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#617 : Working Joey


Joey deviendra l’assistante de Pacey, ce qui ne sera pas sans complications et ce qui fera surtout ressurgir sa jalousie…
Dawson, lui, semblera décidé à faire un film sur l’entrée dans un monde adulte mais son projet initial se transformera quand les producteurs veulent intégrer à son histoire des scènes de nues et une strip-teaseuse…
Quant à Jen et CJ, ils auront leurs premiers problèmes de couples qui seront d’ordre sexuel et Grams jouera alors la réconciliatrice.

Popularité


4 - 6 votes

Titre VO
Sex and Violence

Titre VF
Working Joey

Première diffusion
02.04.2003

Première diffusion en France
27.09.2003

Photos promo

Dawson arrive sur le tournage de Todd

Dawson arrive sur le tournage de Todd

Joey et Pacey sont un peu maladroits

Joey et Pacey sont un peu maladroits

Pacey et Joey ont été surpris par Rich

Pacey et Joey ont été surpris par Rich

Pacey attendra Joey qui termine son service

Pacey attendra Joey qui termine son service

Pacey ne part pas sans embrasser Joey

Pacey ne part pas sans embrasser Joey

Joey voit Eddy

Joey voit Eddy

Rich embauche Joey comme secrétaire

Rich embauche Joey comme secrétaire

Jen entame une relation avec C.J.

Jen entame une relation avec C.J.

Joey fait sensation auprès des collègues de Pacey

Joey fait sensation auprès des collègues de Pacey

Le premier jour de Joey en tant qu'assistante de Pacey

Le premier jour de Joey en tant qu'assistante de Pacey

Pacey joue avec le cadeau de Joey

Pacey joue avec le cadeau de Joey

Joey, la secrétaire de Pacey

Joey, la secrétaire de Pacey

Pacey voudrait un café

Pacey voudrait un café

Pacey raccompagne Joey

Pacey raccompagne Joey

Dawson voudrait réaliser son film

Dawson voudrait réaliser son film

Pacey explique le travail à Joey

Pacey explique le travail à Joey

La journaliste, mademoiselle Shaw, vient interviewer Pacey

La journaliste, mademoiselle Shaw, vient interviewer Pacey

Pacey est troublé

Pacey est troublé

Joey est jalouse

Joey est jalouse

Joey reverse du lait sur la journaliste

Joey reverse du lait sur la journaliste

La journaliste est trempée

La journaliste est trempée

Pacey excuse Joey

Pacey excuse Joey

Pacey embauche Joey comme secrétaire

Pacey embauche Joey comme secrétaire

Joey a envie d'embrasser pacey

Joey a envie d'embrasser pacey

Joey et Pacey s'embrassent

Joey et Pacey s'embrassent

Pacey et Joey reviennent du restaurant

Pacey et Joey reviennent du restaurant

Pacey et Joey d'embrassent au bureau

Pacey et Joey d'embrassent au bureau

Joey est jalouse de la journaliste

Joey est jalouse de la journaliste

Pacey à son boulot

Pacey à son boulot

Pacey dicte un mot à joey

Pacey dicte un mot à joey

Plus de détails

Scénario : Tom Kapinos et Anna Fricke

Réalisation : Frank Perl

acteurs secondaires :

Jensen Ackles : C.J. 
Dana Ashbrook : Rich Rinaldi 
Nicole Bilderback : Heather Tracy 
Paul Gleason : Larry Newman 
Oliver Hudson : Eddie Doling 
Jill Jackson : Marcy 
Hal Ozsan : Todd Carr 
Sarah Shahi : Sadia Shaw

L’épisode commence par Pacey et Joey qui après avoir mangé au restaurant sont de retour au campus. Pacey lui avoue qu’il a eu une promotion et qu’il a une secrétaire maintenant. Puis, ils se taquinent un peu et se souhaitent une bonne nuit.

Le lendemain matin, CJ est dans le lit de Jen qui lui apporte le petit déjeuner. Ils commencent à s’embrasser mais Jen le repousse. CJ lui dit alors qu’ils n’ont pas fait l’amour, une seule fois ce week-end. Et Jen lui avoue qu’elle a peur que sa grand-mère les surprenne en plein milieu de l’acte. Elle lui propose alors de discuter mais ça n’a pas l’air d’intéresser CJ.

Pendant ce temps, Joey rejoint Pacey à son travail et ils vont dans son bureau. Mais, ils sont interrompus par l’assistante de Pacey que Rich vient de renvoyer. A ce moment, Rich les rejoint et Joey n’a pas vraiment l’air de l’apprécier. Puis, elle lui annonce qu’elle est en vacances et Rich l’embauche pour être la nouvelle secrétaire de Pacey. Après le départ de Rich, Joey et Pacey se taquinent à propos du nouveau travail de cette dernière et ils commencent à flirter.

Dans le bureau d’Heather, Dawson essaye de vendre à cette dernière son idée de film :c’est l’histoire de jeunes qui entrent dans le monde adulte. Heather lui avoue qu’elle apprécie son idée mais que c’est un peu soft donc il faut ajouter quelques scènes de nues s’il veut convaincre les producteurs. Bien que réticent au début, Dawson finit par y réfléchir.

Au centre, Jen et CJ ont l’air plutôt en froid et quand le téléphone sonne, Jen se précipite pour répondre. Elle parle alors à son interlocuteur de sa relation avec CJ, de sexe. Et furieux, CJ s’en va.
Retour au travail de Pacey, ce dernier découvre que Joey ne laisse pas insensible ses collègues et lui et Joey vont se parler en tête-à-tête.

Ils parlent alors de boulot et Rich les rejoint, Joey les laisse alors entre hommes. Pacey demande à Rich de trouver vite une remplaçante car Joey va à la fac et elle a un autre travail. Puis Rich lui annonce qu’une journaliste veut les interviewer et il s’en va pendant que Joey rejoint à nouveau Pacey.

Pendant ce temps, dans un café, Jen rejoint CJ. Celui-ci a l’air en colère contre Jen à cause de ce qu’elle a fait au téléphone. Puis, ils discutent de sexe, du fait qu’ils ne couchent plus ensemble et CJ, par mégarde fait une gaffe. Mais, Jen le prend très mal et elle lui rétorque que ce n’est pas parce qu’elle était une traînée avant qu’elle doit en être une maintenant et elle s’en va.

Au studio de cinéma, Dawson essaye de vendre son idée de film au producteur : Larry Newman. C’est l’histoire d’un garçon et d’une fille qui ont 15 ans et qui sont les meilleurs amis du monde. (ça ne vous rappelle rien…) . Mais Larry est obsédé par l’idée qu’il doit y avoir du sexe’ dans le film. Dawson poursuit alors son récit en disant que leur amitié va être bouleversée par l’arrivée d’une streap-teaseuse et cette histoire vire au dilemme amoureux. Le producteur est alors emballé par l’idée.

A son travail, Pacey est au téléphone quand Joey le rejoint. Lui et Joey se taquinent un peu quand Sadia (la jeune femme mystérieuse qui avait mis Pacey en garde contre son travail) arrive. Pacey semble surpris de la voir ici et Rich lui explique que Sadia Shaw est la journaliste qui doit les interviewer. Pacey demande alors à Joey, d’aller chercher du café pendant que lui et Sadia vont commencer l’interview.

Au studio, Todd tourne un clip vidéo pour un groupe et Dawson le regarde travailler. Puis Dawson va le rejoindre et lui demande de lui parler.

Retour au travail de Pacey, lui et Rich sont en pleine interview quand Joey les interrompt pour dire à Pacey que Jack veut lui parler. Mais, Pacey lui répondre de prendre tous ses appels. Puis, il s’excuse auprès de Sadia car c’est le premier jour de travail de Joey. Au moment où ils allaient reprendre l’interview, Joey les interrompt de nouveau en apportant le café. Elle a l’air plutôt jalouse et elle, renverse exprès de la crème sur Sadia. Rich et Sadia les laissent alors seuls.

Retour dans les studios, Dawson dit à Todd qu’il a beaucoup appris en travaillant avec lui et ils discutent un peu. Puis, Todd dit à Dawson qu’il doit vraiment les films qu’il veut et qu’avec un peu d’argent et beaucoup de foi, il y arrivera.

Au bureau de Pacey, c’est la fin de la journée et Joey interroge Pacey sur sa relation avec Sadia. Puis, ils se disputent sur son travail de secrétaire et Pacey la taquine sur le fait qu’elle est jalouse. Leur dispute se transforme alors en passion torride et Pacey l’embrasse passionnément en la renversant sur le canapé. C’est à ce moment que Rich les surprend.

Pendant ce temps chez Grams, Jen, CJ et Grams sont en train de dîner mais personne ne parle. Grams essaye alors de détendre l’atmosphère mais ça empire, Jen et CJ commencent alors à se disputer et Grams est obligé de s’interposer et de jouer les conciliatrices. Jen finit donc par avouer à CJ que c’est la première fois que le sexe est aussi merveilleux pour elle et CJ s’excuse. Grams les laisse alors seuls, Jen et CJ alors s’excusent mutuellement de s’être comportés ainsi et ils se dépêchent de monter à l’étage pour rattraper leur week-end de frustration.

Au studio, Dawson va voir Mr Newman, ce dernier lui parle du film, des scènes de nues qu’ils devront rajouter. C’est alors que le visage de Dawson change d’expression. Dawson s’excuse alors auprès de Mr Newman et il lui avoue qu’il est venu le voir l’autre jour car il voulait faire un film personnel, intime, vrai qui raconte comment on grandit et non pas un film avec une streap-teaseuse. Puis, il ajoute qu’il ne peut pas faire ce film et Dawson s’en va, heureux.

Joey, elle, est au Hell’s Kitchen quand Pacey la rejoint. Il lui dit qu’il a aimé le fait qu’elle soit jalouse. Mais vu les circonstances, il est obligé de la virer car quand il est avec elle, il ne peut pas se concentrer. Puis, il ajoute qu’elle doit lui faire confiance et ils s’embrassent passionnément. Ils se taquinent encore un peu et Pacey s’en va, laissant Joey retourner à son travail.

L’épisode se termine par Joey retournant travailler quand elle entend une voix familière. Elle aperçoit alors Eddie…


Résumé écrit par Annabelle. Grand merci.

Université

Joey et Pacey marchent dans les couloirs de l'Université.

Joey : C'était une soirée géniale Pacey. Y avait même des serviettes individuelles dans les toilettes.
Pacey : Sans blague. Dans un petit panier et tout ce qui s'en suit
Joey : mmmh
Pacey : Eh ben, si ça c'est pas la marque d'un bon resto, je sais pas ce que c'est.
Joey : En tout cas, une chose est sûre, tu sais y faire avec les filles.

Ils arrivent devant la porte de la chambre de Joey.

Pacey : Faut bien dépenser son argent dans quelque chose. Oh, oh, j'ai dit n'importe quoi parce que t'es tout sauf quelque chose dans lequel on dépense son argent par des bien simmobiliers, ça faudrait que j'y pense d'ailleurs à acheter que...
Joey : Tu crois que je suis avec toi pour quoi ?
Pacey souriant : D'accord...
Joey : Comment ça va ton travail ?
Pacey : Oh, ça va très bien, merci.
Joey : Ouais.
Pacey : J'ai même eu une promotion.
Joey : Ah bon, et tu es quoi ?
Pacey : Euh, j'en sais rien. J'ai pas de titre mais j'ai un bureau et j'ai une secrétaire géniale. Eh oui.
Joey : Voyez-vous ça. D'ici peu, tu ne m'adresseras plus la parole, c'est logique.
Pacey : Oh, ça me fait plaisir que tu le prennes aussi bien.
Joey : Ne te moques pas d'une fille qui est dans la misère. Je suis complètement fauchée. Ils m'ont réduit mes heures de travail parce que pendant les vacances, les gens boivent ailleurs.
Pacey : Ce qui signifie que tu es également libre samedi prochain.
Joey : Je suis prête à tout pour manger gratuitement.
Pacey : Une jolie fille à le droit à un bon repas et un délicieux dessert.
Joey : Je m'aperçois que je compte vraiment pour toi.

Ils veulent s'embrasser mais ne sont pas en phase.

Pacey : Il se fait tard, Ouais, c'est mon tour, je suis désolé (il lui fait un bisou sur le front)
Joey : D'accord
Pacey : Je te laisse te consumer. Ma secrétaire te contactera pour le dîner
Joey : Merci Pacey, j'ai passé une super soirée
Pacey : Moi aussi (il lui prend les mains et dépose un baiser) Bonne nuit.
Joey : Bonne nuit

Pacey s'en va et Joey entre dans sa chambre avec un petit sourire sur les lèvres.

Générique

Boston

Jen arrive vers le lit avec deux tasses. Elle en pose une sur la table de nuit et en garde une dans ses mains alors que CJ commence à se réveiller.

