were so sad, I just thought I could help.

Joey: I know, Harley. It's just that in the future, maybe you could obtain express written consent before you go off willy-nilly telling boys that I'm pregnant. Or on second thought, maybe you could just not do it at all, ok?

Harley: I won’t. Promise.

Joey: Thanks.

Harley: So what happened?

Joey: He's gone. He just left, and he's given up, and the thing that sucks about it is I read those stories, and they're actually really good, and he's never gonna do anything with them. He's probably just gonna rot away in Worcester for the rest of his life and there's nothing that I can do.

Harley: Look.

[She points over to her father who is standing at the bar, paying the bill.]

Joey: What?

Harley: Hello?

Joey: No.

Harley: Why not?

Joey: Because I'm... I'm not asking your dad to read his stories. I mean, he'd never help him, and even if he wanted to, Eddie would never let him.

Harley: It's worth a try, isn't it? I mean, if my dad hates them, Eddie never has to know, and if he loves them, maybe he can help him. It's better than him rotting away in Worcester forever.

[She goes over to Hetson with the stories, that she has grabbed from behind the bar.]

Joey: Professor Hetson, um... I was wondering if you could maybe read these short stories and tell me what you think.

Hetson: You are aware that I'm honest to a point some have called brutal?

Joey: Yes.

Hetson: And that I've crushed more than one would-be Sylvia Plath's literary ambitions into oblivion? You're still willing to take that chance with yours?

Joey: They're not really my ambitions.

[He looks at the Short stories and sees Eddie’s Name.]

Hetson: No.

Joey: Come on. You just have to read them. I mean, they're really good. They're amazing, actually.

Hetson: I don't care.

Joey: You're his last chance, professor Hetson. I know that you have connections. If you could just give him some encouragement, at least?

Hetson: Look, miss potter, let's get something clear. Not only is your Mr. Doling not a registered student at Worthington, not only did he try to defraud our hallowed university, ok, not only did he kidnap my one and only-

Joey: He didn't kidnap her. He gave her a ride home.

Hetson: Potato, po-tah-to. The thing is, Joey, I could forgive all that if it were not for one fatal mistake. He punched me in the face. I mean, there could have been scarring, broken bones. We're talking serious disfigurement of one of my most cherished assets, and that is not cool in my book. Come on, Harley. We gotta go.

[Hetson turns to leave, and Harley grabs her coat and the stories out of Joey’s hands]

Harley: Don't worry. I'll work on him.

Joey: Don't forget your bag.

Harley: Shh.



[Scene: Bent Elbow. Audrey is still singing with the band, but is actually getting worse. She is having trouble with the lines of the song, and stumbling around on the stage while singing. The band just look at one another shaking the heads, but continue playing.]



[Audrey singing “Bad Times“ and “Love Is All Around “ mixed together]



[She jumps into the crowd, and does some crowd surfing. The drugs are getting to her and things are starting to get out of focus. The put her back on the stage and she grabs the mic she dropped]

Audrey: aah, whoa! I want to be the lizard king!

[She passes out on the stage]

Man: Boo!

[Audience booing]

Woman: She sucks!

[Audience booing]



[Commercial Break]



[Scene: Back stage of the Bent Elbow. Audrey is sitting on a chair leaning against the walk to keep from falling over. Emma comes walking up and hands her a bottle of water.]



Emma: Feel better?

Audrey: Yeah.

Emma: Good. You're out of the band.

Audrey: No. Emma, you can't kick me out. You can’t. I can do better because I had this moment of clarity on a beach in Malibu and I know that I need to be better, and I can—

Emma: Don't want to hear it, Audrey. You're out. I'll call you a cab. Go home and sleep it off.



[Scene: Hell’s Kitchen. Joey is cleaning up the bar, when Hetson comes storming in and walks over to her.]



Hetson: Yes, yes, I am back. Can you believe it? Harley "forgot" her backpack.

Joey: Oh, yeah, um, I'll get it for you. It's right behind the bar.

Hetson: So your little plan worked. Harley annoyed me into reading a couple of Mr. Doling's stories.

[He hands her the stories]

Joey: Really?

Hetson: Yes. And while I found them to be overall perhaps maybe a little overwrought and derivative, they do show at their core a writer with potential.