Jen : Bonjour, mon coeur
CJ : Où est ta grand-mère ?
Jen : Elle...elle est dans la cuisine, elle prépare le porric
CJ : Ah ouais, alors on peut ?
Jen : On peut quoi ?

Il se met sur le dos et lui attrape sa chemise de nuit pour l'attirer à lui.

Jen : Oh, je vois. Tu parles de ça ? (elle s'asseye à côté de lui et lui fais face)
CJ : Oui, de ça
Jen : Oui...Non...
CJ : Non ?
Jen : Non, non, je suis pas d'humeur
CJ : Depuis quand il faut être d'humeur ?

Il se lève et va pour l'embrasser mais elle tourne la tête.

CJ : Qu'est-ce qu'il y a ?
Jen : Heureusement qu'on a inventé le dentifrice
CJ : Oh. Très bien. Ne m'embrasse pas, ça m'est égal (il se recouche et croise les bras sur sa poitrine)
Jen : T'es pas beau quand tu boudes

Il se penche et prend une boîte sur la table de nuit

CJ : Cette boîte, quand je l'ai achetée, elle en contenait combien ?
Jen : 12
CJ : Et combien il en reste ?
Jen : 12
CJ en reposant la boîte : On n'a rien fait depuis une semaine
Jen : C'est faux, qu'est-ce que tu racontes
CJ : Non, non. Ta grand-mère jouait au Bingo, ça fait une semaine aujourd'hui
Jen : Non, mais tu me prends pour qui ? Je suis pas un garçon, je n'ai pas les mêmes envies que toi, en tout cas pas à la même cadence. E puis, sans compter que je vis dans l'angoisse que grand-mère débarque et nous trouve en pleine action, ce serait vraiment gênant. Voilà, maintenant, tu sais pourquoi je ne te sautes pas dessus dès que j'en ai l'occasion.
CJ : Waouh. Alors c'est vrai ce qu'on dit...
Jen : Quoi ?
CJ : Bonjour l'habitude, Adieu le sexe
Jen : Qu'est-ce que t'es lourd quand tu t'y mets

CJ rit

Jen : Il existe une autre forme d'intimité
CJ : Je suis partant. Allons-y
Jen souriante : On est tous les deux partants alors
CJ : Ouais, allé, viens

Il soulève le drap et elle se cale contre son torse. Il la regarde sans comprendre et met pour finir son bras autour d'elle.

CJ : C'est ça l'autre forme d'intimité ? (elle ouvre les yeux)
Jen : Oui...Pourquoi, qu'est-ce que tu imaginais ?
CJ : Rien...

Travail de Pacey

Joey arrive dans les bureaux et regarde autour d'elle.

Homme à son collègue de derrière : Eh, tu sais qui c'est ?

Pacey arrive à ce moment : Joey.
Joey : Oh !

Elle le prend dans ses bras.

Pacey : En voilà une surprise.
Joey : Ouais. Je t'ai apporté un cadeau pour ton bureau. Ca te pose pas de problème d'avoir de la visite ?

Un homme est en train de la regarder.

Pacey : Non, non, non. Tant que tu ne perturbes pas mes copains. Mon bureau est par ici (il lui montre le chemin de la main)
Joey : Impressionnant. Vous passez vos journées au téléphone quoi, en fait c'est ça ?
Pacey : En fait, c'est un peu plus compliqué que ça. Tu permets (il s'adresse à un de ses collègues et prend un document dans les mains) Merci Tom.
Joey : Tu vas être encore plus occupé qu'avant, c'est pour ça que tu as une secrétaire ?
Pacey : J'en sais rien mais entre nous (il parle tout bas) elle commence à me taper sur les nerfs (ils arrivent vers elle) Marcy ? Je vous présente une de mes amies, Joey.
Marcy : Ravie de vous rencontrer. (Son regard revient sur Pacey) Du nouveau pour vous Monsieur Witter. La réunion est repoussée à 15h00. Monsieur Rinaldi est dans votre bureau et j'aimerais pouvoir vous dire un mot.
Pacey : Un seul ?
Marcy : Je ne suis pas d'humeur à plaisanter Monsieur Witter.
Pacey : Bon, très bien. Excusez-moi Madame. Allez-y, je vous écoute.
Marcy : J'estime que vous devez en être informé. Monsieur Rinaldi vient de me renvoyer. Je m'arrête en fin de journée.

Joey est un peu confuse suite à cet échange tandis que Pacey soupire. Il arrive dans son bureau et retrouve Rich.

Rich se retournant : C'est pas encore tout à fait ça. Oh, qui est cette créature ?
Joey : Oui, je sais, c'est incroyable mais je suis bien là devant vous.
Rich : Tout aussi incroyable, je viens de vous faire un compliment.

Joey regarde ailleurs.

Pacey : Rich, voici Joey. Joey, tu te souviens de Rich. Euh, je peux savoir pourquoi tu as renvoyé ma secrétaire ?
Rich : Elle m'a interdit l'accès à ton bureau, tu te rends compte ?
Pacey : Ca mérite une augmentation.
Rich : Oh, c'est ça. J'aimerais pas son comportement. Et elle a une tête qui me revient pas.
Joey : Vous renvoyez quelqu'un parce que sa tête ne vous revient pas, c'est ça ?
Rich s'adressant à Pacey : Elle est aux ressources humaines ?
Pacey : Non, non, non, non. C'est ma...c'est une amie.
Rich : Oh. Dites-moi, vous n'avez pas école aujourd'hui ?
Joey : Vacances de printemps.
Rich : Ah et que faites-vous de vos journées Jenny ?
Joey : Joey. Euh, rien pour l'instant.
Rich : J'ai une idée. Vous passerez les 2 prochaines semaines ici. Vous ferez du secrétariat (il prend un document sur le bureau et fait une petite tape à Pacey sur l'épaule) Tu règles ça Witter.

Il s'en va les laissant seul.

Pacey : Ouais.
Joey : Il voulait plaisanter ?
Pacey : Rich ? Non. Il sait pas ce que c'est le sens de l'humour.
Joey : Mais combien c'est payé ?
Pacey : Euh, j'en sais rien. 600 dollars la semaine environ.
Joey hallucinée : Tu es sûr de ce que tu dis ?
Pacey : Tu serais prête à accepter ?
Joey : Pacey, tu peux pas imaginer. Pour moi, c'est parfait. Ca tombe à pic. J'ai plus un sou et on se verra davantage toi et moi.
Pacey : Oui mais se voir si c'est près de la machine à café, quel intérêt ?
Joey : Oh, tu te moques de moi (elle touche sa cravate) Nous savons tous les deux que le patron ne traîne jamais près de la machine à café. C'est le rôle de son assistante.
Pacey : Et tu penses que ça ne te posera pas de problème la relation patron secrétaire ?
Joey : On sait très bien qui est le patron.
Pacey : De toute façon, qu'est-ce que je prend comme risque franchement ?
Joey : A part que je reprenne carrément la compagnie, aucun. On va bien rire, ce sera super.

Elle s'en va et Pacey la regarde en souriant.


Dawson : Ca parle de plein de choses mais il est surtout sujet de...(il est assis dans un fauteuil alors que quelqu'un regarde dehors) de se que l'on ressent lorsqu'on à 15ans. Cette époque de la vie où tout est nouveau, où les gros chagrins d'amour hantent nos journées. Il faut que ce soit décrit dans les détails...et en beauté. Alors...
Heather revenant en face de lui vers son bureau : Alors quoi ?
Dawson : Je veux le réaliser.
Heather riant : Doucement junior. Il ne faut jamais aller trop vite. Il faut apprendre à marcher avant de courir.
Dawson : D'accord. Qu'est-ce que vous en dites ?
Heather : C'est intéressant. Ca me plaît et ça semble te passionner, c'est un avantage. L'ennui...
Dawson : Quoi ?
Heather : C'est que c'est trop tendre. Et au cas où tu ne l'avais pas remarqué, on ne fait pas vraiment dans la tendresse ici, on fait de l'exploitation. Larry a tout appris d'un certain Roger Corman. On pourrait lui proposer Citizen Kane n'y apport minimum 3 scènes de nudité, il te regarde comme si t'étais débile.
Dawson : Oui, d'accord mais moi, je sais pas encore comment tourner le film.
Heather : Bon, un conseil. Mets-y un peu de sexe, ça l'accrochera.
Dawson : Mais ce que je trouvais, justement, très intéressant dans ce sujet, c'était de pouvoir aborder l'amour mais sans sexe.
Heather : Je vais te confier un petit secret, Larry Newman est l'homme le plus obsédé que je connaise. Ce type est un pervers. Il en est à son 3ème mariage. Elle a 23ans et elle a pas mal d'heures de vol si tu vois ce que je veux dire. Mais c'est pas pour autant qu'il me lâche les baskets.
Dawson : Je vous plains. Ca doit être affrex de travailler dans une ambiance comme celle-là.
Heather : Je t'en prie. Toi-même tu regardes mes seins depuis 20 minutes.
Dawson : Ah euh...
Heather : C'est pas que ça me dérange. Ils sont tellement jolis. Pourquoi s'en priver. (Dawson les regarde) Pourquoi je parle de ça ?
Dawson : J'en sais rien.
Heather s'asseyant en face de lui : Ce que je veux t'expliquer, c'est que si tu veux travailler avec nous, faut trouver le moyen de raconter ton histoire en ne perdant pas de vue le plus petit dénominateur commun. Enonce le sujet à Larry comme tu me l'as énoncé en ajoutant du strip-tease, un truc à trois ou une histoire avec un élève et un prof, pourquoi pas.
Dawson réfléchissant : C'est ce que je ferais.

Association

CJ et Jen sont assis l'un en face de l'autre et lisent chacun de leur côté quand le téléphone sonne. Ils prennent chacun leur combiné mais c'est Jen la plus rapide.

Jen : Bonjour, Jen, je vous écoute. (elle regarde CJ en même temps) Etes-vous sûr que ce soit un problème ? Parce que...moi qui suis une fille dont le petit-copain propose de faire l'amour à peu près toutes les heures, j'avoue qu'un petit break me ferait du bien. (CJ la regarde outré) Bien sûr, j'apprécie son enthousiasme, ce que je dis, c'est qu'à la longue, c'est épuisant. Tu veux cette position ? Oh non, je préférerais l'autre. Mets tes jambes par là (elle sourit tandis qu'il se lève et s'en va). C'est vrai, je peux plus mettre une jupe sans qu'il prenne ça pour une invitation à faire crac-crac boum-boum.

Travail de Pacey

Homme : Witter, c'est bien joué. C'est très très bien joué.
Pacey : Euh, de quoi tu parles ?
Homme : De la nouvelle (il s'en va)
Pacey : Oh Joey (il entre dans le bureau) Joey ?

Il la voit entourée de tous ses collègues.

Joey reposant sa tasse : Mmh, bonjour Pacey.
Pacey : Bonjour. Pardon (il arrive vers elle) Est-ce que ces types t'embêtent ?
Joey : Non, peut-être qu'ils essayent mais j'en sais rien, je...vous m'embêtez Messieurs ?
Homme : On lui montre comment ça marche ici.
Pacey moqueur : Ah, c'est gentil.
Homme à Joey : T'es sûre que t'es bien assise ? C'est un peu haut non ? (il appuie sur le levier pour la faire descendre).
Joey : Ouh, Ah, ouh, ah, voilà, ça ira. Merci.
Pacey : Je vois que vous êtes aux petits soins avec elle, je vous remercie mais il s'agit de ma secrétaire, allé, retournez...

Joey se râcle la gorge en regardant d'un air mauvais Pacey.

Pacey : Oui, c'est pas important tout ça. Et ce qu'il faut que vous sachiez c'est que elle ne restera pas longtemps. Vous n'avez pas intérêt à vous attacher. Au revoir.

Les hommes s'en vont en lui disant tous au revoir.

Joey : Les hommes de Néandertal.
Pacey : Désolé pour ça...

Il s'en va dans son bureau. Il est assis à sa place et regarde un objet relaxant avec des billes alors que Joey arrive près de lui.

Pacey : Qu'est-ce que c'est ?
Joey : Oh. Eh bien, c'est...c'est le cadeau pour ton bureau. Tu as oublié de l'ouvrir hier. Maintenant que tu est un vrai professionnel et que tu as un bureau à toi tout seul, tu as le droit d'avoir des petits gadgets inutiles.
Pacey : Merci mademoiselle Potter. Vous êtes très aimable.
Joey : Mais oui. Je suis la meilleure assistante de tous les temps.
Pacey : Bien sûr. Pourtant...j'ai remarqué que ce matin, vous avez oublié de préparer le café et j'aime commencer ma journée avec une tasse...de café...
Joey : Mais, tu étais cuisinier autrefois, tu...tu dois faire du bon café...
Pacey : Euh, bien sûr, oui (Rich arrive dans son bureau) Pourriez-vous rapporter ceci à Tom s'il vous plaît.
Joey prenant le document : Tout de suite.
Rich : Tu es sûr qu'il faut trouver une remplaçante ?
Pacey : Ben, elle a un autre job, elle fait des études et plus important encore, cette fille n'est pas libre.
Rich : Ouais d'accord, j'ai compris.
Pacey : Cette histoire commence à prendre une tournure qui me déplaît. Quand je suis arrivé ce matin, ils étaient tous autour d'elle.
Rich : C'est ce qui se produit toujours avec n'importe quelle femelle Witter.
Pacey : Joey est mon amie. C'est pas évident d'avoir à lui dire ce qu'elle doit faire.
Rich (Joey arrivant dans le bureau) : Faut te ressaisir mon vieux. Un journaliste vient pour nous interviewer tout à l'heure. Et, je voudrais pas que tu sois de mauvaise humeur uniquement (Joey dépose des documents sur le bureau en souriant et s'en va) parce que tu n'as pas eu ton café long, sucré, moca en grain ou je ne sais quoi.
Pacey : Un journaliste ? Pour qui ?
Rich : J'en sais rien. Une fille de la rubrique financière. Je crois qu'elle souhaiterais discuter de notre entreprise pleine d'avenir. (Joey est à sa place et écoute la conversation) Elle veut savoir comment on se débrouille.
Pacey : Génial.
Rich : Ouais, super. Et prépare-toi parce que, visiblement, c'est toi qui l'intéresse particulièrement. (Joey regarde à nouveau Pacey) L'assension professionnelle fulgurante, c'est passionnant.
Pacey : C'est vrai ? Elle veut me voir hein ?
Rich : Oui, calme toi. Qui lit la rubrique financière dans un journal ?

Pacey sourit alors que Rich s'en va. Joey vient alors vers lui.

Joey souriante : Tu vas être interviewé ?
Pacey : T'écoute aux portes maintenant ?
Joey : Oui, je le reconnais. Je suis ton assistante, c'est mon job, j'écoute tout.

Il la regarde en souriant et commence à jouer avec ses billes. Joey reprend alors sa place.

Jen rejoint CJ qui s'achète un café à l'extérieur de l'association.

Jen : Coucou
CJ : Ca va ?
Jen : Ouais, tu m'en as pris un ?
CJ : Non, je savais pas que t'en voulais (il se retourne et commence à marcher. Jen le suit).
Jen : TU parles d'un petit-ami.
CJ : C'est vrai, je suis pas sympa.
Jen : Depuis quelques temps, tu n'hésite plus à me montrer tes petits défauts. Je te découvre grincheux et boudeur. Qu'est-ce qu'il se passe ?
CJ se retournant pour lui faire face : Rien du tout.
Jen : Rien du tout. T'en es sûr ?
CJ : On n'est pas là pour résoudre les problèmes des autres en se servant des nôtres.
Jen : Oh, premièrement, je me doutais pas que jusqu'à présent, toi et moi, nous avions des problèmes et deuxièmement...pourquoi pas ?
CJ : Laisse tomber (il se retourne et recommence à marcher)
Jen : Quoi, tu parles de sexe ?
CJ (lui faisant face à nouveau) : Oui, je parle de sexe.
Jen : D'accord. Mais quand une fille ose nous appeler et nous dire que son petit-copain insiste lourdement pour avoir des rapports avec elle même quand elle n'en a pas envie, je veux qu'elle sache qu'elle aurait tort de se laisser faire.
CJ : Ecoute, si ce que tu dis sur ton passé est vrai, alors j'aimerais que tu m'explique, s'il te plaît, pourquoi des types qui t'on maltraité, ont obtenu de toi tout ce qu'ils voulaient sexuellement. Et pourquoi moi, qui suis honnête et sincère avec toi, je passe pour un idiot parce que j'ai envie de toi.
Jen : Bravo, bien joué CJ. C'est une façon très élégante de me traiter de fille facile.

Elle se retourne et commence à marcher mais CJ la suit.

CJ : Mais attends, de quoi tu parles ?
Jen : En fait, si j'ai été une Marie couche-toi là avec les autres, tu estimes que je devrais en faire autant avec toi ?
CJ : C'est pas ce que je voulais dire...

Il s'arrête alors qu'elle continue de marcher puis se retourne et marche en sens inverse pour s'éloigner d'elle.

Heather et Dawson marchent dans les couloirs.

Heather : Allé, dis-moi que tu vas leur en mettre plein la vue.
Dawson : Je peux vous garantir que je tomberais pas dans les pommes mais pour le reste...
Heather : Fabuleux !

Ils arrivent dans le bureau et Heather ferme la porte. Trois autres personnes sont présentes.

Un homme qui regardait par la fenêtre se retourne : Dawson Leery. Comment va mon jeune réalisateur préféré ? (il lui serre la main et lui met une petite tape sur l'épaule) Je suis content de vous revoir, je suis très content.
Dawson : Moi aussi Monsieur Newman.
Monsieur Newman : Monsieur Newman était mon père et cette crapule nous a quitté il y a longtemps. Appelez-moi Larry. Prenez place. (il joint le geste à la parole).
Dawson : Merci...Larry. (Dawson et Heather prennent place alors que Larry s'asseye en face d'eux).
Larry : Ah, voyons (un homme gonle une petite bouée) Ouh, Peter ?
Peter : Oui Larry.
Larry : J'ai mal aux fesses. Dites-moi pourquoi j'ai mal aux fesses ?
Peter : Euh, désolé Larry. J'avais oublié.
Larry : De l'action Peter, de l'action, pas d'excuses. (il prend la petite bouée et la met sous ses fesses) Ah, c'est ma prostate. Elle m'en fait voir, c'est horrible. C'est ça la vieillesse. Une succession d'affroncles nous inflige le temps. Vous connaîtrez ça. Alors, de quoi est-il question ?
Heather : Dawson.
Dawson : Ah et ben...
Larry : Oh, ouh, dire que j'ai failli oublier une chose pareille. Vous êtes mon héro Dawson Leery.
Dawson : Merci...Larry. Ca me touche. C'est gentil. Le tournage n'a pas été simple mais je suis content du travail que nous avons fait et c'est à la fin que j'ai senti que j'étais réalisateur.
Larry : Bien sûr. Vous avez fait du bon travail mais je voulais parler de Natasha.
Dawson : Excellente. Elle a été excellente. C'est une magnifique prestation. J'en suis très content.
Larry : Sa prestation est médiocre, je ne m'étanderais pas là-dessus. Je voulais parler du fait que vous ayez réussit à lui faire ôter sa culotte. (Dawson regarde Heather, surpris) Heather me raconte tout. C'est tout ce que j'aime chez un réalisateur. N'importe quel imbécile peut poser sa caméra et crier "action" blablablabla. Mais quand un jeune remplaçant trouve le moyen d'emballer l'héroïne, le premier rôle, ça, voyez-vous, c'est un type avec lequel je veux travailler. Vous êtes le type en question (il rit) Ouh, Ah, alors, Dawson, racontez-moi votre histoire.
Dawson : Bien, une porte s'ouvre, c'est une chambre. Il y a plein d'affiches de films sur les murs...
Larry : Attendez. Il ne s'agit pas d'un film qui parle de cinéma, ça va, rassurez-moi tout de suite (Heather le regarde mal à l'aise).
Dawson : Non, pas du tout, pas vraiment.
Larry : Alors, c'est oui ou c'est non ?
Dawson : Eh bien...
Larry : Oh, c'est pas grave, continuez.
Dawson regardant Heather qui lui fait signe de continuer : Alors, sur le lit, il y a un garçon et une fille. Ils ont à peine 15ans. Amis depuis toujours et ils sont extrêmement proches...
Larry : Et est-ce qu'ils...(il fait le geste)
Dawson : Non !
Larry : Ah
Dawson regardant Heather : Pas encore...
Larry : Eh, je vois. On laisse le spectateur mariner un peu, excellente idée. Je suis d'accord.
Dawson : Alors, ils sont dans la chambre et ils discutent tranquillement cinéma.
Larry : Attendez, je voudrais vous poser une question. S'agit-il d'un film d'horreur ?
Dawson : Non, pas du tout. C'est un film sur l'adolescence.
Heather : En fait Larry, ça traite de l'adolescence et du sexe, c'est une comédie avec du coeur. Un mélange d'American Pie et de Stand by Me.
Larry : Ben alors, il y a du sexe ?
Dawson : Bien sûr, oui.
Larry : Bien, c'est important. La tendance est ce qu'elle est. On ne sait pas ce qu'elle sera dans trois jours. Mais il y aura toujours de la place pour un film où l'ont voit de jolies adolescentes toutes nues. Allons-y, allons-y, activons, mes fesses sont en feu.
Dawson : Oui. Voici la partie du film qui vous intéressera par-dessus tout. Le personnage principal se considère comme quelqu'un de bien. Il essaye toujours d'être correct, honnête et ça lui joue quelques tours avec les filles. Alors, il est passionnant de le voir évoluer autour de tout ça. Il rencontre des dilemnes. (Larry se tortille sur sa chaise) Quand il fait la connaissance de cette lycéenne charmante qui avoue adorer le...Strip-Tease (Larry relève aussitôt la tête)
Larry : Strip-Tease. Etudiante le jour, strip-teaseuse le soir ? J'ai dû voir ça au moins 100 fois déjà mais je ne pourrais pas m'empêcher de voir ce genre de film même si ça passe à 3h00 du matin. Vous allez auditionner et trouver votre starlette. Parmis ces merveilleuses créatures qui rêvent de montrer la belle paire de seins qu'ont vient de leur refaire. C'est une histoire en or, ça ne peut que marcher, c'est garantis. C'est bon. C'est vraiment bon. Je suis conquis. Vous pouvez compter sur nous. (Heather sourit à Dawson)
Peter : C'est le plus beau projet dont j'ai entendu parler depuis...très longtemps...
Dawson euphorique : J'aimerais bien vous en raconter davantage. Tout ça n'est qu'une infime partie...
Larry : Je vais vous donner un conseil. Lorsqu'une personne vous dit qu'elle est prête à signer, vous la fermez. Un sourire, un regard plein de gratitude. Rien d'autre car un mot de plus ne peut que vous porter préjudice. Vous avez compris ?
Dawson regardant les gens autour de lui : Absolument.
Larry : Bien. Parfait. Nous discuterons du reste après déjeuné. En attendant, parlez-moi un peu de Natasha...

Il rit et Dawson le regarde, il sourit également, heureux.

Travail de Pacey

Pacey marche dans son bureau et il est au téléphone.

Pacey : Je vous comprends Walter mais je ne veux pas aller aussi loin. (Joey se retourne pour le regarder) Je regrette, je n'ai pas les chiffres. Mais quand ? Attendez, j'interroge ma secrétaire. (Il enlève son oreillette et Joey arrive à ce moment et lui remets les documents). Joey ?
Joey : Ah, vous vouliez ceci Monsieur Witter ?
Pacey : Oui, exactement. Quand est-ce arrivé ?
Joey : Euh, c'est-à-dire que je ne voulais pas t'inonder d'informations.
Pacey : Merci. (il remet son oreillette alors que Joey reste dans son bureau) Bien, j'ai tout sous les yeux, je vous écoute. (il s'asseye à son bureau) Walter ?
Joey : Oh, j'ai appuyé sur un bouton. Je croyais l'avoir mis en attente.
Pacey : C'est pas grave, c'est rien. On n'a qu'à rappeler, c'est tout.
Joey : Ouais.
Pacey : Ouais. Joey, tu es une fille tellement intelligente que je ne pensais pas que tu aurais tant de mal.
Joey : Je me suis toujours vantée de ne pas avoir pris de cours de secrétariat.
Pacey : J'aurais aimé que tu me parles de ça avant...
Joey : Imagine, j'aurais peut-être été très douée et j'aurais certainement pas pu faire les études que je voulais (Pacey lui tend un dossier qu'elle reprend)
Pacey : Excusez-moi, j'ai du mal à le croire Mademoiselle Potter.

Il regarde derrière elle et ouvre de grands yeux. Il se lève à l'approche de la femme.

Pacey : Bonjour.
Femme souriante : Bonjour.
Pacey regarde Joey et voit son air, il reprend alors son sérieux : Que faites-vous ici ?
Femme : votre secrétaire n'était pas à son bureau, je me suis permise d'entrer.
Pacey : Non, non, non, c'est rien. Voici ma secrétaire.
Femme : Oh, puis-je vous laisser mon manteau s'il vous plaît ?
Joey déconcertée : Avez-vous rendez-vous mademoiselle ?
Femme regardant Pacey : Bien sûr que nous avons rendez-vous.

Rich arrive à ce moment dans le bureau de Pacey : Ah Pacey, Sadia Shaw, la journaliste dont je t'ai parlé.
Pacey souriant : Bonjour (il lui tend la main, elle la serre)
Sadia : Ravie de vous revoir. Dit dont, je vois que l'on peut confirmer la rumeur. Vous avez fait du chemin depuis l'autre fois.
Joey n'en pouvant plus : Vous vous connaissez ?
Sadia : Oh, pas très bien mais nous allons réparer cela grâce à l'interview.
Pacey : Bien entendu.