Joey: Really? You think he has potential?

Hetson: Don't make me say it again.

Joey: Well, I mean, is there something-- there's gotta be something you can do to help him. I mean, maybe you can show his stories to a publisher.

Hetson: He's not ready for that.

Joey: Well, maybe you could pull some strings at Worthington.

Hetson: No.

Joey: Come on, there's gotta be something you can do, anything.

Hetson: All right. There is someone I know who teaches at the California writer's workshop.

Joey: Are you serious? Do you think you can get him in?

Hetson: I think Eddie could get Eddie in with my recommendation.

Joey: Well, isn't that place kind of, like, prestigious?

Hetson: Kinda, like, uh-huh.

Joey: Well, he doesn't even have an undergrad degree.

Hetson: Yeah, no, I know. I still think he's got a shot. Let me know what he says.

Joey: Oh, yeah, well, you know what, actually, professor Hetson, I think he'd rather hear it from you.

Hetson: Joey, the kid punched me. I'll try and get him into this program, but I kinda think that that's enough.

Joey: Yeah, but, see, professor Hetson, the thing is, he's kind of... given up, and I don't think he'd listen to me. I really... we're not on the best of terms.

Hetson: It's a fascinating saga. Tell you what. It's up to you. You want to try and convince him, tell him I'll write a recommendation, but either way, it's up to you. The ball's in your court, kid. Look, I'm off. I've got Harley chained to a radiator.

[Joey looks at him in shock.]

Hetson: Kidding, Joey. Get a sense of humor.



[Scene: The fancy party. Pacey is getting ready to leave, and is waiting for the valet to bring his car around when the mystery lady from earlier comes walking up from behind him]



Lady: So, I guess this is good night.

Pacey: You know, I'm never going to be able to call you if you don't tell me your name.

Lady: That was a big night for you in there, huh?

Pacey: Yeah, I guess it was.

Lady: Yeah. So, um, I saw you and rich going into Roger’s private office.

Pacey: I'm sorry?

Lady: Let me guess. You're moving up in the world, maybe he offered you a promotion? A big raise?

Pacey: Are you a reporter?

Lady: Look, I just think maybe you should ask yourself why this has all been so easy... or if it's just a little too good to be true. Good luck, Pacey.

[She gets into the car that the valet has brought around and leaves.]



[Scene: Joey and Audrey’s Dorm Room. Audrey comes in and throws her coat on the floor and sits on her bed. After a minute or so she gets up and goes over to her dresser and grabs a bottle of alcohol out of her drawer and chugs a significant part of the bottle. After chugging the alcohol she looks at the bottle and then goes into the bathroom and pours out the rest of it into the sink. She goes to put the empty bottle onto the counter but it falls to the floor and smashes. Audrey goes back to her bed and collapses onto it.]



[Scene: Outside Eddie’s Parents’ house. She stops at the walk outside the house and looks from the stories she is carrying to the front door.]



Joey: [Gasps]

[She goes up and knocks on the door]

Eddie: Hey.

Joey: Hey.

Eddie: What are you doing here?

Joey: I thought that you should have this. It doesn't belong in the garbage.

[She hands him the stories, and he comes outside and closes the door.]

Eddie: Thanks.

Joey: Sure. I gave it to Hetson, and, uh, he said he could maybe get you into the California writer's workshop.

Eddie: You, uh, gave this to Hetson?

Joey: Yeah, that's right.

Eddie: What's the point, Joey? I mean, they're not gonna let me in. Even if they did, I can't afford that place.

Joey: Maybe there's a scholarship, ok? Or financial aid. The point is to at least try. I mean, this is a shot, Eddie, a real shot. I suggest you take it. Ok, you know what, if you want to be a coward about our relationship and run out on me, that's fine, but don't be a coward about this. I mean, this is your life. Don't give up so easily. I guess I should go.

[She turns to leave, but stops and turns back]

Joey: You know what? Actually, I'm not gonna go because that's just what you want me to do. Look, a long time ago, you told me that you wanted to be one of those people that took chances, who really lived life, but I guess that was a line, huh? Because as far as I can see, you're just afraid of me, of yourself, of actually living your life.

Eddie: You're right.