Tout le monde rit sauf Joey.

Pacey : Euh, qu'est-ce qu'il vous ferait plaisir ? Joey, pourriez-vous nous apporter du café.
Joey : Tout de suite Monsieur Witter. C'est un bon café que je m'empresse d'aller préparer.
Sadia souriante et la regardant : Merci.
Pacey : C'est ça, merci. Asseyez-vous je vous en prie.

Joey le regarde d'un air mauvais avant de sortie du bureau.

Un groupe chante alors que Todd est en train de filmer, un casque sur les oreilles. Dawson arrive à ce moment et les regarde.

Todd : Eh coupez ! Mes amis, Satan en personne pourrait être fier. (Dawson sourit) On fait une pause. (Il s'avance vers les chanteuse) Je ne m'attendais pas à ce que vous vous donniez autant.
Femme : C'est vrai ?
Todd : On ira loin tous les deux

Dawson arrive près d'eux mais Todd ne l'a toujours pas remarqué. Il tourne la tête et sourit en le voyant.

Todde : Leery, qu'est-ce qui t'amène ?
Dawson : Petit dilemne moral. Tu as une minute ?
Todd : Ca suffit Leery, t'es comme un ange, un ange qui vient se pencher sur mon épaule chaque fois que je m'apprête à tomber une jolie gonzesse pour la soirée. Le dilemne moral, c'est toi.
Femme : Je te demande pardon, je fais partie du groupe Todd.
Todd : Toutes mes excuses, pardonne-moi. (il lui prend la main pour déposer un baiser) (A l'attention de Dawson) 5 minutes plus tard et c'était bon.
Femme : 5 minutes, tu me prends pour qui ! Todd !

Elle s'en va alors que Todd rigole.

Travail de Pacey

Sadia assise dans un fauteuil : D'après vous Rich, est-ce que c'est l'arrivée de Pacey qui...vous a propulsé au poste que vous occupez actuellement ?
Rich : Oh, soyons raisonnable. Nous savons que les marchés sont imprévisibles. Ca été une coincidence. A ce moment là, nous lancions une nouvelle action qui a eu du succès.
Sadia : Ouais, vous voulez parler de Stepatech ?
Pacey : Oui et d'ailleurs, je crois avoir été le premier à croire en Stepatech.
Rich : Oui, oui, Pacey a été le premier, c'est vrai.

C'est à ce moment que Joey appuie sur un bouton pour parler sur le haut parleur de Pacey.

Joey : Excuse-moi Pacey, Jack sur la une.
Pacey : Je suis en réunion, je ne prends pas de communication.
Joey : Même d'un copain ?
Pacey : Oui, même d'un copain.
Sadia replongeant dans son écriture et en disant tout bas : Ouh, je vois.
Joey : Bon, d'accord. Je le saurais. A plus tard.
Pacey : Je vous demande de l'excuser, c'est son premier jour.
Sadia : Non, non mais je comprends. Ca fait pas trop d'un coup pour vous Pacey d'avoir une secrétaire ? Y a pas si longtemps, vous étiez cuisinier.
Pacey : Euh, oui, c'est vrai, je me suis intéressé quelques temps à l'industrie de la restauration (le téléphone émet un bruit strident) mais j'ai démissionné. (Il appuie alors sur un bouton) Le bouton reste enfoncé parfois, je vous prie de m'excuser. Où en étions-nous ?
Rich : Alors là, je serais incapable de vous le dire.
Joey arrivant : Voici les cafés.
Pacey : Merci, posez tout ça sur le bureau.
Joey pose le plateau sur la table basse en face d'eux : Pacey prend beaucoup de sucre dans son café. Autrement, il ne le boit pas et il met du sucre dans les salades de fruits, vous imaginez. (elle s'adresse à Sadia).

Joey tend la tasse à Pacey.

Pacey : Euh, merci Mademoiselle Potter, ce sera tout.
Joey s'adressant à Sadia : Du sucre dans le vôtre ?
Sadia continuant à écrire : Non, juste une goutte de lait écrémé si vous en avez, ce sera parfait. (Joey lui tend la tasse et prend le pot de lait)
Joey : Mais bien sûr.

Elle verse le lait sur son pantalon en faisant mine de ne pas avoir fait exprès.

Joey : Oh mon dieu
Pacey reposant sa tasse : Oh !
Sadia : Oh ! Non.
Joey : Oh, votre pantalon. Je suis vraiment désolée. (Rich rit à se spectacle). Laissez-moi faire (Elle veut nettoyer son pantalon).
Sadia : Non, non, j'ai compris. J'ai compris. (elle prend une serviette et commence à nettoyer son pantalon).
Rich : Witter, il vaut mieux poursuivre cette interview dans mon bureau. Hein ? Nous y serons plus à l'aise. Il est plus grand.

Pacey regarde Joey d'un oeil mauvais alors qu'elle reprend son plateau. Rich s'en va et Sadia le suit. Pacey reste assis sur le canapé.

Joey : C'était un accident.
Pacey : Vraiment, un accident. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai beaucoup de mal à le croire.
Joey : Tu ferais mieux d'y aller. Tu vas râter l'occasion d'être célèbre.

Elle s'en va alors que Pacey se retient de dire autre chose.

Tournage du film de Todd

Todd : Moi, je ne vois aucune raison de se rendre malade. Un job c'est un job. Le travail appelle le travail. T'as compris ?
Dawson : Oui mais...j'ai toujours eu beaucoup de mal à travailler sur un truc auquel je ne croyais pas. J'ai appris énormément en travaillant avec toi. Seulement, j'y ai aussi perdu mon âme en chemin.
Todd : Tu veux que je te dise, tu me fais penser à une vieille tragédienne. Le but, c'est de continuer à travailler...pour avoir un jour les moyens de réaliser ton rêve.
Dawson : Oui mais si le temps d'y arriver, je ne sais plus qui je suis vraiment ?
Todd : Toi au moins tu as un but dans la vie. Moi, je vis au jour le jour. Je vais là où il y a du travail.
Dawson : Peut-être que je ne suis pas fait pour tout ça...
Todd : Ah, je vois. Tu attends mes encouragements. Tu as encore besoin d'être flatté.
Dawson : Non.
Todd : T'auras rien. Même si tu as beaucoup de talent crapule. Même si tu as des années lumières d'avance sur moi quand j'avais ton âge.
Dawson : Ca va, ça va. (Todd lui tend un billet) Qu'est-ce que c'est ?
Todd : Va faire ton film.
Dawson prenant l'argent : Avec 10 dollars ?
Todd : C'est déjà ça. Si tu ne veux pas le faire comme ils l'entendent avec leur fric, n'encaisse pas le chèque. Fais-le tout seul. Parfois, avec très peu de blé et une tonne de passion, on peut permettre à un film ou à n'importe quel projet d'exister. Je l'ai fait.
Dawson : Et alors ?
Todd : Ah, c'était nul. Mais, ça m'a amené là. Je fais le travail de Satant sous le soleil de Los Angeles. Ecoute, je sais que quoi que tu fasses, tu le feras avec ton coeur, avec plaisir et ce sera toi. C'est tout ce qui compte, ne l'oublie jamais. Allé, maintenant dégage et ne reviens plus m'embêter avec ça.

Dawson sourit.

Travail de Pacey

Joey arrive dans le bureau de Joey et lui remet un document. Elle le pose sur le bureau mais il ne dit rien et ne la regarde pas. Elle s'en va mais se retourne avant de sortir et il lève les yeux.

Pacey : Qu'est-ce qui t'a prit tout à l'heure ?
Joey : Qui est cette femme ?
Pacey : La journaliste ? Je l'ai rencontrée qu'une fois. A une soirée il y a quelques mois. Je connaissais même pas son nom.
Joey : Ca, ça m'étonne pas du tout.
Pacey : Je te jure, nous n'avons pas été présentés. Mais, est-ce que c'était trop te demander d'être professionnelle aujourd'hui ?
Joey : Non, tu plaisantes Pacey. Vous êtes tous des porcs ici. Alors oui, j'imagine que selon vos critères, je ne suis pas professionnelle et c'est normal.
Pacey : Mais quelque soit les critères, une secrétaire doit savoir verser du café sans en mettre partout. Mais toi, t'en es incapable.
Joey : C'est ça une secrétaire selon toi ? Une jolie fille qui sait verser du café.
Pacey : Excuse-moi, je n'avais pas compris que tu voulais faire carrière.
Joey : Pourquoi tu crois que Rich a viré Marcy ? Parce qu'elle a plus de 30ans. Tu as remarqué comment sont toutes les secrétaires ici ?
Pacey : Quoi que je dise, je ne réponderais pas correctement à cette question.
Joey : On dirait des mannequins qui viennent pour un défilé de mode.
Pacey : Eh bien, je n'avais jamais remarqué. Parce que moi, je viens ici pour travailler. Et j'étais très efficace jusqu'à ce que tu arrives chez nous pour tout saboter.
Joey : Soyons sérieux Pacey. Tout ce que je demande, moi, c'est un peu de respect. Une once d'humanité.
Pacey : Tout le problème est là. Je ne suis pas censé te respecter ni être sympathique, tu es ma secrétaire.
Joey : Oh, mais c'est clair ça au moins. Tu regrettes de m'avoir...
Pacey : Joey, tu arrêtes de me prendre la tête ! Tu es là pour travailler. Avec le sourire et pourquoi pas avec de la grace ?
Joey : Non. Si c'est ça que tu attends de ta future assistante, franchement Pacey, je commence à comprendre le surnom.
Pacey : Quel surnom ?
Joey : Ici, on t'appelle le glandeur.
Pacey : Qui m'appelle le glandeur ?
Joey : Ce ne serait pas très professionnel de dévoiler ce genre d'information.
Pacey : Ah parce que c'était professionnel quand tu as renversé sur la journaliste ?
Joey : Oh, je t'en prie. Cesse de dire journaliste. Comme si tu essayais d'effacer le nom de cette femme de ta mémoire.
Pacey : J'estime que ce n'est pas la situation idéale pour manifester ta jalousie.
Joey : Jalousie ? Tu rêve. Je reconnais avoir un comportement un peu spécial par moment mais là, ça n'a rien à voir parce que, pourquoi je serais jalouse ?
Pacey : J'en sais rien.
Joey : De toute façon, tu n'as jamais été attiré par les femmes reporters que je sache.
Pacey : Qu'est-ce que ça peut faire ? Puisque tu n'es pas jalouse. Tu l'as dit. (Joey le regarde menaçant ne sachant plus quoi dire) Je vais lui présenter des excuses comme il se doit. Prends dont note. (Joey continue à le regarder sans bouger) Tu sais, un stylo, un papier (il prend un bloc note et un stylo et les lui tend) Chère Mademoiselle Shaw...(Joey finit par s'asseoir sur le fauteuil) C'est avec un immense plaisir que je vous ai rencontré cette après-midi. Non, non, reprends. J'ai eu énormément plaisir à vous revoir. Cependant, je tenais à vous présenter toutes mes excuses pour le comportement regrettable de ma nouvelle secrétaire qui, visiblement, n'est pas une perle. (Pacey se lève et Joey le regarde menaçant. Elle se lève à son tour et se met face à lui)
Joey : Je n'ai pas entendu la fin. Une inopsie suivit d'un propos crétin.

Ils se regardent et finissent par s'embrasser. Il la prend et la couche sur le canapé et ils continuent de s'embrasser quand Rich fait son apparition.

Rich : A demain, j'y vais Witter.

Pacey arrête d'embrasser Joey mais n'ose pas relevé les yeux.

Rich : Oh, j'y crois pas. Avec la mienne, j'ai attendu une semaine.

Rich s'en va et Pacey regarde Joey.

Pacey : Du porc, on est tous des porcs.

Elle sourit et il recommence à l'embrasser doucement.

Chez Grand-mère

Jen, CJ et grand-mère sont en train de manger tranquillement et dans un silence pesant ce qui déplaît à grand-mère.

Grand-mère : Qu'est-ce qui vous arrive à tous les deux ?
Jen : CJ pense que je suis une traînée.
CJ : J'ai pas dit ça.
Grand-mère : Voyons, qu'est-ce qui te fait penser ça Jennifer ?
Jen : Parce qu'il me l'a clairement fait comprendre, c'est tout.
CJ : Qu'est-ce que tu racontes ?
Grand-mère : Mais que s'est-il passé pour qu'elle s'imagine une chose pareille ?
CJ : Eh bien, j'ai l'impression qu'elle était parfaitement épanouie sexuellement avant d'être avec moi.
Jen : Non, c'est faux.
Grand-mère : Je devine le problème.
Jen : Ah oui ?
Grand-mère : CJ...Jennifer tente, pour la première fois de sa jeune existance, de vivre une véritable histoire. Elle veut une relation de confiance, une relation constructive avec un garçon. Et toi, Jennifer, sache que le problème de CJ, c'est que, comme n'importe quel garçon honnête, sincère et bien attentionné. Il est inquiet, il a très peur, il sait qu'il n'a absolument pas de garantie et quil y a de nombreux adversaires potentiels.
Jen : Dis à CJ que les beaux yeux et les pectoraux ne m'ont jamais intéressés très longtemps.
CJ : Dites à Jen que cet argument ne me rassure absolument pas. Et j'ai de très beaux pectoraux.
Grand-mère : Jennifer ?
Jen : Dis à CJ que je n'ai jamais eu autant de plaisir qu'en faisant l'amour avec lui.
CJ : Ca, ça me rassure. (Grand-mère lui fait signe de parler) Dites à Jen que...je ne voulais pas lui faire de mal. Que...je l'admire. Que je n'ai pas le moindre doute sur son sens moral. Et que je la câlinerais autant qu'elle voudra.
Grand-mère : Bien, je crois que mon travail est finit. J'ai besoin d'aller semer la paix ailleurs. (elle se lève et s'en va).
Jen souriante : Je suis vraiment désolée.
CJ : Non, non, c'est moi. (ils se prennent les mains au milieu de la table) Mais, je ne m'en veux pas d'avoir toujours envie de toi, non, ça, ce sera toujours comme ça.
Jen : C'est promis ?
CJ : Oh oui, c'est promis.
Jen : Ouh, je crois que je me sens d'humeur.
CJ : Tu te sens d'humeur à quoi ?
Jen : Oh, non, ça est c'est passé.
CJ : non, non, arrête, je plaisantais.
Jen charmeuse : Alors, on y va ?

Elle se lève et s'en va. CJ la suit.

Studio

Larry est assis à son bureau. Heather est en face de lui, assie sur le fauteuil et Dawson est à côté d'elle.

Larry reposant un document : Voilà, nous sommes parfaitement d'accord. Faudra vous assurer que le décor du club de strip-tease soit spectaculaire. Avez-vous déjà pensé à un nom pour ce club Dawson ?
Dawson : Euh, non, je n'ai pas eu le temps.
Larry : J'en ai un pour vous. Le Sunset Strip.
Dawson : Sunset Strip...
Larry : Qu'est-ce que vous en dites ?
Dawson : Euh...je trouve ça...intelligent. Et commercial. Ca sonne bien. D'autant plus qu'elle s'appelle Sunset.
Larry : Ca se vendra également très bien à l'étranger. Dawson, on l'a dit, un minimum de 3 scènes de nudité, c'est bien ça ? En dehors des scènes du club de strip-tease. Je veux que le spectateur voit les seins de toutes formes. D'accord ? Ce sera forcément un excellent produit. Mes amis, je vous remercie. Ce sera tout. Nous avons bien travaillé.
Heather se levant et passant devant Dawson : Bravo trésor. Félicitations Larry.
Larry : Merci.
Heather : C'est excellent, excellent.

Dawson se lève et s'avance vers la porte mais s'arrête.

Larry : Alors, vous êtes satisfaits (à l'attention de ses deux autres collaborateurs)
Dawson : Attendez, excusez-moi. Excusez-moi. (il s'avance vers Larry)
Larry : Oui, qu'y a t'il, on vous écoute.
Dawson : Je suis venu vous voir...parce que j'avais des choses à partager. Une histoire personnelle dont je voulais faire un film. Une histoire que j'ai mis du temps à mettre en forme. Je voulais décrire le passage de l'adolescence à l'âge adulte. La souffrance qui l'accompagne et je voulais parler d'amour, des premiers émois. De cette période éphémère qui nous marque tous pour la vie. Mais, je ne sais pas comment c'est devenu l'histoire d'une strip-teaseuse. Je ne peux pas le faire. C'est hors de question. Merci pour votre proposition et votre confiance mais...cet argent, je ne peux pas l'accepter.
Larry : C'est votre dernier mot ? Vous avez bien réfléchit ?
Dawson soupirant et souriant : Oui, sans regret.
Larry s'adressant à Heather : Faites la liste des réalisateurs que ce projet est susceptible d'intéresser pour la fin de la semaine.
Heather furieuse : Oui.
Larry : Ravi de vous avoir rencontré. Bonne chance petit.

Dawson sourit.

Heather : Oui.
Larry : Parfait.
Heahter : Oui, oui, c'est très bien (Larry lui montre un document. Elle lève ensuite les yeux sur Dawson)
Larry : Heureusement qu'il annonce tout de suite la couleur. Il faudrait quelqu'un d'un peu plus âgé.

Dawson les regarde une dernière fois et sort en souriant.

Hell's Kitchen

Joey est derrière le bar quand elle entend la porte et lève les yeux.

Joey : Tiens, Monsieur Witter. Qu'est-ce que je vous sers ?
Pacey : Oh euh, rien, je tiens beaucoup à cette veste.
Joey : C'est mon jour de reprise. Tu as raison de te méfier.
Pacey : Ouais. De toute façon, il y a des univers qui ne faut pas mélanger. Comment tu vas pouvoir me prendre au sérieux maintenant que tu as entendu les autres m'appeler le glandeur ?
Joey : Et moi avec ma crise de jalousie, je n'ai vraiment pas montré le meilleur de moi-même.
Pacey : Entre nous, ça ne m'a pas dérangé.
Joey : Autrement dit, tu rêves que je me batte pour toi ?
Pacey : T'es pas possible Joey, pour qui tu me prends ?
Joey : Je suis pas habituée au bagarre dans les bureaux. C'est dans les bras que je me sens chez moi. (elle ouvre le frigo alors que Pacey lui tend les bouteilles).
Pacey : Ca tombe très bien parce que je venais te dire de ne pas quitter ton job.
Joey : Comment ça ?
Pacey : C'est simple, je ne veux plus jamais te retrouver sur mon lieu de travail pour la bonne raison que tu es trop sexy en jupe et que ça me déconcentre.
Joey : T'es en train de me renvoyer ?
Pacey : Euh, oui, parfaitement Joey. Je...je...je ne vois pas d'autres solutions
Joey : Si c'est pour le café, ça peut s'arranger parce que je peux te le faire ton café et je saurais te le servir, tu es bien placé pour le savoir. J'ai été serveuse toute ma vie.
Pacey : Ca n'a rien à voir avec le café. D'accord ?
Joey : Alors explique moi
Pacey : Comment veux-tu que je me concentre si t'es autour de moi toute la journée ?
Joey : Tu veux dire que je te perturbe à ce point là Pacey ? Je ne suis même pas dans ton bureau. Je suis à l'extérieur et tu ne me vois même pas.
Pacey : Mais tu es là. Et crois-moi, je ne serais pas arrivé là où j'en suis si tu t'étais trouvée à 2 mètres de moi depuis le début. Ca aurait été impossible.
Joey : Vraiment ? Et pourquoi ça ?
Pacey : Si je ne te connaissais pas aussi bien, je pourrais croire que t'es idiote. Alors je vais le dire, parfait. Quand tu te trouves à 2 mètres de moi ou même à 5 mètres de moi, je n'ai plus toutes mes capacités. Il n'y a qu'une seule chose que j'ai envie de faire.
Joey mielleuse : Laquelle ?

Il sourit et ils s'embrassent langoureusement.

Joey : Désolé Monsieur Witter, je ne peux pas continuer à travailler pour vous. (elle hausse les épaules et s'en va. Pacey la suit)
Pacey : C'est pour ça que je viens de te renvoyer.
Joey : Non, non, je démissionne. Laisse-moi au moins garder ma dignité.
Pacey : Oui mais si je te renvoie, tu auras le droit à une belle indemnité.
Joey : Mh. Quoi qu'il en soit, je suis tranquille. Tu trouveras jamais mieux que moi. (elle débarrasse les tables)
Pacey : Je trouverais une femme d'âge mûre et ça m'ira très bien.
Joey : Bon allé, on arrête. On est tout les deux d'accord. C'était pas la meilleure idée qui soit.
Pacey : Oui, c'est vrai. Et j'ai même une nouvelle théorie, c'est que l'affecte, c'est ce qu'il y a de plus de nuisible sur un lieu de travail. (Joey arrive au bar pour déposer les verres vides)
Joey : Dommage, je pensais que c'était l'occasion de se voir plus régulièrement.
Pacey : Pour ça, on va s'arranger. On va se faire un petit planning. T'as bientôt finit ?
Joey : J'ai plus qu'à fermer la caisse.
Pacey : Bon, il y a quelque chose de génial tu vois. C'est que comme par hasard, j'habite juste en face.
Joey : Quelle coïncidence.
Pacey : Ouais, quelle coïncidence.
Joey : J'arrive tout de suite.
Pacey : Je t'attends.

Il l'embrasse et s'en va mais se retourne.

Pacey : Euh, si tu veux t'habiller en secrétaire, je n'y vois aucun inconvénient.
Joey : Fallais saisir ta chance.
Pacey en partant : On verra ça plus tard.

Elle sourit et reprend son plateau et se retourne. Elle avance mais une vois l'interrompt.

... : Salut.
Joey se retournant surprise : Eddie.

Il lui sourit mais elle ne sait pas quoi dire, elle ne comprend pas.


FIN


Script VF réalisé par melinou27

[Scene: The Dorm Hallway. Joey and Pacey are walking back to Joey’s dorm room after eating out at a fancy restaurant.]



Joey: That place was so nice, Pace. They had individual towels in the bathroom.

Pacey: Really? Laid out in baskets and everything?

Joey: Mm-hmm.

Pacey: Well, if that's not the hallmark of a classy joint, I don't know what is.

Joey: Well, you do definitely know how to treat a lady.

Pacey: Well, I gotta spend my money on somethin'. [Awkward Pause] Oh, that came out totally wrong. Because you are not-- n-not something that I just spend money on. It's not like a possession—[] but I would. I would, and I do.

Joey: Well, why do you think I'm with you?

Pacey: Ok. [Chuckles]

Joey: How's work goin', Pace?

Pacey: Uh, it's going really well, thank you. I got a promotion, actually.

Joey: Really? To what?

Pacey: I...don't know. There's no title, but I get an office, and, uh, I get a secretary. That's kind of cool.

Joey: Ooh!

Pacey: Yeah.

Joey: Fancy. You certainly won't want to talk to me after tonight, so...

Pacey: You see, I knew you would understand.

Joey: Don't kick a girl when she's down. You know, I'm strapped for cash, and they cut my hours because everyone's on spring break, drinking elsewhere.

Pacey: I guess that means you're free for dinner next Saturday.

Joey: Well, anything for a free meal.

Pacey: Classy lady like you, I might even throw in a free dessert.

Joey: You must be serious about me.

Pacey: Ok, well...

[The both go to kiss, but both stop short, and then look awkwardly at one another.]

[Both chuckle]

Pacey: I think that's my cue. I'm just gonna...

Joey: Ok.

Pacey: Cut my losses. Um... I'll have my secretary call you about dinner.

Joey: Pacey, I had a lovely time.

Pacey: So did I.

Joey: Good night.

Pacey: Good night.



[Opening Credits]



[Commercial Break]



[Scene: Jen’s Bedroom. CJ is sleeping in Jen’s bed, when Jen comes walking up to the side of the bed with two cups of coffee. CJ, slowly rolls over in the bed to face her.]



CJ: [Groans]

Jen: Mornin', sunshine.

CJ: Mmm... where's Grams?

Jen: She's downstairs, stirring porridge.

CJ: Mmm. Really? Shall we, then?

Jen: Shall we what? .

[He grabs her shirt and pulls her over to him.]

CJ: [Chuckles] Shall we that.

Jen: Yeah, that.

CJ: Yeah.

Jen: Nah.

CJ: No?

Jen: No. I'm not really in the mood.

CJ: Mood? Who needs mood?

[He leans over to kiss her, and she quickly pulls away]

CJ: What?

Jen: Nothing a little toothpaste won't fix.

CJ: Oh. Well, fine. Then don't kiss me. See if I care.

Jen: Not so sexy when you're pouting.

[CJ reaches over to the nightstand and grabs a box of condoms]

CJ: Do you know how many of these were in here when I bought them?

Jen: 12.

CJ: Mm-hmm. Know how many are in here now?

Jen: 12.

CJ: We haven't had sex in a week, Jen.

Jen: That's hardly true.

CJ: Not since Grams went to bingo. That was a week ago today.

Jen: What am I, sex on a stick? I'm not a boy. I don't have... the same kind of sex drive that you do, all right? Not to mention the fact that I-- I live in mortal terror of my grams walking in on us in the middle of some ungodly act. So maybe that helps you to understand why I'm not jumping your bones every chance I get.

CJ: Hmm. Wow. Then it's true what they say.

Jen: What?

CJ: Once you start dating, the sex goes right out the window.