Joey: So now what? What are you gonna do about it? Are you just gonna sit here and rot away in Worcester?

Eddie: No.

[He kisses her, but she pushes him away.]

Joey: Wrong answer.

Eddie: I'm just doing what you told me to do.

Joey: That's not what I meant. [Sighs] It's too late for that, Eddie. I... I gotta go.

Eddie: Wait, Joey, wait. [Sighs] I love you. Please, Joey, don't--don't go. I don't want it to be too late.

Joey: I love you, too. Bye.



[Scene: Joey’s dorm room. Joey comes into the dorm room, and sees Audrey passes out in bed, and she takes off her scarf. She sees Audrey’s coat on the floor, bends down to pick it up, and looks into the bathroom and sees the smashed bottle of alcohol on the floor and turns quickly and runs over and tries to shake Audrey awake.]



Joey: Audrey. Audrey. Audrey, wake up. Audrey! Audrey.

[Audrey doesn’t wake up and she quickly runs over and picks up the phone and dials 911.]



Source : www.multimania.com/rossnm & transcribed by Chris Uecke

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Syliam31  (05.04.2021 à 11:30)
Message édité : 01.05.2021 à 00:06

L'épisode commence très bien avec Audrey qui rentre à Boston et fait des excuses sincères et touchantes à toute la bande!!! Tout le monde la pardonne et on pense que tout va rentrer dans l'ordre. Mais même si elle a eu cet instant de lucidité sur une plage californienne elle n'est pas guérie pour autant et va retomber très rapidement dans ses travers en fichant en l'air le concert du groupe d'Emma. En rentrant, au dortoir Joey trouve Audrey victime d'un coma éthylique!

Harley quant à elle joue les entremetteuses entre Joey et Eddie. En effet, elle se rappelle du désarroi de Joey provoqué par la disparition soudaine d'Eddie quelques jours plus tôt et décide de l'aider à sa manière. Effectivement, elle ne s'y prend pas de la meilleure des manières en disant à Eddie que Joey est enceinte mais le résultat est là! Eddie rejoint Joey dans le bar et comme à leurs habitudes ils se disputent mais connaît au moins le fin mot de l'histoire. Je rejoins @labelette sur le fait qu'on retombe sur le meme schéma qu'en fin de saison 4 avec Pacey.

Pendant ce temps, Pacey est invité à une fête avec Rich est rencontre une femme qui l'intrigue beaucoup et lui dit de se méfier de cette promotion qui lui a été offerte un peu rapidement..... Pacey a l'air d'être un bon courtier mais effectivement tout arrive très voire trop vite et il devrait se garder de faire confiance à ce monde de requin dans lequel il n'a encore pas encore tous les codes pour se protéger.

Sinon, aucune intrigue concernant Dawson, Jen ou Jack.....

labelette  (03.12.2019 à 12:19)

Les excuses d'Audrey, c'était le moment le mieux de l'épisode... car après elle replonge et la fin est dure.

Joey / Eddie, à suivre... Harley joue les entremetteuses. Ce qui me dérange un peu dans ce couple, c'est qu'on a le même schéma qu'en fin de saison 4 avec Joey et Pacey : lui pense qu'il n'est pas assez bien pour elle et qu'elle mérite mieux ou qu'elle va trouver quelqu'in de "plus intelligent".

Pacey et son boulot, toujours aussi peu intéressant. Vivement qu'il se barre de cette boite !

jptruelove  (09.11.2019 à 16:45)

Harley est terrible, faire croire que Joey est enceinte pour faire revenir Eddie!

Joey et Eddie se disputent car c'est leur mode principal de communication, ils ne savent pas se parler calmement j'ai l'impression... C'est entre autres leurs divergences (dont celles d'opinion) qui les rapprochent.

Audrey est pitoyable... On y croit et on espère qu'elle se reprend en main au début de l'épisode mais finalement elle replonge et décoit ses amis...

kystis  (07.02.2018 à 01:43)
L'épisode commence plutôt bien avec les excuses d'Audrey, mais après Audrey fait peine à voir. Pourquoi il faut toujours que Joey soit méchante envers Eddy, faut qu'ils se disputent tout le temps... Pacey, ne soit pas naïf !!

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