Jen: You are such a drama queen.

CJ: [Laughs]

Jen: You know, there are other ways for us to be intimate.

CJ: I'm all for that stuff.

[He looks at her and smiles]

Jen: Yeah? So am I.

CJ: Well, come on.

[He lifts up the sheet for her, and looks down at himself and she climbs into bed and cuddles up next to him. ]

Jen: Hmm.

CJ: Is this what you were talking about--snuggling?

Jen: Mmm. Yeah. What did you think I was talking about?

CJ: Nothing.



[Scene: Pacey’s Work Place. Joey comes walking into the office, and every guy in the place stares at her practically drooling. Pacey turns a corner and sees her.]



Pacey: Jo. Hi! To what do I owe this honor?

Joey: I--I brought you an office-warming gift. You won't get in trouble for having visitors, will you?

Pacey: No, no. Not if you stop distracting the boys. You want to step into my office?

Joey: How professional. So, everyone's just on the phone. Is this what you do all day?

Pacey: It's a little more complicated than that. [grabs a folder from one of the desks] Let me grab those. Thanks, tom.

Joey: So, what makes you so busy now that you need an assistant?

Pacey: I don't know, but to tell you the truth, she kind of freaks me out.

[The walk to the front of Pacey’s new office]

Pacey: Marcy? Hi. I'd like to introduce you to my friend Jo.

Marcy: Nice to meet you. F.Y.I. For you, Mr. Witter, the meeting's been pushed to 3:00, and Mr. Rinaldi's in your office. And when you have a moment, I'd like a word.

Pacey: A word?

Marcy: Don't patronize me, Mr. Witter.

Pacey: I'm sorry, ma'am. I-- you can talk now if you like.

Marcy: Fine, Mr. Witter. If you must know, Mr. Rinaldi fired me, and I'll be leaving at the end of the day.

Pacey: [Sighs]

[The go inside Pacey’s office to find Rich sitting in Pacey’s chair.]

Rich: Just breakin' it in for you. Oh, who's the looker?

Joey: You do realize that I'm standing right here?

Rich: And you do realize that was a compliment, right?

Pacey: [Chuckles uncomfortably] Rich, this is Joey. Joey, you remember Rich. And, Rich, why is it, exactly, you fired my secretary?

Rich: Well, uh, she tried to kick me out of your office.

Pacey: Well, doesn't that deserve a raise?

Rich: Yeah, well, I didn't like her attitude, Witter, or the cut of her jib, for that matter. [Chuckles]

Joey: You can just fire somebody because you don't like the way they look? Isn't that discrimination?

Rich: Is she human resources?

Pacey: No. No, no. She's my, uh... friend of mine.

Rich: Oh. So, uh, why aren't you in school today?

Joey: I'm on spring break.

Rich: What do you do 9 to 5, Johnny?

Joey: Joey. Nothing at the moment. Um...

Rich: I say you spend the next 2 weeks filling in here. You know how to play office, right? Why don't you set that up, Witter.

[Rich leaves Pacey’s Office, pausing long enough to take a look at Joey’s back side.]

Joey: He's kidding, right?

Pacey: Rich? No, he doesn't really have much of a sense of humor.

Joey: Well, how much does it pay?

Pacey: I don't know. I think it's, like, 600 bucks a week.

Joey: Are you serious?

Pacey: Would you actually want to do it?

Joey: Well, you have to admit, Pace, I mean, it is perfect timing. I'm broke. We never see each other anymore.

Pacey: Yeah, but hangin' out by the coffee machine is not exactly a date, now, is it?

Joey: Who's kidding who, Pace? Now, we both know that the boss doesn't hang out by the coffee machine. That would be the assistant's job.

[She is adjusting his tie the entire time she is talking to him here]

Pacey: And you're sure you'd be comfortable with the whole boss/secretary power relationship?

Joey: We both know who's boss here.

Pacey: [Chuckles] Well, ok, yeah. I mean, what's the worst that could happen, right?

Joey: Barring me taking over the company, nothing. How fun is this gonna be!



[Scene: Heather’s Office at the movie studio. Dawson is pitching his idea for a movie to Heather, while she paces around the room listening to his ideas]



Dawson: It's about a lot of things, but more than anything, it's about what it feels like to be 15... that time in your life when everything's new and you're constantly on the edge of a broken heart. I mean, it should be stylized and operatic and...

Heather: And...

Dawson: I'd like to direct it.

Heather: [Chuckles] Whoa, junior. Let's not get ahead of ourselves. Walk before you run.

Dawson: Ok. What do you think?

Heather: I like it. I do. And I think your passion for it is great. It's just...

Dawson: What?

Heather: It's a little soft. And in case you haven't noticed, we don't really do soft around here. We do exploitation. Larry learned everything he knows from Roger Corman. You could pitch him Citizen Kane, and unless there's a minimum of 3 nude scenes, he'd give you a look like he just smelled a fart.

Dawson: Ok. That's all well and good, but I'm not sure I know how to make that movie.

Heather: My advice to you... is to play up the sex. He'll understand that.

Dawson: What makes this pitch so interesting and unique is the fact that it's this epic love story without the sex.

Heather: I'll let you in on a little secret. Larry Newman is the horniest man alive, a world-class pervert. He's on his third wife. She's 23... and done a lot of work in the valley, if you know what I mean. Which doesn't seem to stop him from coveting my rack, mind you.

Dawson: [Chuckles] I'm so sorry. That must be terrible to work in an environment like that.

Heather: Please. You've been staring at the twins for the past 20 minutes.

Dawson: I...

Heather: Not that I mind, of course. They are fantastic and worth every penny. What's my point?

Dawson: I don't know.

Heather: My point is... if you want to make a movie with us, find a way to tell your story while still aping to the lowest common denominator. Pitch the same thing you pitched , only throw in... a stripper, a 3-way, or like an affair with a teacher or something.

Dawson: I can do that.



[Commercial Break]



[Scene: The Help Center. Jen and CJ are sitting in desks that are positioned face to face and both are trying to keep busy by reading, and ignoring one another. There is an obvious awkwardness and unconfort in the air.]



[Telephone rings]

[Jen jumps faster and answers the phone first.]

Jen: Help line. This is Jen speaking. Are you sure that that's actually a problem? Because speaking as a girl whose boyfriend wants to copulate every waking moment of the day, I would actually welcome the break. I mean, I appreciate the enthusiasm. It's just it's--it's a little exhausting. This position, that position, "you want my legs where?" I mean, I can't even wear a skirt anymore without him taking it as an invitation to hike it up.

[CJ just gets up and leaves]



[Scene: Pacey’s work place. Pacey walks in the front door and is confronted by one of the other employees who stops him to tell him something.]



Man: Hey, Witter, nicely done. Nicely done, indeed.

Pacey: What are you talkin' about?

Man: The new hire.

Pacey: Oh. Joey.

[Pacey walks in to see everyone huddled up around the desk in front of his office. He looks at this weird site and makes his way over to them. The men part so that we see Joey sitting at the desk. All the guys are practically drooling around him]

Pacey: Hey, Joe.

Joey: Oh. Morning, Pace.

Pacey: Morning. Excuse me. Are these guys botherin' you?

Joey: No. They may be trying to, but I can't exactly tell. Did any of you go to college?

Man1: We're just showin' her the ropes, Pacey.

Man2: Are you comfortable, Joey? I mean, this seems a little high.

[the man reaches over and hits a leaver and Joey’s seat drops down a little.]

Joey: Oh. Oh, whoa. [Chuckles] That’s...super. Thank you.

Pacey: Well, great. I'm glad we got that all fixed up. But seeing as this is my secretary, why don't you guys go back to your—

Joey: Ahem!

Pacey: Office temp-- it's not important right now. What's important—she's not gonna be here long, so don't get too attached. Bye-bye.

[They leave]

Joey: Neander-creeps. Sorry about that.

[Cut to slightly later and Pacey is playing with an executive toy that he found on his desk. Joey comes walking into his office.]

Pacey: What is this?

Joey: Oh. Well, that's your office-warming gift. You forgot to open it yesterday. I thought since now you're a true professional and you have an office of your own, that you deserve pointless gadgets to stick on your desk.

Pacey: Well, thank you, miss potter. That's very thoughtful of you.

Joey: Well, I am the best assistant ever.

Pacey: Of course you are. You know, uh, when I got here this morning, you forgot to make the coffee, and I like to start the morning with a cup.

Joey: Oh. Oh, right. Well, you were a chef, right? I mean, you can make it yourself.

Pacey: Sure. Yeah.

[Rich comes into the office.]

Pacey: Could you run this down to Tom, please?

Joey: Sure.

[Joey takes the folder from Pacey and leaves]

Rich: Are you sure you need to find a replacement?

Pacey: She's got another job, and she's in school, and most importantly, she's unavailable, Rich.

Rich: All right. Ok.

Pacey: Tell you the truth, the whole thing's becoming a bit of a debacle. I got here this morning, the guys were all over her desk.

Rich: Like that's not gonna happen with anything remotely female.

Pacey: And she's also my friend. Which makes it a little awkward when I'm tryin' to tell her what to do.

Rich: You got to get yourself together, man. There's a reporter coming in to talk to us later, and I don't want you to be snotting all over your tie because you haven't had a nonfat cafe mocha latte grande whatever.

Pacey: A reporter for who?

Rich: I don't know. Some chick from the financial section to discuss our little up-and-coming company here. See how the big boys play and whatnot.

Pacey: Cool.

Rich: Yeah, it's swell. So you better straighten up, 'cause it seems like this broad is interested in you in particular-- rising to the top in record time or something.

Pacey: Really? She wants to talk to me, huh?

Rich: Seriously, it's the financial section. Who reads that?

[Rich leaves and Joey comes back in]

Joey: So, she wants to talk to you?

Pacey: Were you eavesdropping?

Joey: Well, yes. I'm your assistant. It's my job. It's what I do.

Pacey: Mm-hmm.

[Pacey begins playing with his Executive toy again.]



[Scene: The Coffee cart outside the help center. CJ is getting a cup of coffee when Jen comes walking over to him.]



Jen: Hey.

CJ: Hey.

Jen: Did you get me one?

CJ: I didn't know you wanted one.

Jen: Way to be a boyfriend.

CJ: Yeah, right. Good one, Jen.

Jen: So, I still don't know what C.J. Stands for, but maybe the "c" stands for "crabby"? What's the matter?

CJ: Nothing.

Jen: Nothing. [Sighs] That's it?

CJ: I don't like you using our problems in the bedroom to help other people.

Jen: Oh, well, first of all, I wasn't aware that we had problems in the bedroom. And...second of all, why not?

CJ: Forget it.

Jen: What, is this about sex?

CJ: Pretty much, yeah.

Jen: Ok. But you know, if some girl called up and said that her boyfriend was pressuring her into having sex, you would slip on your very best Dr. Drew, and you would tell her not to stand for it.

CJ: Look, if what you to me about your past is true, then I'm guessin' what I don't understand is why the creeps and the scumbags who treated you so poorly got the benefit of your sex drive. Whereas guys like me who actually treat you fairly well... we get ridiculed for wanting to have sex with you.

Jen: Wow. Kudos to you, C.J. That is the nicest way that anybody's ever called me a slut.

CJ: What are you talkin' about?

Jen: Basically, what you're saying is if I can be a slut for other guys, why can't I be a slut for you?

CJ: That's not what I mean.

[Jen storms off and CJ starts to follow, but finally gives up]



[Commercial Break]



[Scene: The Movie Studios. Dawson and Heather are headed to their meeting with Mr. Newman to try and pitch Dawson’s movie idea.]



Heather: Please tell me you're gonna kick ass in there.

Dawson: I'm relatively certain I won't throw up, but beyond that, I can't promise anything.

Heather: [Irked] Fabulous.

[They go into the office, and see two other people in there. One is blowing up a hemorrhoid pillow]

Mr. Newman: Dawson leery! Ha! How the hell's my favorite young director? It's good to see you, kid. Good to see ya.

Dawson: You, too, Mr. Newman.

Mr. Newman: Ah, Mr. Newman was my father, and that bastard's long gone. You just call me Larry. Have a seat, please.

Dawson: Ok. Larry. [Nervous chuckle] Ok.

[Mr. Newman sits down and yelps in pain]

Mr. Newman: Ow! Peter.

Peter: Yes, Larry?

Mr. Newman: My ass hurts. Why does my ass hurt?

Peter: I'm sorry, Larry. I, uh, I...forgot.

Mr. Newman: Actions, peter, actions. Not excuses.

[Peter puts the pillow on Larry’s chair for him]

Mr. Newman: Whew! Ahh! It's my prostate. Damn thing's as big as a cured ham. Gettin' old, boy. Whoo! It's just a series of indignities. You'll find out. Ok. So, what are we doin' here?

Dawson: Uh, well—

Mr. Newman: Ohh! Whoa, whoa, whoa! I can't believe I almost forgot this. You are my hero, kid.

Dawson: [Chuckles] Thank you... Larry. That--I, uh-- that means a lot. The re-shoots were tough, but, uh, ultimately I was pretty happy with how they turned out. I gotta say, by the end of it, I actually felt like a real director.

Mr. Newman: Right. Uh, no, the re-shoots were fine. What I'm talkin' about is Natasha.

Dawson: She was great, wasn't she? I was very happy with the performance that I got out of her.

Mr. Newman: Uh, her performance was mediocre at best. What I'm talkin' about here is the fact that you managed to get yourself into her knickers? [Clicks tongue] Heather tells me everything. See, here's my thing with directors. I can tell any schmuck where to put the camera, how to say "action," blah, blah, blah, blah. But when a freakin' P.A. Figures out how to bang the leadin' lady, buddy, that is somebody I want to be in business with. And that's you, big fella. Ha ha ha ha! Hee hee hee hee! Whoo! Yeah! Ok, Dawson... tell me a story.

Dawson: Ok. So, we open in a teenager's bedroom, walls plastered with movie posters.

Mr. Newman: Now, wait. This isn't one of those movies about makin' movies, is it?

Dawson: No. Not at all. Not really.

Mr. Newman: Well, either it is or it isn’t.

Dawson: Well—

Mr. Newman: all right. Never mind. Go ahead.

Dawson: Ok. So, on the bed-- boy and a girl. Both 15. They've been best friends for as long as they can remember.

Mr. Newman: Are they, you know-- [Clicks tongue]

Dawson: No.

Mr. Newman: Huh?

Dawson: Uh, not yet.

Mr. Newman: I got ya. Let the audience get a little wet first. I like this. This is good.

Dawson: Yeah. So, uh, they're in the bedroom, and they're talking about movies.

Mr. Newman: Wait a minute. I gotta ask you somethin' here. Uh, is this a horror movie?

Dawson: No, not at all. This is a coming-of-age story.

Heather: Actually, Larry, it's a teen sex comedy...with heart. American pie meets stand by me.

Mr. Newman: But it's got sex, right?

[Dawson looks at Heather, and she nods to him]

Dawson: Sure. Yeah.

Mr. Newman: Good. See, this is interesting. Friends will come and friends will go, but I say... there's always room for a movie in which teenage girls take their clothes off. All right, let's cut to the chase, pally. My ass is on fire here. Hmm-unh!

Dawson: Um, ok. Here--here's the part of the story that I think you'll find the most interesting. Our main character thinks of himself as one of the good guys. He's always tryin' to do the right thing, and it always gets in the way when it comes to girls. Um, so it's--it's really interesting to watch him go through this moral dilemma when he meets this girl at school that he really likes, but it turns out that she’s...

[He sees that he is starting to lose him]

Dawson: A...stripper.

Mr. Newman: Stripper? Yeah, student by day, stripper at night. See, I've--I've seen this probably 100 times, but I'll be damned if I wouldn't stay up till 3 A.M. To watch it on skinemax. And you cast one of those hot little past-her-prime starlets who's willing to show off her new boob job, you got yourself a mini-blockbuster on your hands. This is good. This is real good. I like this. You got yourself a deal.

Peter: It's the best pitch I've heard in, uh... a long time.

Dawson: Well, you guys want to hear the rest of it? I mean, that's just a very small part of it.

Mr. Newman: Let me give you a little advice, pally. When somebody tells you, you got yourself a deal, you zip it. You know, you nod, you smile, and you look grateful. You do not say another word. Another word can only do you harm. You know what I'm sayin'?

[He looks at Peter who nods and him then to Heather who also nods at him]

Dawson: Absolutely.

Mr. Newman: Outstanding! Ok. Listen, we'll figure out the beats after lunch. In the meantime... tell me a little more about Natasha. [Laughs lasciviously] Huh? Boom. [Continues laughing] Whoo!



[Scene: Pacey’s office. Pacey is on a headset phone talking to one of his clients, while pacing behind his desk.]



Pacey: I hear what you're saying, Walter. I'm just not willing to push it that hard. Look, I just don't have the numbers, ok? Well, when? Ok, hold on a second. Let me ask my secretary. Hey, Jo—

[Joey walks in with a folder.]

Joey: Are you looking for this, Mr. Witter?

Pacey: Yes, as a matter of fact. When did this come in?

Joey: Um, well, I didn't want to inundate you with information.

Pacey: Good thinking. [Sighs] Ok, Walter, I got it right in front of . Shoot. Walter?

Joey: Oh, I pressed a button when I came in here. I thought it was hold.

Pacey: That's ok. That's fine. We can just get him on the line again. Ha ha. You know, Jo, you're such a smart girl, I honestly thought this was gonna be a little easier for you.

Joey: Well, I kind of made it a point not to learn secretarial skills.

Pacey: You might've wanted to mention that earlier.

Joey: Well, if I'm too good at it, then no one will ever let me do what I really want to do.

Pacey: I find that very hard to believe, Miss Potter.

[The mystery woman, from the earlier episodes, walks into Pacey’s Office.]

Pacey: Hi.

Sadia: Hi.

Pacey: What are you doing here?

Sadia: Well, your secretary wasn't at her desk, so I hope it's ok—

Pacey: That's fine. She's, uh, that's-- she's there.

Sadia: Oh. Ok, well, here. You wouldn't mind hangin' this up for me, would you?

[She hands her coat to Joey]

Joey: Do you have an appointment, Miss?

Sadia: Why, yes. As a matter of fact, I do.

[Rich comes walking into Pacey’s office]

Rich: Uh, this is Sadia Shaw, pace, the reporter I was tellin' you about.

Pacey: Of course.

Sadia: Pleased to meet you again. So, I guess the rumors I've been hearing are true, Pacey. You're certainly moving up in the world.

Joey: So you guys know each other?

Sadia: Not entirely, but I guess that's what the interview's for.

Pacey: I guess so. [Chuckles]

Rich: [Laughs]

Pacey: Hey, is there anything we can get you to make you more comfortable? Jo, would you mind grabbin' us a pot of coffee?

Joey: Sure, Mr. Witter. I will get right on that. I will just whip up a batch.

Sadia: [Sweetly] Thank you.

Pacey: Yeah, thank you.

[Joey leaves them.]

Pacey: Why don't you step in, make yourself more comfortable.



[Scene: A Studio Set. Todd is shooting a music video for a gothic Rock Band. The band is singing on the set, while Todd is watching on as they film. Dawson walks in and stays in the back of the room watching the band shot their video.]



[Group performing Goth rock]

Todd: And cut! Gentlemen, Satan himself would be proud! All right, let's take a break.

[The band breaks, and Todd makes his way over to one of the women]

Todd: You have no idea how...[Whispering]

Girl: Yeah, yeah. [Giggles]

[Dawson makes his way over to Todd]

Todd: What the hell are you doin' here?

Dawson: Moral quandary. You got a minute?

Todd: Bollocks, leery. You're like some bloody little angel that pops his head up over my shoulder every time I'm about to engage in meaningless sex with a comely extra. You are a bloody moral quandary.

Girl: Excuse me. I'm in the band, Todd.

Todd: My apologies, love. Can you ever forgive me? [to Dawson] Sure this can't wait 5 minutes?

Girl: 5 minutes? Gee, what a treat.

[Todd laughs]



[Scene: Pacey’s Office . Sadia is interviewing Pacey and Rich as they are sitting in Pacey’s office.]



Sadia: So, rich... would you say that Pacey’s arrival and your rise in profitability had a direct correlation?

Rich: Well, let's not get crazy here. We all know how unpredictable the market is. It just so happens we also started to push a new stock around that time, and it did very well for us.

Sadia: And that would be Stepatech.

Pacey: Yes, and as a matter of fact, I was the first person who went out with Stepatech.

Rich: Yeah, that's correct. Pacey was the first.

Joey on intercom: Excuse me, Pace. Uh, Jack's on one.

Pacey: That's ok. You can hold all my calls. Thanks.

Joey: Even from your roomie?

Pacey: Yes, even my roommate.

Joey: Oh, ok. My bad. Carry on.

Pacey: I apologize for that. It's her first day.

Sadia: I understand. This must be quite a coup for you, Pacey, having an assistant. I heard that until recently you were a cook.

Pacey: Yeah, actually. I did dabble for a while in the food service industry, but I'm quite—

[The phone begins to squeal. And Pacey begins beating on the keys, and picks up the receiver and hangs it back up and it stops]

Pacey: Ahem. The button's stick on those sometimes. I apologize. Where was I?

Rich: I wish I could remember. I was riveted.

[Joey comes in with a tray of coffee]

Joey: Fresh coffee?

Pacey: Great. You can just put it on the desk.

Joey: Pacey takes tons of sugar in his coffee. Otherwise, he can't drink it. You know, he puts sugar in his fruity pebbles. Can you believe it?

Pacey: Ah, ha! All right. Thanks for your help, miss potter. That'll be all.

Joey: And how do you take yours?

Sadia: Uh, just a splash of cream-- nonfat, if you have it, please. Thank you.

Joey: Of course.

[Joey pours the cream on the pant leg of Sadia.]

Joey: [Gasps] Oh, god!

[All talking at once]

Joey: Oh, my god. Sorry, sorry.

Sadia: Ohh! You know what? I can get it.

Joey: I'm so sorry.

Sadia: I got it.

Rich: Witter, uh, why don't we... continue this interview in my office? I'm sure you'll be more comfortable there. It's much bigger.

[Rich and Sadia leave Pacey’s office.]

Pacey: It was an accident.

Pacey: Really! An accident. Now, why do I find that so hard to believe?

Pacey: You better get goin'. You don't want to miss your 15 minutes of fame.



[Scene: The Video Set. Dawson and Todd are talking while the rest of the crew is off getting ready for the next shoot.]



Todd: I don't understand what you're so torn up about, mate. A job is a job. Work begets work. Do you know what I mean?

Dawson: Yeah. I just... have a really hard time doing something that I don't believe in. I learned so much workin' for you in the re-shoots and everything, but I lost a chunk of my soul in the process.

Todd: You're such a bloody drama queen, Leery. The trick is to keep workin' so one day you get to a point where you can write your own ticket.

Dawson: But what if by the time you get there, you don't know who the hell you are anymore?

Todd: You ask yourself what kind of filmmaker you want to be. Me, I'm a journeyman. I go where the jobs are.

Dawson: Ahh, maybe I'm just not cut out for any of this.

Todd: Oh, I see. So this is that bit where I give you a bit of a lift, is it? No. 'Cause I'm not gonna do it... even if you are a talented little bugger, even if you are light-years ahead of where I was at your age.

Dawson: All right, all right. That's enough.

[Todd takes some money out of his pocket and hands it to him]

Dawson: What's that?

Todd: Go make a movie.

Dawson: With 10 bucks?

Todd: It's a start. Look, if you're not willing to do it their way, with their money, then don't cash the check. Write your own. Sometimes, with a little bit of money and a lot of faith, you can almost will an entire movie into existence. That's what I did.

Dawson: How'd it turn out?

Todd: It was rubbish... but it got me here. Here I am, doing the devil's work in sunny Los Angeles. Listen, mate, I know no matter what you do... you're gonna do it with heart and balls and swagger. And that is all that matters in this world. Remember that. Go on, get outta here. Go change a diaper or somethin'.



[Scene: Pacey’s Office. It is the end of the day and Joey comes in and places a file down on Pacey’s desk, who is just sitting there thinking.]



Pacey: Well, what was that earlier?

Joey: How do you know that woman?

Pacey: The reporter? I've met her once... at a function. Months ago. I didn't even know her name.

Joey: Why does that not shock me?

Pacey: We were never formally introduced. I mean, would it have killed you to have acted professionally today?

Joey: Come on, Pacey. You guys are pigs. I mean, according to caveman standards, I'm not the professional type.

Pacey: And what type is that? The type that can pour a cup of coffee without painting it all over the walls? Because you're not that type.

Joey: That's all an assistant is to you, isn't it? Just some chick who pours coffee.

Pacey: I didn't realize that you wanted to be a career assistant.

Joey: Why do you think rich fired Marcy? 'Cause she's over 30. Have you ever even noticed the assistants here?

Pacey: I feel like there's no good way to answer that question.

Joey: They look like the maxim girls of the office out there.

Pacey: I guess I'd never noticed. Because when I come here, it's to do my job. Which I was actually pretty good at until you came here and sabotaged me.

Joey: Get real, Pacey. All I'm asking for is a little respect, a little human kindness.

Pacey: But you see, that's the whole point. I don't have to respect you or be kind to you. You're my secretary.

Joey: Oh, that's the whole point? You regressed—

Pacey: Woman! You are wrecking my head. Could you not just accept the temporary and come with a smile and maybe a little grace?

Joey: No. Not if this is how you plan on treating your future assistants. Frankly, Pacey, I'm beginning to understand the nickname.

Pacey: What nickname?

Joey: They call you witless.

Pacey: Who calls me witless?

Joey: I think that would be unprofessional of me to disclose such information.

Pacey: Where was that professionalism when you were pouring cream down the reporter's leg?

Joey: Oh, please. Don't say "reporter" like you haven't burned that girl's name into your memory.

Pacey: You know, I don't think this is the proper arena to vent your jealousy.

Joey: Jealous?! Hardly. Ok, yeah. I might've had some sort of psychotic lapse, but that was odd, really, because... why would I be jealous?

Pacey: I don't know.

Joey: It's not like you'd ever be attracted to the shrewd business type, right?

Pacey: Well, what does it matter? 'Cause you're not jealous. Right? You know what? I'd like to issue an apology. Take a letter, would you?

[She looks at him, like can he be serious.]

Pacey: You're gonna need a pen and paper.

[He hands her a pad and pen.]

Pacey: Dear...Miss...Shaw... it was...wonderful... to see you this afternoon. No, no. Go back. It was lovely to see you again. However, I would like to take this opportunity to apologize for my secretary's behavior. Because, you see, she's new... and very bad.

[He gets up and walks towards her as he is dictating.]

Joey: I missed the last part. It was something moronic followed by something inane.

[At this point She puts down her pen and walks over to stand right in front of him. They stare each other down, and then jump into each other’s arms kissing passionately. The go over to the couch in his office and lie down on it. Pacey rips off his jacket and they begin making out on the couch, when Rich walks into Pacey’s office.]

Rich: I'm, uh, headed out, Witter.

[They stop and stare up at him]

Rich: Jeez, man. At least I waited a week with mine.

[Rich just shakes his head and walks out, and Pacey looks down at Joey.]

Pacey: Pigs. We're all pigs.

Joey: Mm-hmm.



[Commercial Break]



[Scene: Gram’s Dining room. Jen, Grams and CJ are sitting at the table eating, but no one is talking to one another. Jen and CJ are sitting across from one another, but making a point not to look at each other.]



Grams: Whatever is the matter with you two?

Jen: C.J. Thinks I'm a slut. I do not.

Grams: Why would you think such a thing, Jennifer?

Jen: Because he pretty much said so.

CJ: No, I didn’t.

Grams: Well, C.J., Why do think Jennifer feels this way?

CJ: Well, she seemed to like having sex right up until the moment she started having sex with me.

Jen: That's not true.

Grams: I see the problem here.

Jen: You do?

Grams: Mmm. C.J., Jennifer is attempting for the very first time in her young life to have a full, well-rounded relationship with a boy. And, Jennifer, C.J.'S problem is that he, like any young man of pure heart and good intention, is worried that you will always be more attracted to the rakes of this world.

Jen: Well, you can tell C.J. That nice pecks and a good 6-pack only go so far.

CJ: And you can tell Jennifer that what she just said didn't make me feel the slightest bit better. [Mumbling] I have nice pecks.

Grams: Jennifer?

Jen: You can tell C.J. That the best sex that I've ever had in my life has been with him.

CJ: That'll do. You can tell Jen that... I'm sorry if I made her feel bad... and...that I was never insinuating that she'd be of questionable morality. And that I will snuggle with her anytime she wants.

Grams: Well. I think my work is done here. I have peace to broker elsewhere in bean town.

[Grams gets up and leaves them alone.]

Jen: I'm so sorry.

CJ: No. No. I'm sorry. But I'm not sorry about wantin' to have sex with you. I mean, that's just how it is. That's how it's always gonna be.

Jen: You promise?

CJ: Oh, I promise.

Jen: Ooh. [Chuckles] I think I'm in the mood.

CJ: [Chuckles] In the mood for what?

Jen: [Sighs] No, it just passed.

CJ: No. N--I--uh... I'm just kiddin'.

Jen: Shall we, then?

[They quickly make their way upstairs]



[Scene: Mr. Newman’s Office. They are in another meeting to wrap up the plans for the movie. Mr. Newman has just finished looking over some of the plans as the rest look on.]



Mr. Newman: Well, I think we're in pretty good shape here. Just make sure... that the fire at the strip club is spectacular. I mean-- whoosh! All right? Now, have you, uh... thought about a title, Dawson?

Dawson: A ti--uh, no. I haven't, actually.

Mr. Newman: I got one for you. Sunset stripped.

Dawson: Sunset stripped.

Mr. Newman: What do you think?

Dawson: I...um... think it's very clever. Economical... yeah, works well. Uh, you know, bein' that her--her name is Sunset.

Mr. Newman: And I think it'll help with the foreign, too. Which reminds me-- a minimum of 3 nude scenes, please? That's not including the scenes in the strip bar. I want this picture to be wall-to-wall boobs. Ok? This is gonna be a very good picture. My friends, thank you. That's it. Congrats on a great meeting.

Heather: Thanks Dawson.

Peter: Attagirl.

Mr. Newman: Very good. Good work. Let's go. Nice goin', everybody.

[Dawson remains seated as every gathers together looking at the plans. He has a troubled look on his face]]

Dawson: You know what? Um, excuse me. I'm sorry.

Mr. Newman: Well, what is it? Out with it.

Dawson: I came in here the other day because I wanted to tell a story about... something small, something personal, something I've been... tryin' to figure out for quite some time. I wanted to write about growing up... and why it's so hard. And... I wanted to write about falling in love and why it can't last, but at the same time, how it lasts forever. And somehow, that got twisted into a story about a stripper. I--I guess what I'm tryin' to say is, I can't do this. I appreciate the--the offer and the confidence... but... I just wouldn't feel right taking your money.

Mr. Newman: Are you absolutely sure about this?

Dawson: [Sighs] Yeah. Yeah, I am.

[Mr. Newman turns from Dawson and looks at Heather]

Mr. Newman: All right, put together a directors list. I want to get somebody on this by the end of the week.

Mr. Newman: [To Dawson] Nice knowin' you, kid. The best of luck to you, huh?

Dawson: [Chuckles softly]

Mr. Newman: All right. Here. Got somebody here in mind. This is somebody we could call.

[Happy with himself Dawson leaves the office]



[Scene: Hell’s Kitchen. Joey is finishing up her shift at the bar that evening, when Pacey comes walking in and goes over to join her.]



Joey: Hey, Mr. Witter. What can I get you?

Pacey: Oh, nothing, actually. I'm kinda partial to this jacket.

Joey: Not the best of first days, I'll admit.

Pacey: No. But I'm of the opinion that some worlds should never collide. Plus, how are you ever gonna take me seriously—

[Joey goes to take a large tray into the back but Pacey stops her

Pacey: I got it—now that you know the guys call me witless?

Joey: Yeah, and my whole jealousy act really didn't showcase my best features.

Pacey: Actually, you know, I kinda liked that part.

Joey: You were just hoping she and I would wrestle.

Pacey: What kind of man do you take me for?

Joey: I guess I'm just not used to office combat. I'm more of a drunk wrangler.

Pacey: That's good news, actually, because I wanted to tell you, don't quit your night job.

Joey: What do you mean?

Pacey: Well, I mean that under no circumstances do I ever want to see you in my place of work again, regardless of how hot you look in pinstripes.

Joey: You're firing me?

Pacey: Y-yeah, but, I mean, c-can you think of any better solution?

Joey: Is this because of the whole coffee thing, Pacey? Because I can make coffee. And I can serve it and everything. I'm nothing if not a professional server.

Pacey: It's not about the coffee thing. Ok?

Joey: Then what's it about?

Pacey: Jo, how can you expect me to concentrate if you're around all day?

Joey: Am I really that much of a distraction, Pacey? I mean, my desk is outside of your office. You can't even see me.

Pacey: But I know you're there. And I would not have come as far as I have if you were 5 feet away from me all the time. I just wouldn’t. Trust me.

Joey: Really? And why is that?

Pacey: Ok, now you're just milkin' this for all it's worth, aren't you? Fine. [Sighs] I wouldn't have been able to concentrate because every time you're 5 feet away from me or 25 feet away from me, for that matter... there's really only one thing that I want to do.

Joey: Do tell.

[They kiss passionately]

Joey: I'm sorry, Mr. Witter. I don't think I can work for you anymore.

Pacey: Fine. Just remember that I fired you.

Joey: No, no. I quit. You have to let me keep my dignity.

Pacey: Ok, but if I fire you, then you get severance pay.

Joey: Oh. Well, just remember, you'll never find another girl like me.

Pacey: I prefer to think of my secretaries as women, but ok.

Joey: Well, enough of that. I think we can both agree that this wasn't the best idea.

Pacey: No doubt. My current thinking is that relationships make terrible platforms for multi-tasking.

Joey: Pity, that. I was looking forward to seeing you on a regular basis.

Pacey: We'll just have to make a point to make more time, then, won't we? [Chuckles] You almost done here?

Joey: I just have to close up the register.

Pacey: Well...that's excellent, 'cause, you know, I was thinking... I just happen to live right across the street.

Joey: I was thinking that, too.

Pacey: Really. What a coincidence.

Joey: I'll be right there. I'll see you soon.

Pacey: Hey. You don't think there's any chance you might be willing to wear that secretary's outfit—

Joey: You had your chance.

Pacey: We'll talk about that later.

[He leaves and Joey goes back to cleaning. She is cleaning for a while when a voice from behind that she recognizes, startles her.]

Eddie: Hey.

Joey: Eddie.

[Cut at Joey just staring at Eddie]



Source : www.multimania.com/rossnm & transcribed by Chris Uecke

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Syliam31 
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natas  (07.04.2021 à 07:26)

Je pense que cette épisode reflète bien l'obession de certains réalisateurs avant MeToo !

Syliam31  (06.04.2021 à 15:13)
Message édité : 06.04.2021 à 15:15

Un épisode bien sympa toujours porté par le duo Joey/Pacey!!!

J'adore l'intrigue de Joey qui vient travailler comme secrétaire de Pacey! C'est vrai que ce rôle ne la met pas vraiment à son avantage mais je la trouve drôle et sa jalousie quand elle rencontre la journaliste de la revue financière est réelle et elle exagère le trait pour le faire comprendre à Pacey. On les voit enfin s'embrasser fougueusement dans le bureau après quelques hésitations dans l'épisode précédent et la réaction de Rich est très drôle quand il se plaint d'avoir attendu une semaine avec sa secrétaire. Le soir, quand Pacey retrouve Joey pour lui dire qu'il la vire car il n'arrive pas à se concentrer avec elle à ses côtés est vraiment adorable, on savoure le fait que tout est à nouveau possible entre eux! On sent que Joey est de nouveau heureuse, elle a les yeux qui brillent juste après sa conversation avec Pacey et puis elle se retourne et tombe sur Eddie! Et là, c'est le drame! Mais pourquoi? Pourquoi n'est il pas à Los Angeles? Pourquoi est il revenu voir Joey à Boston? 

Concernant l'histoire de Dawson, je ne suis pas vraiment fan de ce qu'il se passe avec le producteur.... Dawson a le projet de faire un film sur l'adolescence et les premiers émois et se retrouve à devoir faire un film sur une strip-teaseuse à cause d'un producteur en moitié pervers! Il s'est laissé entraîner et n'a trouvé le courage de défendre son film qu'à la fin de l'épisode. Dawson va devoir s'endurcir pour pouvoir mener à bien ses projets à l'avenir.

Jen et CJ se dispute et la façon dont Grams va leur permettre de se réconcilier est épatante. Elle arrive toujours à apaiser Jen et à lui faire voir les choses sous un angle différent.

labelette  (07.12.2019 à 13:32)

Le producteur est assez flippant ! OK, le nu et les scènes de sexe, ça peut faire vendre, mais là c'est un véritable obsédé ! D'autant plus quand il veut en savoir plus sur Natasha.

Joey qui bosse avec Pacey... Un peu bizarre mais bon, ça ne dure pas ! Heureusement d'ailleurs car mieux vaut que chacun ait sa vie professionnelle (même si elle est encore étudiante et n'était là que ponctuellement).

Eddie qui revient à la fin... Troublant !

jptruelove  (21.11.2019 à 16:45)

J'aime bien cet épisode!

Joey découvre les lieux de travail de Pacey et y prend place... J'adore sa jalousie quand la journaliste vient! Et ça se comprend parfaitement que Pacey ne sache pas travailler correctement en sa présence... Tout se passe bien pour eux, c'est pour ça que je n'aime pas la fin de l'épisode...

Pauvre Dawson qui voit son film transformé par les besoins du producteur de voir des femmes nues et du sexe...

Jen et CJ sont assez mignons et j'aime bien le moment de réconciliation géré par Grams!

kystis  (21.02.2018 à 01:58)
Joey fait un peu nunuche dans cette épisode, c'est dommage, car à part ça, cet épisode est sympa. Voir pacey dans le cadre de son travail, tiraillé entre 2 filles ; Dawson qui essaie de convaincre un producteur assez pervers et le joli couple qui se dispute, c'est assez intéressant.

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